Un garçon gâté se moque d'une hôtesse de l'air, sans savoir que son riche père l'observe - Histoire du jour

Andrew, 17 ans, est un garçon riche qui a l'habitude d'obtenir ce qu'il veut et qui maltraite les gens lorsqu'il ne l'obtient pas. Un jour, son père décide qu'il est temps qu'Andrew apprenne le respect et trouve le moyen de lui donner une leçon lorsqu'il le voit se moquer d'un agent de bord.

"Vous pouvez aller plus vite ?". Andrew, 17 ans, a grogné contre un homme plus âgé devant lui alors qu'il marchait vers son siège. L'homme avait des difficultés à marcher, il était donc assisté par une jeune hôtesse de l'air, une femme rousse avec des taches de rousseur. Andrew était si impatient d'arriver à son siège qu'il les a dépassés en trombe, sans même se soucier de s'arrêter pour s'excuser d'avoir été si impoli.

L'avion a décollé après la démonstration de sécurité avant le vol, qu'Andrew a trouvé ennuyeuse parce qu'il prenait souvent l'avion depuis l'âge de cinq ans. Il a soulevé le store de la fenêtre pour jeter un coup d'œil au monde qui se trouvait sous ses pieds et a poussé un gros soupir parce qu'il avait hâte de rentrer chez lui. Il s'ennuyait sur le vol long-courrier, alors il a détaché sa ceinture de sécurité et s'est levé pour prendre sa tablette dans son sac dans le compartiment supérieur.

"Excusez-moi, monsieur", l'hôtesse de l'air qui aidait l'homme plus âgé avant le décollage s'est approchée de l'adolescent. "Votre sac est en train de sortir. Vous n'avez pas fermé le compartiment à bagages correctement", a-t-elle dit.

"Alors faites-le au lieu de rester là à regarder, allez-y. Ce n'est pas mon travail," Andrew a froncé les sourcils...

Ce jour-là, le garçon était déjà d'une humeur exécrable, et la seule chose qui l'avait calmé était de prendre l'avion pour rentrer chez lui pour les vacances, après son premier semestre d'internat. Andrew avait détesté chaque minute de son séjour là-bas, aussi était-il impatient de retrouver son PC Gamer sophistiqué et la voiture de luxe qu'il avait reçue pour son 16e anniversaire.

"Qu'est-ce que vous regardez, madame ? Fermez-la et bougez-vous. Vous sentez la sueur... reculez", a lancé Andrew à la femme.

"Tu n'aurais pas vécu cette journée si tu avais appris à respecter les gens et à ne pas mépriser leur travail".

Découragée, l'hôtesse de l'air a répondu par un sourire. Elle a fermé le compartiment supérieur et s'est éloignée pour vérifier si quelqu'un d'autre à bord avait besoin de quelque chose. Pendant ce temps, Andrew a commencé à grignoter des cacahuètes. Il en a pris une bouchée et, dégoûté par le goût, il a tout craché dans un sac à vomi et a immédiatement rappelé l'hôtesse.

"Hé, toi ! Viens ici...", lui dit-il en claquant des doigts. "Faites vite, madame !"

"En quoi puis-je vous aider, monsieur ?", l'hôtesse de l'air lui a souri.

"Ces cacahuètes ont un goût affreux ! Vous pouvez me trouver quelque chose de mieux à grignoter que ces cacahuètes", Andrew lui a lancé le sac de cacahuètes.

L'hôtesse de l'air s'est figée sur place, tandis que les passagers à proximité se retournaient et la regardaient, incrédules. Son sourire se transforme en froncement de sourcils. Le comportement de l'adolescent la perturbe, et il ne veut pas baisser la voix lorsqu'elle lui demande d'y aller doucement.

"Monsieur, s'il vous plaît, ne me jetez pas des choses.", a-t-elle dit poliment.

"Je fais ce que je veux", a répondu Andrew. "Vous êtes ici pour me servir, alors arrêtez de vous plaindre et faites votre travail. Allez me chercher quelque chose de bon à manger... pas des cochonneries comme ces cacahuètes... maintenant vas-y."

Le co-passager d'Andrew était l'homme âgé dont il s'était moqué plus tôt. Agacé par le comportement du garçon, il l'a interrompu, espérant que le garçon obéirait et ne serait plus impoli.

