Valérie Bonneton : l’actrice a failli arrêter son métier qui tardait à lui confier des rôles principaux

Valérie Bonneton, l’actrice française qui a joué dans la série Fais pas ci, fais pas ça, a failli tout abandonner vers 35 ans. Raison ? Des rôles supplémentaires.

Il a fallu beaucoup de travail, de détermination et de confiance en soi à Valérie Bonneton pour réaliser son rêve et devenir actrice. Pourtant, en 2007, juste avant le tournage de la série, Fais pas ci, fais pas ça, la femme a failli abandonner sa carrière.

En souhaitant s'orienter vers une reconversion, Valérie Bonneton a songé à changer son métier vers 35 ans. L’actrice s’est confiée à nos confrères de Gala :

"Après le Conservatoire, j’ai toujours travaillé. J’ai joué au théâtre, eu des petits rôles au cinéma, mais au bout d’un moment, vers 35 ans, je me suis dit, là, il faut qu’il se passe quelque chose, je ne vais pas continuer à aller faire dix essais au fond d’une banlieue pour deux jours de tournage, surtout avec deux enfants."

Pendant deux ans Valérie n’a pas travaillé, à l’inverse de son compagnon, François Cluzet, dont la carrière explosait. Afin d’être "heureuse dans la vie" et ne souhaitant pas de s’accrocher en vain, elle a envisagé même une reconversion dans le commerce.

Cependant, c’est la série télévisée, Fais pas ci, fais pas ça, qui a tout changé. En acceptant le rôle d’une mère de famille râleuse et hyperactive, Fabienne Lepic, Valérie Bonneton est devenue tête d’affiche au cinéma, notamment dans La Garde alternée et Le Grand Partage.

L’actrice incarnait tellement bien son personnage que même son fils lui lançait de temps en temps :

"Arrête maman, on dirait Fais pas ci fais, pas ça."

Si dans le jeu, il semble que Valérie Bonneton ne sent pas la gêne, dans la vraie vie cela lui arrive souvent :

"Oui. Je peux rougir facilement, avoir une espèce d’angoisse, j’anticipe des choses, je m’embrouille… Mais je me soigne, j’essaie… Je vois un psy" a-t-elle témoigné.

La femme de 49 ans pose aujourd’hui un sourire pour signifier "défense d’entrer".