Toutes mes compagnes m'ont largué après avoir appris que j'avais une fille handicapée, un jour, elles sont toutes venues chez moi - Histoire du jour

Un homme dont la fille est handicapée n'a pas eu de chance en amour jusqu'à ce qu'un événement inattendu se produise, et que tout le monde dans leur petite ville le découvre. Toutes ses anciennes petites amies sont apparues chez lui, le suppliant de leur donner une chance, et il ne savait pas quoi faire.

Lorsque ma petite amie Lucia est tombée enceinte, nous ne savions pas à quoi nous attendre, mais nous étions excités. Cependant, en raison de difficultés pendant l'accouchement et d'autres termes médicaux que je n'ai jamais vraiment compris, notre précieuse fille, Marla, est devenue paralysée. Cela a eu des répercussions sur ma petite amie, qui souffrait également de dépression post-partum.

Finalement, Lucia m'a abandonné, et je me suis retrouvé seul à élever notre petite fille. Je ne le regrette pas une seule seconde. Elle est la lumière de ma vie ; elle est intelligente, curieuse et courageuse.

Je suis un père fier, et ma mère, Rosetta, l'adore également. Elle la surveillait tous les jours quand j'allais au travail. Je n'étais pas l'homme le plus prospère du monde, mais je me débrouillais bien dans notre petite ville de Virginie.

Comme ma fille était brillante, je voulais qu'elle commence à apprendre des choses, et une amie de ma mère m'a recommandé sa nièce, Patricia, pour qu’elle suive des cours avec elle tous les après-midi. Elle était enseignante à l'école maternelle locale et avait besoin d'un peu d'argent supplémentaire, alors l'arrangement a parfaitement fonctionné.

Mes yeux auraient pu sortir de ma tête. "Que faites-vous toutes ici ?" Leur ai-je demandé, perplexe.

Elle était charmante avec Marla et ma mère, et ma vie était géniale. Une chose inattendue s'est produite : j'ai rencontré Ella dont je suis tombé amoureux au premier regard.

Je n'avais pas envisagé de me remettre en couple après le départ de Lucia. C'était trop douloureux de penser que la mère de mon enfant nous a abandonnés, alors j'ai mis cette partie de moi de côté. Mais Ella a tout changé. Elle était belle, douce, et tellement attirante.

Nous avons commencé à sortir ensemble, et notre alchimie était incroyable. Je lui ai dit que j'avais une fille, et elle semblait excitée de la rencontrer. C'était un énorme soulagement. Mais ça n'aurait pas dû l'être.

Un jour, nous avions prévu une sortie en famille au zoo. C'était un endroit sûr et neutre où Ella pourrait passer du temps avec Marla de manière décontractée.

Apparemment, j'aurais dû au préalable prévenir Ella que ma fille est handicapée, car elle a écarquillé les yeux dès que je suis arrivé avec Marla. Elle a feint un sourire, jouant le jeu tout au long de la journée jusqu'à ce que je reçoive un appel d'elle plus tard.

"Je suis désolée. J'hésitais déjà à sortir avec un homme qui a une fille, mais là, je ne peux plus", a immédiatement avoué Ella.

"Ella, je ne te demande rien. Marla est prise en charge par beaucoup de personnes. Tu ne seras responsable de rien, et elle est formidable. Tu verras", ai-je dit, presque en suppliant.

"Non. Je ne peux pas. Je suis désolée. Au revoir", a dit Ella en bégayant avant de raccrocher.

C'était fini. Ella était sortie de ma vie. Bien sûr, je ne voulais pas de quelqu'un qui se comporte ainsi avec Marla, mais j'étais dévasté. Elle était la première femme avec laquelle j'avais sympathisé depuis le départ de Lucia. Ma mère et Patricia m'ont réconforté à propos de ce qui s'était passé.

"Écoute, Ella a fait ce qu'il fallait. Elle s'y est juste prise de la mauvaise façon. Mais elle est partie avant que Marla ne s'attache à elle, ce qui a évité bien des blessures. Tout le monde ne peut pas s'occuper d'un enfant, et tout le monde n'est pas obligé de le faire", m'a dit Patricia.

"Tu as raison".

"Tu trouveras bientôt quelqu'un de mieux. J'en suis sûre !" m'a dit Patricia pour me rassurer, me donnant de l'espoir avant de partir en fin d'après-midi.

Ma mère m'a répété exactement les mêmes mots, et d'une certaine manière, cela m'a remotivé. Je suis resté seul trop longtemps, et je ne devais pas fermer la porte à d'éventuelles nouvelles rencontres.

Cependant, je n'aurais jamais imaginé que l'histoire se répéterait encore et encore. D'abord, il y a eu Oona, qui était formidable et belle comme un mannequin. Quand je lui ai dit dès le début que j'avais une fille handicapée, elle a semblé d'accord. Mais chaque fois que j'essayais de lui faire rencontrer Marla, elle trouvait toujours une excuse : le travail, une sortie avec des amis, un rendez-vous ... bref, tout ce que vous voulez. J'ai fini par l'appeler, et elle a dit que je lui mettais la pression et qu'elle ne pouvait plus le faire. Donc nous avons rompu.

