Brigitte Bardot fête ses 84 ans: Qu'est-il arrivé à son fils unique Nicolas élevé par son mari?
Brigitte Bardot n’a pas toujours été une mère exemplaire. Ne voulant pas avoir d’enfant, elle a abandonné son fils pour le laisser être élevé par son mari. Que devient ce fils?
BB parle rarement de son seul et unique fils, Nicolas. "Je n'ai jamais cru au lien du sang", déclare-t-elle à Paris Match en 2009.
Au cours d'une interview-fleuve accordée au Monde, alors qu’elle a parlé des animaux et de ses luttes pour la défense des animaux, son plus grand combat depuis plusieurs années, elle évoque aussi le sujet à propos de son fils et de la maternité.
"Je ne voulais pas donner naissance à un être humain supplémentaire. J'estime qu'il y en a trop sur Terre. Et ils me font peur",
elle a dit, en particulier, avant d'être interrogée sur son fils né en 1960, "dans des circonstances cauchemardesques".
Brigitte avoue qu’elle n’a jamais eu l’instinct maternel: "J'ai eu un fils qui n'a pas provoqué en moi un développement terrible de la fibre maternelle. En revanche elle avoue qu’elle l’avait avec les animaux.
Toutefois, elle se félicite du fait que son fils a “forgé tout seul une vie, en Norvège, et il a réussi”.
Et puis elle ajoute,
"Nicolas a aujourd'hui 57 ans et il est merveilleux. Il adore les enfants, s'occupe énormément de sa famille, et de moi aussi par la même occasion. Je me sens même un peu la fille de mon fils, alors que je suis arrière-grand-mère!
"MES PETITS ENFANTS? JE NE LES AI JAMAIS VUS”
"On se voit très, très rarement",
se confie-t-elle. De plus, elle n'a plus du tout de contacts avec ses deux petites-filles.
“Mes petits enfants, je ne les ai jamais vus. Elles ne parlent pas français , mais je les aime beaucoup, elles sont belles en plus".
ELLE L’APPELLE “UNE TUMEUR”
Le fait que Brigitte ne voulait pas d’enfant, cela tout le monde le savait. Elle a même appelé son fils “une tumeur”.
«C'était comme une tumeur qui s'était nourrie de moi, que j'avais portée dans ma chair tuméfiée, n'attendant que le moment béni où l'on m'en débarrasserait enfin. Le cauchemar arrivé à son paroxysme, il fallait que j'assume à vie l'objet de mon malheur.»