Jacques Chirac : ses bourdes face aux femmes politiques
Si Jacques Chirac est un personnage très réputé dans le monde politique français, ce dernier a lui aussi commis quelques bourdes. Découvrez ces remarques qu’il a faites face aux femmes politiques, qui n’ont pas fait l’unanimité.
Jacques Chirac est un homme, qui durant sa carrière politique, a su marquer les esprits. Pourtant, comme tout le monde, celui-ci a aussi fait quelques erreurs.
Faites un retour sur ces bourdes faites aux femmes politiques, que le monde n’a pas oublié, des années après.
Jacques Chirac assiste au vernissage de l'exposition "Il Mondo Vi Appartiene" en Italie. | Photo : Getty Images
LES BOURDES DE CHIRAC
Jacques est décédé en 2019. Connu comme un personnage atypique, celui-ci a su comment bien mener sa barque jusqu’au dernier moment. Cependant, tout comme ses prédécesseurs, il avait aussi commis de nombreuses impaires.
L’une de ses plus grosses boudes s'était déroulée en 1977, lorsqu’il était encore président du Rassemblement pour la République. À cette époque, il avait croisé la route de Michel Barnier, qui débutait sa campagne pour les élections législatives.
Selon Michel, lors d’une réunion politique organisée à Albertville, Jacques Chirac ne s’était pas fait remarquer pour les meilleures raisons.
“C'est qui cette bonne femme ?”
Jacques Chirac visitant une plantation de cannes à sucre en Guadeloupe.| Photo : Getty Images
LA GÊNE DE MICHEL
Ce jour, l’ancien président avait été interpellé par une femme, qui lui avait demandé pourquoi il n’avait pas accepté la candidature de Florence d’Haourt. Souvenez-vous, à cette époque, Florence était l’une des rares députées féminines du gouvernement, en région parisienne.
“Pour qui nous prenez-vous ? Vous nous expliquez ici le contraire de ce que vous faites à Paris".
Le 1er ministre Jacques Chirac au téléphone à l'Ambassade de France. | Photo : Getty Images
Après avoir répondu posément à son interlocuteur, Jacques est reparti s'asseoir, avant de demander à Michel qui se trouvait juste à côté de lui qui était la dame qui venait de s’adresser à lui. C’est à ce moment que Michèle lui a répondu.
“C’est ma mère”.
TOUT S’EST BIEN PASSÉ
À partir de ce moment, Michel avait fait en sorte qu’un incident tel que celui-là ne se reproduise plus, bien qu’une autrefois, les choses avaient failli basculer.
“Par la suite, je me suis méfié(...)”
Finalement, tout s’était bien terminé, et il avait été élu député. Michel faisait ces révélations dans Libération, en 1998.
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