Un père met en ligne un statut 'amusant' sur son fils lui a valu une visite de la police

Un père a donné de la sauce piquante à son fils nouveau-né par erreur et a reçu une visite de la police.

S'inquiétant du bien-être de l'enfant, les forces de l'ordre sont intervenues après que son père ait mis en ligne un statut Facebook dans lequel il racontait sa mésaventure.

Paul Dawson a expliqué que sa période des fêtes avait été gâchée après qu'un message humoristique mis en ligne sur le célèbre réseau social ait poussé la police à venir lui rendre visite.

Furieux, le père a dû répondre aux questions des policiers de Stockton qui voulaient savoir s'il avait vraiment donné de la sauce piquante à son fils de cinq jours, Ben.

L'incident étrange s'est produit quand Paul s'est rendu dans un restaurant pour manger avec sa famille: "Mon fils est né le jour de l'An et nous sommes sortis pour manger avec ma compagne Lorencia."

"Lorencia donnait le sein à Ben et je mangeait mes ailes de pouelt. Elle voulait manger alors elle m'a demandé si je pouvais le tenir pendant qu'elle se nourrissait."

"Je m'étais essuyé les mains sur une serviette, et je le tenais dans mes bras. Il n'était pas très content puisqu'il ne mangeait plus. J'ai eu l'idée de mettre mon doigt dans bouche pour essayer de l'apaiser, oubliant totalement ce que je venais de manger," continue le père de famille avant d'ajouter:"Ben a fait une grimace et ça s'est arrêté là."

Paul a ensuite écrit un message sur Facebook: "Apparemment, les bébés de cinq jours n'aiment pas quand leur papa mettent leurs doigts dans leurs bouches après avoir mangé des ailes de poulet épicées."

Mais quelques jours plus tard, la police a frappé à sa porte. Proriétaire d'un salon de coiffure, Paul raconte que les forces de l'ordre avaient été prévenues qu'il avait donné de la sauce piquante à son fils.

Surpris et outré, il a laissé sa compagne expliquer aux agents de police ce qui s'était véritablement passé. Quand ils ont compris la situation, les policiers très gênés se sont excusés et sont partis.