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D'après Philippe de Villiers, 'si ça pète dans les banlieues, on n'est pas capable de faire face'

Quentin Autier
03 nov. 2018
10:06

Philippe De Villiers s'est exprimé lors de son passage sur C8 et il s'est montré alarmiste.

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Le fondateur du Puy du Fou a répondu aux questions de Thierry Ardisson sur C8 et il s'est confié sur ce qu'il pense de la politique et de la société française actuelle.

Source: Wikimedia

Source: Wikimedia

Lors de son passage dans l'émission "Les Terriens du samedi!", Philippe de Villiers s'est exprimé de manière totalement honnête. Venu faire la promotion de son livre "Le Mystère Clovis" a parlé des origines chrétiennes de la France et de l'Islam.

Il s'est montré très critique envers les "eurocrates et des élites mondialistes" qui selon lui veulent fonder "une société multiculturelle, en prenant le risque de faire une société multidéculturée et multiconflictuelle".

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Il a ajouté qu'il était très difficile de s'exprimer aujourd'hui à cause de la "cage aux phobes" faisant ainsi référence aux termes "islamophobe", "homophobe", "xénophobe" et "europhobe".

Pour lui, le problème de la société actuelle est que les hommes politiques sont beaucoup trop riches: "Le jour où le roi deviendra le premier des gentils hommes, la monarchie meurt" déclare-t-il après avoir parlé de Clovis qui était devenu le roi des "plus pauvres" en motant sur le trône.

Après avoir parlé de sa rencontre avec Emmanuel Macron en 2016 à l'issue de laquelle le chef de l'État avait déclaré "Je ne suis pas socialiste", Philippe de Villiers a parlé de son frère, le général Pierre de Villiers, qui a démissionné suite à des désaccords avec le président.

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Bien qu'il ait refusé d'en dire plus à Thierry Ardisson sur "la réalité de la situation politique en France", Philippe de Villiers est persuadé de savoir ce que son frère voulait faire réaliser aux deux derniers présidents.

D'après lui, il leur aurait dit: "Si ça pète dans les banlieues, on n'est pas capable de faire face, on n'a pas les moyens de faire face, on n'a pas les hommes."

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