"Jeune homme, ne lui parle pas comme ça", a dit l'homme âgé à Andrew. "Ce n'est pas parce que c'est son travail de nous servir que tu peux lui manquer de respect. Elle est ici pour faire son travail, et elle le fait bien jusqu'à présent. Ce serait bien que tu sois gentil avec elle et que tu arrêtes de lui crier dessus."

"Pourquoi devrais-je être gentil avec quelqu'un qui ne sait pas comment faire son travail ? Arrêtez de rester debout comme une statue et allez me chercher quelque chose à manger, voulez-vous, madame ?", Andrew a roulé les yeux et a fait claquer ses doigts à l'hôtesse de l'air. "Vous êtes sourde ? Vous ne m'avez pas entendu ? J'attends toujours mon casse-croûte. Faites-le vite."

L'hôtesse de l'air s'est éloignée, les yeux baissés et les larmes aux yeux. Elle avait vu beaucoup de personnalités différentes pendant son service. Certaines gentilles, d'autres grossières, mais Andrew sortait du lot. Il ne cessait de l'insulter et de lui rappeler son travail, et elle n'aimait pas ça. Mais elle ne pouvait rien faire d'autre que de simuler un sourire et d'obéir aux ordres du garçon.

L'homme plus âgé à côté d'Andrew a soupiré et a continué à lire son magazine. "Tes parents doivent être tellement déçus de toi", a-t-il haussé les sourcils. "Peut-être qu'ils auraient dû t'apprendre les bonnes manières."

"Personne ne vous a demandé votre avis, vieil homme", a dit Andrew en commençant à faire défiler les options de films. " Vous savez, les vieux comme vous devraient s'occuper de leurs affaires au lieu de fourrer leur nez partout. J'ai payé pour ce vol, et je mérite un service de première classe."

Quelques minutes plus tard, l'hôtesse de l'air est revenue avec un paquet de bretzels. Elle était nerveuse, mais s'est quand même approchée du garçon en souriant.

"Voilà, monsieur", dit-elle en lui tendant la collation. "S'il y a autre chose que vous désirez..."

Andrew ricana et lui a arraché le plateau des mains. "Il vous a fallu si longtemps pour m'apporter ces satanés bretzels ? ? J'ai dit que j'avais faim, et que je voulais quelque chose de bon à manger. Je n'ai pas demandé ça !"

L'hôtesse de l'air a reculé, les larmes lui montent aux yeux. "Les cacahuètes et les bretzels sont les seules collations que nous servons sur ce vol, monsieur", a-t-elle dit avec politesse.

"C'est pathétique... tout comme toi !", Andrew s'est penché en avant de son siège. "Allez me chercher une collation appropriée, maintenant ! Je vais vous faire virer si vous n'apportez pas quelque chose de bon cette fois-ci."

Les injures d'Andrew ont choqué presque tous ceux qui l'ont entendu. C'est ainsi qu'une femme de l'autre côté de l'allée s'est levée de son siège et s'est précipitée pour soutenir l'hôtesse de l'air.

"Attention à ce que tu dis, jeune homme... Comment oses-tu lui parler comme ça ?", a dit la femme en posant sa main sur le bras de l'hôtesse. "Tes parents ne t'ont pas appris les bonnes manières, mon garçon ? Apprends à montrer un peu de respect...."

"Si elle faisait bien son travail, alors je n'aurais pas perdu mon temps à la scolariser, madame", a indiqué Andrew, en colère contre l'hôtesse de l'air. "Après tout, elle n'est qu'une simple domestique sur ce vol, et elle est en plus très mauvaise. Elle ne sait pas comment servir les gens, alors pourquoi travaille-t-elle sur cette compagnie aérienne ? La personne qui l'a engagée a la tête dans le..."

L'hôtesse de l'air n'en pouvait plus et a fondu en larmes. C'était trop pour elle, mais Andrew n'arrêtait pas de l'insulter.

"Quelqu'un devrait te donner une leçon, jeune homme", lui a lancé le vieux passager assis à côté d'Andrew. "Je t'ai observé depuis le début, et tu dois apprendre les bonnes manières. Ce n'est pas comme ça qu'on parle aux gens."

