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Val-de-Marne : 2 travailleurs hospitaliers arrêtés, soupçonnés de revente de respirateurs

Nkongo Odile Carine
27 mars 2020
13:05

Un homme salarié à l’hôpital Paul-d’Egine à Champigny est soupçonné de revendre du matériel respiratoire sur Leboncoin. Lui et son complice ont été placé en garde à vue.

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Chez AmoMama, nous faisons de notre mieux pour vous donner les dernières nouvelles concernant la pandémie COVID-19, mais la situation est en constante évolution. Nous encourageons les lecteurs à se référer aux mises à jour en ligne du Ministère des Solidarités et de la Santé, de l'OMS ou des départements de santé locaux pour rester informés. Prenez soin de vous !

Alors que le virus du Covid-19 continu de faire des victimes un peu partout dans le monde, la rigueur pour tous est de se protéger. Dans cette lutte, les respirateurs sont considérés comme des matériaux très précieux, capable de sauver des vies. Cependant, ces derniers pourraient aussi engendrer la convoitise de certains.

C’est alors dans ce sens qu’un salarié d’un l’hôpital Paul-d’Egine à Champigny dans le Val-de-Marne , est soupçonné de faire du trafic de respirateurs, et a été mis en garde à vue avec son présumé complice.

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UN ÉQUIPEMENT POUR SAUVER DES VIES

Dans la lutte contre la pandémie du coronavirus, le respirateur est un matériel important. C’est en connaissant ce facteur important, qu’un homme a proposé sur un site en ligne, de vendre des respirateurs d’urgence et de transport pour un prix de 450 euros.

Suite à ce constat, jeudi 26 mars 2020, le suspect a été interpelé devant l’hôpital privé Paul-d’Egine de Champigny. Il s’agirait d’un salarié de l’institut, travaillant comme ingénieur biomédical.

POUR STOPPER LE TRAFIC

L’homme âgé de 29 ans, a été placé en garde à vue. Par la suite, ce n’est que plus tard dans la journée, que son complice présumé va aussi être arrêté.

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Par ailleurs, les policiers en ont appris davantage sur l’affaire, au fil de l’évolution de l’enquête. En effet, après une investigation plus poussée de la brigade anticriminalité de Chamigny, ces derniers apprennent qu’une vente privée de respirateurs aurait dû avoir lieux le soir même, directement à l’hôpital.

L’enquête continue, et la police espère bien arrêter ce trafic par tous les moyens, et au plus vite.

UN PRÊTRE UNIQUE

S'il est important de se battre pour stopper ce genre de trafic, c'est bien pour éviter qu'à avenir, les incidents tels que celui de Giuseppe Bardel ne se reproduisent plus. Retour sur le sacrifice d'un prêtre dévoué.

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