L'engagement de Brigitte Macron: elle a enfin pu rencontrer Sandrine Bonnaire et sa sœur autiste
Brigitte Macron a rencontré Sandrine Bonnaire et sa sœur autiste Sabine à l’Elysée en marge de la Journée internationale des droits des femmes.
Engagée dans la lutte contre les exclusions, notamment ce qui touche au handicap, à l’éducation et à la maladie, l’épouse d’Emmanuel Macron a tenu à échanger avec Sandrine Bonnaire, ce vendredi 8 mars.
Pierre-Olivier Costa, directeur du cabinet de la première dame, a mis en ligne une photo de cette rencontre sur son compte Instagram. Brigitte Macron pose en compagnie de Sandrine Bonnaire, sa fille aînée Jeanne et Sabine Bonnaire. Il s'agit de la sœur autiste à qui l'actrice a consacré un film "Elle s'appelle Sabine".
Dans ce documentaire, présenté à Cannes en 2007, Sandrine Bonnaire filmait sa soeur dans la structure d'accueil de Charente dans laquelle elle vit. Elle raconte comment Sabine a été déscolarisée à 12 ans et comment, avec le temps et l'isolement, la maladie a pris le dessus.
Le film dénonce aussi, à travers la tragique expérience de la soeur de l'actrice et les difficultés de sa famille, le manque de structures d’accueil pour les personnes handicapées.
Tous ces problèmes interpellent la premiere dame qui dès l'élection de son époux, a fait part de son désir de s'engager pour les personnes en situation de handicap:
"Les Françaises et les Français adressent à Brigitte Macron, dès son arrivée, de très nombreux courriers. Elle décide de partir de ces sollicitations pour bâtir son agenda et déterminer ses engagements parmi lesquels figurent l'inclusion des personnes en situation de handicap, la protection de l'enfance et la lutte contre le harcèlement scolaire."
est écrit sur la page de l'Elysée consacrée à son action.
SA LUTTE CONTRE LE HARCÈLEMENT SCOLAIRE
Du temps où elle était enseignante, la première dame savait déjà faire preuve de fermeté pour lutter contre le harcèlement scolaire.
Brigitte Macron est très engagée contre le harcèlement scolaire, et ce depuis bien avant que son mari ne devienne président. En tant qu'ancienne prof de français, l'actuelle première dame a pu être confrontée au problème en direct.
Alors qu'elle visitait un collège dans les Hauts de Seine le jeudi 15 novembre dernier, elle s'est exprimée devant les journalistes, et leur a expliqué qu'elle avait une technique pour remédier aux mauvais traitements que certains élèves infligeaient aux autres.