Ensuite, je suis sorti avec Jeannette. Elle était plus avant-gardiste avec des vêtements en cuir et une attitude sans arrière-pensée. J'ai attendu un moment avant de lui parler de Marla. C'était une autre erreur. Quand elle l'a découvert, elle m'a dit qu'elle ne sortirait "jamais avec un homme qui a des enfants".

Ok, je pensais que c'était juste parce que je n'avais pas été sincère. Cependant, trois autres femmes, Maureen, Kyra et Vanna, m'ont largué lorsqu'elles ont entendu parler de Marla, et j'étais effondré. J'ai perdu tout espoir. J'en avais fini avec les rencontres en général.

Je savais qu'elles n'étaient pas totalement fautives. Elles pouvaient choisir de sortir avec quelqu'un et avoir certaines limites, mais je me sentais horriblement mal qu'aucune d'entre elles n'ait même donné à ma fille une petite chance de gagner leur cœur. Marla avait tellement d'amour à donner.

De plus, je me sentais comme un loser qui ne pouvait pas donner à ma petite fille une nouvelle mère ou une figure maternelle. Oui, elle avait ma mère, et Patricia était très spéciale pour elle. Mais ce n'était pas la même chose. Je pensais que ce n'était pas pareil.

Il était temps de passer à autre chose.

Un jour, je ramenais Marla d'une sortie à l'aquarium quand elle a voulu une barre Snickers et un soda à la supérette voisine. Nous sommes entrés, j'ai acheté les articles, et ma petite fille a suggéré quelque chose d'étrange.

"On peut acheter un billet de loterie ?" a-t-elle demandé de sa voix douce.

"Quoi ?" J'ai rigolé. "Pourquoi ?"

"J'ai vu l’émission à la télé avec grand-mère ! Je veux en acheter un. Peut-être qu'on va gagner !" a dit Marla avec excitation.

Je savais que ma mère était accro aux émissions de loterie, même si elle n'en achetait jamais, alors j'ai haussé les épaules et j'ai acheté un exemplaire de chaque lot à la supérette pour que Marla puisse s'amuser. Je n'aurais jamais pensé que cet achat allait littéralement changer nos vies.

Nous sommes allés chez ma mère pour suivre certaines de ces émissions de loterie. Il y avait aussi quelques grattoirs, où Marla a gagné 5 dollars. Mais il y avait un gros lot, apparemment, d'une valeur de près d'un million de dollars, et ma mère était impatiente de voir qui allait le gagner.

Elle était en train de vérifier les numéros avec ma fille quand je me suis levé pour aller chercher un verre, et soudain, toutes deux ont crié fort.

"On a gagné ! On a gagné !"

Je me suis moqué d'elles. "Bien sûr, on a gagné un million de dollars !" ai-je plaisanté en secouant la tête.

"Andrew, nous avons gagné !" m'a dit ma mère avec un air sérieux, en insistant sur le dernier mot, et j'ai fixé son visage pendant une longue minute.

Il m'a fallu des semaines pour finalement réaliser que c'était vrai. Même après avoir déposé l'argent à la banque, je pensais qu'il allait disparaître. Mais il était là, presque un million de dollars ! J'ai décidé de l'utiliser immédiatement à bon escient.

J'ai commencé par rendre notre maison plus adaptée aux personnes handicapées, en installant des rampes d'accès et en facilitant l'accès de Marla aux objets de la maison. Nous avons fait de même pour la maison de ma mère.

Une grande partie de nos gains a également été investie dans le fonds d'études de Marla, auquel je n'avais pas contribué autant que je l'aurais voulu, mais qui était désormais suffisant pour qu'elle puisse faire les études de son choix. J'ai également payé toutes les factures médicales et hypothécaires qui étaient en suspens.

Une fois tous les problèmes importants réglés, je me suis offert la nouvelle voiture dont j'avais toujours rêvé. Ce n'était pas un achat judicieux, mais j'ai pensé que ce serait bien de me faire plaisir. J'ai économisé ce qui restait de cet argent, en attendant des opportunités pour l'investir et le faire fructifier.

Cependant, je n'avais jamais imaginé ce qui allait se passer ensuite.

Vivre dans une petite ville est génial jusqu'à ce que vous réalisiez que les gens peuvent rapidement tout découvrir sur vous. Les ragots allaient bon train après l'achat de cette voiture, et j'ai été choqué de voir un jour Ella sur le pas de ma porte.

"Andrew ! Ça fait plaisir de te voir !" Elle m'a salué comme si elle n'avait pas disparu de ma vie et brisé mon cœur.

Mais avant que je puisse lui demander ce qu'elle faisait là, j'ai vu deux voitures s'arrêter dans ma rue. De l'une d'elles est sortie Oona. Elle a regardé Ella et a froncé les sourcils. Mais ensuite, j'ai vu Jeannette sortir de l'autre véhicule. Je n'en croyais pas mes yeux.