"Je suis d'accord", a ajouté un autre passager, un homme dans un costume coûteux, derrière Andrew. "Tu as été tellement agaçant et impoli avec elle. Elle fait bien son travail, mais je crois que tu ne sais pas comment être poli et respecter les gens, mon garçon."

Andrew a été très surpris par cette voix qui lui était familière. Son visage est devenu grisâtre alors qu'il balbutiait ses mots. Son front s'est plissé sous le choc, et sa bouche s'est ouverte quand il s'est retourné.

" PAPA ? ? QU'EST-CE QUE TU FAIS ICI ?", a-t-il haleté.

"ANDREW ? ?" Le père du garçon, Steven, a également été surpris, et un frisson a parcouru sa peau, vif et froid, lorsqu'il a réalisé que la jeune brute qui insultait l'hôtesse de l'air n'était autre que son propre fils.

"J'ai dû prendre ce vol économique pour retourner à New York en raison d'un retard de dernière minute dans la réservation. J'ai cru entendre ta voix, mais j'étais occupé à vérifier le rapport annuel de la compagnie. Je n'arrive pas à croire que ce soit toi qui fasses une scène ici !", Steven s'est fâché contre Andrew, qui est resté figé, la bouche fermée et les yeux fixés sur son père.

"Mais...papa...", a bégayé Andrew.

"Tais-toi et EXCUSE-TOI AUPRÈS D'ELLE tout de suite !", a ajouté Steven. "Je t'apprendrai les bonnes manières en rentrant à la maison. Maintenant, dis-lui pardon."

Andrew a courbé les épaules et a marmonné des excuses. "Désolé", c'est tout ce qu'il a dit à l'hôtesse de l'air. Il ne voyait pas où était le problème, et il n'a pas du tout aimé que son père le réprimande devant tout le monde.

Le vol est arrivé à destination et Andrew a suivi son père jusqu'au taxi, se rongeant anxieusement les ongles, pensant à ce qui allait se passer à la maison. Dès qu'ils sont arrivés à la maison, Steven a conduit son fils directement à son bureau, au deuxième étage de leur luxueuse maison.

"Tu m'as rendu si fier aujourd'hui, mon fils !", a commencé Steven en roulant des yeux.

" Est-ce pour cela que je t'ai envoyé dans un pensionnat ? Est-ce pour cela que j'ai dépensé des centaines de milliers de dollars pour toi chaque mois, afin que tu reçoives la meilleure éducation et que tu grandisses pour devenir un jeune homme responsable et respectable ?".

"Je suis fâché et déçu par toi... J'espérais que tu t'amenderais, mais ce n'est pas le cas... Il faut en finir tout de suite."

Steven a claqué la porte et s'est retourné en pointant Andrew du doigt. "Ton comportement est si dégoûtant, Andrew. Rien ne peut te changer à moins que ce ne soit fait à la dure... Je pense qu'il est grand temps que tu commences à respecter les gens qui t'entourent."

"Je ne comprends pas pourquoi tu en fais toute une histoire, papa", a lancé le garçon en écartant les bras et en argumentant. "C'est juste une hôtesse de l'air. C'est pas comme si elle était importante ou quoi que ce soit... Et elle est payée pour nous servir, et elle ne faisait pas bien son travail."

"La façon dont elle fait son travail n'est pas ton problème, Andrew. Tu penses que tu es meilleur que les autres parce que tu es né dans une famille riche ? Tu crois que tu peux t'en tirer en maltraitant les autres juste parce que ton père est riche ?". Steven a croisé les bras.

"Désolé, mais ça ne marchera pas à partir de maintenant, et tu as besoin d'un peu de correction, alors tu ferais mieux de mettre ta ceinture".

"Qu'est-ce que ça veut dire ?"

"Tu ne retourneras pas à l'internat après les vacances. Tu continueras ta scolarité dans une école publique ici... Et tu devras gagner ta vie jusqu'à la fin des vacances."

"TRAVAILLER ? Papa, c'est insensé. Tu plaisantes, hein ?"

"Est-ce que j'ai l'air de plaisanter ?"

