Pierre Billon assure : "Laeticia fera fi de ce que voulait complètement Johnny"
Cet ami intime de Johnny a récemment pris la parole pour défendre son épouse Laeticia et a appelé les deux camps à se reparler. Il est toujours persuadé que le combat judiciaire entre la veuve et les enfants du chanteur "n'est pas bon pour l'image de Johnny".
Closer nous parle de Pierre Billon, proche du couple Hallyday qui était invité du plateau de Touche pas à mon poste sur C8, ce lundi 16 avril.
L’animateur de l’émission, Cyril Hanouna abordait avec son équipe les dernières infos autour de l'héritage de Johnny Hallyday et notamment la décision du tribunal du 13 avril.
Selon l’ordonnance de référé du tribunal de grande intance de Nanterre, Laura Smet et David Hallyday ont obtenu la mise sous séquestre de tous les droits artistiques de leur père, ainsi que le gel de ses biens immobiliers français. En revanche, leur principale demande de droit de regard sur l’album posthume de Johnny a été rejetée.
Difficile de le croire après des semaines de la bataille médiatique qui a déchiré la famille du célèbre chanteur, mais la décision du tribunal de Nanterre a satisfait les deux parties, car personne n'a fait appel.
Cependant, pour Pierre Billon, cette bataille n'était pas "bonne pour l'image de Johnny". Comme beaucoup, cet ami des Hallyday espère que la famille pourra bientôt trouver un arrangement.
"Il faut que le temps passe, il ne faudrait pas que cela continue", conseille Pierre Billon. "D'abord parce que si cela continue comme ça, les avocats vont bouffer tout ce qu'il y a comme héritage et il n'y aura plus une thune et puis ce n'est pas bon pour l'image de Johnny. Finalement, cela ne va être bon pour personne, cette histoire."
D’autant plus que l'avocat de Laura Smet a indiqué deux jours après la dernière audience qu'il souhaitait trouver un accord avec Laeticia Hallyday avant le 15 juin, jour où Johnny Hallyday aurait fêté ses 75 ans.
"Intelligemment, tôt ou tard, Laeticia fera fi de ce que voulait complètement Johnny et ils se retrouveront. Ils sont obligés de parler, à un moment ou à un autre.", a conclu Pierre Billon.