"Que faites-vous toutes ici ?" leur ai-je demandé, perplexe.

"Je voulais te parler", a répondu Oona en premier.

Et Jeannette et Ella ont fait écho, "Moi aussi".

Je pensais que la situation ne pouvait pas être plus bizarre jusqu'à ce que Vanna, Maureen, et Kyra se montrent aussi.

"Est-ce que je me fais avoir ? Mais qu'est-ce qui se passe ?" ai-je demandé, outré par la situation. Elles se sont mutuellement regardées en fronçant le visage, mais aucune d'entre elles n'a dit quoi que ce soit.

Heureusement, j'ai vu la voiture de ma mère qui approchait aussi. Elle amenait Marla et, par coïncidence, Patricia était aussi avec elles. L'institutrice de ma fille est descendue, a aidé ma mère à installer Marla dans son fauteuil et a marché derrière elles.

Ma mère a regardé fixement chaque femme pendant qu'elle poussait le fauteuil roulant de ma fille. Il y avait quelque chose dans ses yeux que je ne pouvais pas expliquer. Comme si elle les jaugeait pour quelque chose. Elle s'est arrêtée à ma porte et s'est adressée à Patricia. "Patty, chérie. Emmène Marla à l'intérieur et ferme la porte".

"Maman, je ne sais pas ce qu'elles font ici. Tout le monde vient d'arriver, et j'essaie encore de comprendre ce qui se passe", ai-je commencé, en secouant la tête et en regardant les filles avec confusion.

"Oh, Andrew. Je t'aime, mais parfois, les hommes sont stupides", a-t-elle dit en me tapotant l'épaule avec condescendance. "Mesdames. Vous devriez avoir honte de vous".

Il y a eu des bruits de pas collectifs et des têtes baissées. Ella a dit : "Je voulais juste parler à Andrew parce qu'on a rompu de façon si brutale".

"Vraiment ? C'est pratique", a dit ma mère avec sarcasme. "Je sais pourquoi vous êtes toutes ici maintenant. Dégagez ! Tout de suite, les harpies ! Vous avez appris pour l'argent de mon fils et vous voulez maintenant lui donner une chance, à lui et à ma petite-fille, n'est-ce pas ?"

Je n'avais aucune idée de ce qui se passait. Je pensais que ma mère était folle de dire une chose pareille, mais en tournant la tête et en regardant les visages des femmes que j'avais fréquentées, j'ai su que c'était la vérité. Mes lèvres se sont serrées et j'ai hoché la tête.

"Parter", ai-je dit calmement. "Je n'ai aucun intérêt à parler à l'une d'entre vous. Partez maintenant".

Certaines ont essayé de protester, mais ma mère les a fait taire en menaçant d'appeler la police. Son plan a fonctionné puisque lentement et sûrement, elles sont toutes parties.

Je suis rentré à l'intérieur et j'ai ri aux éclats. J'étais à moitié perplexe et à moitié soulagé. Je ne pouvais pas croire que ces femmes étaient venues juste parce que j'avais déjà de l'argent. Ma mère a également ri, avant que Patricia et Marla nous rejoignent. Bien sûr, ma fille ne savait pas exactement ce qui se passait, mais elle était simplement heureuse.

Elle était satisfaite des personnes présentes dans cette pièce et heureuse de partager notre joie. Ma mère est allée la mettre au lit et j'ai invité Patricia à s'asseoir avec moi sous le porche arrière. Nous avons parlé de la situation et ri de l'audace de certaines personnes.

Ma mère est partie quand Marla s'est endormie, et je l'ai remerciée.... pour absolument tout.

Mais ce soir-là, Patricia est restée un peu plus longtemps, et j'ai compris que la personne que je cherchais était juste devant moi. Elle aimait déjà ma fille, ma mère et moi. J'avais eu le cœur brisé tellement de fois que je ne l'avais pas vu sous cet angle.

Je l'ai invitée à sortir quelques semaines après et nous nous sommes mariés deux ans plus tard. Patricia a adopté Marla quand ma petite fille avait dix ans, et nous avons eu deux autres enfants qui aimaient passionnément leur grande sœur.

Parfois, les meilleures choses de la vie sont déjà là, devant vous. Il suffit d'ouvrir les yeux pour les voir.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Certaines personnes ne valent pas la peine qu'on leur consacre du temps, et on devrait être content de ne pas les avoir dans notre vie. Les femmes qu'Andrew a choisies ne méritaient pas de faire partie de sa vie, car elles lui ont tourné le dos lorsqu'elles ont appris pour Marla. À la fin, il savait qu'il avait évité une grosse balle.
• Ouvrez les yeux sur les personnes merveilleuses qui vous soutiennent et vous aident déjà. Andrew n'a pas réalisé que Patricia était la femme parfaite pour lui jusqu'à ce qu'il reçoive la visite de ses ex-copines à cause de son argent.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec de véritables noms ou lieux est une pure coïncidence. Toutes les images sont utilisées uniquement à des fins d'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, envoyez-nous un mail à info@amomama.com.

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