Andrew était sous le choc. "Je vais travailler dans ton entreprise ?". Il se redresse. Steven possédait une société de services de nettoyage qui offrait des services d'entretien ménager de premier ordre à différentes industries de la ville, y compris l'aéroport.

Steven sourit. "Oui, exactement ! Tu vas travailler dans mon entreprise à partir de demain... comme CONCIERGE !"

Andrew était horrifié.

"QUOI ?? UN CONCIERGE ? ?? Papa, je ne veux pas le faire ! Que vont penser les gens s'ils me voient faire le ménage ? Pas question, papa. Je ne le ferai pas, ok !"

"Je t'ai donné le choix, fiston ? Je ne le pense pas ! Tu t'engageras demain, et je te coupe aussi tous tes privilèges. Je prends tes cartes bancaires, ton ordinateur portable, ta voiture, et ton téléphone portable. Je prends même tous tes vêtements et tes chaussures de marque. À partir de demain, tu vas devoir porter des vêtements simples et commencer à travailler pour gagner ta vie pendant tout ce mois", a dit Steven en mettant les mains sur les hanches.

"C'est de ma faute si tu es devenu un enfant gâté. J'aurais dû passer du temps à t'apprendre les bonnes manières au lieu de ne faire que de l'argent après la mort de ta mère. Il est grand temps que tu apprennes combien il est difficile de survivre dans ce monde. C'est maintenant ou jamais... Tu dois arrêter de regarder les autres de haut et apprendre à respecter les gens."

"Mais papa, pourquoi fais-tu ça ? Je peux faire un autre travail. Pourquoi concierge ? Les gens vont se moquer de moi", argumente Andrew, déçu. "Ils vont dire des choses sur moi... et mes amis... ils vont se moquer de moi s'ils me voient avec un balai à la main".

"Tu l'as cherché, mon fils ! Tu n'aurais pas vécu cette journée si tu avais appris à respecter les gens et à ne pas mépriser leur travail. Ce qui est dit est dit... et rien ne change."

Steven se dirigea en trombe vers la porte, espérant que cela remettrait son fils en place.

"Et encore une chose, si tu quittes ton travail à mi-chemin, cela signifie que tu abandonnes, et que tu perds mon argent ou toute aide dans le futur...Et tu ne récupéreras jamais tes biens !".

Andrew a été secoué par l'ultimatum de son père, et il n'a pas eu d'autre choix que d'accepter. Ses affaires ont été saisies, et il a commencé son travail de concierge à l'aéroport le jour suivant.

Andrew était tellement dégoûté et gêné d'entrer dans le terminal dans une tenue de concierge. Il a pris timidement le seau et le balai à franges, en scrutant le hall, l'air harassé. Andrew avait peur que quelqu'un de son entourage le voit dans cet état et se moque de lui.

Le premier jour, il a été assigné à travailler avec une femme plus âgée qui était son assistante et sa superviseure.

"Quel idiot ! Ce n'est pas comme ça qu'on tient un balai à franges, imbécile !". La dame a explosé d'un rire étourdissant en se moquant d'Andrew. Né avec une cuillère en argent dans la bouche, le garçon ne savait pas comment faire le moindre travail ménager, et encore moins le nettoyage. Il ne savait rien, pas même comment tenir correctement la serpillière ou balayer le sol. Andrew était déjà furieux, et maintenant il bouillonnait de colère.

" Taisez-vous, voulez-vous ? Il n'y a pas de quoi rire, madame. Je n'ai pas l'habitude de faire ces bêtises. Fermez votre gueule et allez faire votre travail, ou je vous fais virer", s'emporte Andrew.

"Oh non, vous ne le ferez pas !", répond la femme en le pointant du doigt. "Je travaille ici depuis très, très longtemps. Je connais votre père depuis qu'il a créé cette entreprise de services de nettoyage. Il m'a parlé de toi et m'a également demandé de redresser ta petite queue si nécessaire. Maintenant, au travail... Ces sols ne vont pas se nettoyer seuls. Dépêche-toi !"

Andrew soupira d'un air déçu et commença maladroitement son travail. "Même les paresseux sont plus rapides que toi, mon garçon. Il faut que tu accélères", a dit la femme âgée. "Il reste beaucoup de travail, alors plus vite... plus vite !"

Andrew grommela et jura, mais rien n'y fit. Il a balayé le hall et passé la serpillière. Il avait l'impression de s'être déjà cassé la hanche. Il était si fatigué de soulever des seaux d'eau et d'éponger les surfaces de haut en bas. Andrew n'avait jamais été fatigué de toute sa vie comme il l'était ce jour-là. De plus, la femme âgée était constamment derrière son dos, le surveillant, de sorte qu'il ne pouvait même pas reposer ses membres endoloris pendant une minute.

Le garçon balaie le sol et ramasse les déchets, et juste au moment où il se dirige vers la poubelle de l'aire de restauration, quelque chose le frappe durement à l'épaule.

"Hé, fais gaffe, mec !", a-t-il crié à un passant qui lui avait jeté une bouteille d'eau en plastique vide. "Comment oses-tu me jeter ça sur moi ?"

Le type a ignoré Andrew et s'est éloigné en mettant ses écouteurs.

"Hé, je te parle... Tu ferais mieux de t'expliquer, OK ? Pourquoi tu as jeté cette chose sur moi ?" Andrew a couru après l'homme et lui a attrapé le bras.

"Enlève tes mains sales de moi, sale concierge", le type a arraché la main d'Andrew, le poussant sur le sol, et s'est éloigné.

Andrew est tombé avec un lourd bruit sourd et a regardé la foule de passants qui se moquait de lui. Il avait tellement honte, et au moment où il se relevait, un homme s'est approché de lui en criant à tue-tête.

"Hé, espèce d'idiot !", a crié l'homme. "Tu as perdu la tête ? Qui va mettre le panneau d'avertissement sur ce sol mouillé ? J'ai failli glisser et tomber, espèce de crétin."

"Je suis désolé, monsieur. Je vais l'accrocher maintenant", dit Andrew.

L'homme s'éloigne en fronçant les sourcils.

Andrew soupira, pensant que c'était fini et qu'il pouvait détendre un peu ses jambes douloureuses. Sa journée avait déjà commencé de façon désastreuse, mais il n'aurait pas pu imaginer ce qui l'attendait lorsqu'une femme âgée ayant beaucoup de rondeurs, accompagnée d'un petit garçon de cinq ou six ans, se dirigea vers lui.

"Hé toi, concierge, viens ici", a-t-elle lancé à Andrew.

"Moi ?"

"Oui, toi, viens ici."

Andrew n'a pas aimé la façon dont elle l'a appelé et l'a suivi. "Nettoie ça !", a-t-elle dit en montrant le vomi sur le sol. Son petit-fils avait vomi.

"QUOI ??! Vous vous moquez de moi, madame ? Je ne peux pas toucher à ça... Eeewww ! Pas question !", se renfrogne Andrew, qui recule de dégoût en voyant le vomis sur le sol.

"Comment ça, tu ne peux pas y toucher ? C'est ton travail, et tu dois le faire", répond la femme.

"Ne me dites pas que c'est mon travail. Je ne toucherai pas à cette chose. J'ai envie de vomir... ça pue...."

"Si tu ne le nettoies pas maintenant, je vais te dénoncer et te faire virer !"

Comme Andrew souhaitait ne jamais voir un jour comme celui-ci. Il a regardé autour de lui pour trouver son assistante, mais elle n'était nulle part en vue.

"Qu'est-ce que tu attends ? Nettoie tout ça."

Les larmes coulent dans les yeux d'Andrew qui enfile ses gants et nettoie le désordre. Il a passé la serpillière et a eu envie de vomir. Il ne s'était jamais senti aussi dégoûté et désemparé.

Pendant toute cette journée, Andrew n'a pratiquement pas eu de temps pour lui. Dès qu'il se levait pour faire une pause, son assistant l'appelait et lui assignait la prochaine série de tâches qui semblait être une série interminable de désastres s'abattant sur lui.

"Laissez-moi une pause, madame... je suis fatigué", a-t-il supplié à la femme. "Je suis un humain. Pas un robot. Je reviens dans cinq minutes. J'ai besoin de respirer... Ce n'est pas la fin du monde, et les gens ne vont pas arrêter de jeter des déchets ici."

"Nous sommes ici pour travailler... pas pour nous reposer, mon garçon ! Les gens vont aller et venir, donc nous devons garder les sols brillants tout le temps. Dégage les poubelles maintenant... Debout ! Debout !"

Andrew jeta ses bras fatigués et endoloris en se levant, en grognant. Il a porté de lourdes poubelles à l'extérieur et les a vidées. Puis il courut jusqu'au hall d'entrée pour s'assurer qu'il était étincelant. Il devait balayer l'escalator, et monter et descendre les escaliers lui donnait le vertige.

Andrew était si épuisé qu'il a décidé de faire une pause et de se défendre. J'en ai fini avec tout ça...", se lamenta-t-il en cherchant la femme âgée. Quand il a remarqué qu'elle n'était vue nulle part, il s'est dirigé vers les escaliers près d'un couloir moins encombré et s'est assis, la tête enfouie dans ses mains. Soudain, il a senti les chaussures pointues de quelqu'un lui taper dans le dos.

"Pousse-toi de là, espèce de paresseux", lui a lancé une dame âgée en se dépêchant de sortir, en ricanant. "Je vais vous dénoncer pour avoir dormi au travail."

"Je ne dormais pas... faites attention à ce que vous dites", a-t-il argumenté.

"Je vais m'assurer que tu sois viré. Comment oses-tu me répondre ?", la dame est partie en marmonnant.

Des larmes coulent dans les yeux d'Andrew quand il comprend que c'est ce que son père a essayé de lui apprendre. La culpabilité et la honte ont jailli dans son cœur quand il a compris à quel point cela faisait mal d'être maltraité par des gens qui pensaient être meilleurs que lui.

Andrew pleura dans ses paumes et regarda la foule quand la silhouette d'une femme attira son attention. Il se leva et courut immédiatement après elle lorsqu'il la reconnut.

"Hé là, attends une minute", a-t-il crié en tapant sur le bras de la femme.

Elle s'est retournée et a été stupéfaite de le voir essoufflé, se tenant les genoux, regardant l'hôtesse de l'air dont il s'était moqué dans l'avion la veille.

"Pas vous, encore ! Et qu'est-ce que vous faites ici ? Dans cet uniforme de concierge ? Je ne vous ai jamais vu auparavant. Vous travaillez ici ?". Elle porte la main à sa bouche en signe de choc.

"Je suis désolé de m'être moqué de vous hier !", dit Andrew.

"Je n'aurais pas dû être impoli avec vous. Je vous ai traité si mal. Je vous ai insulté et traité de tous les noms. Mais vous m'avez quand même servi avec le sourire. J'ai tellement honte de moi, et je promets de ne plus être impoli avec personne. S'il vous plaît, pardonnez-moi, d'accord ?"

L'hôtesse de l'air a été stupéfaite par les mots du garçon et son soudain changement d'avis. Son froncement de sourcils s'est transformé en sourire dès qu'il s'est excusé.

"Je suis contente que vous ayez réalisé votre erreur. Mais je ne comprends toujours pas ce que vous faites ici."

Andrew refusa de révéler quoi que ce soit et sourit, disparaissant de la vue de l'hôtesse de l'air pour terminer le travail en suspens de la journée.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Vous n'avez pas le droit de regarder les autres de haut ou de les juger sur leur profession juste parce que vous êtes riche. Né avec une cuillère en argent dans la bouche, Andrew était un adolescent gâté qui n'a jamais traité les gens avec respect. Il s'est moqué d'une hôtesse de l'air parce qu'il pensait qu'elle était une "servante" payée pour servir les passagers du vol.
• Chaque travail requiert un ensemble de compétences particulières qui peuvent vous faire défaut, alors réfléchissez-y à deux fois avant de vous moquer de quelqu'un pour son travail. Malgré sa richesse et son éducation, Andrew ne savait même pas comment tenir un balai à franges lors de son premier jour de travail en tant que concierge. Il a toujours considéré les choses comme acquises et n'a jamais respecté les gens.

Dites-nous ce que vous pensez, et partagez cette histoire avec vos amis. Elle pourrait les inspirer et égayer leur journée.

Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec de véritables noms ou lieux est une pure coïncidence. Toutes les images sont utilisées uniquement à des fins d'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, envoyez-nous un mail à info@amomama.com.

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