"J’ai perdu ma mère !" : Harry attaque la presse pour sa femme et la mémoire de sa mère
La duchesse de Sussex, Meghan Markle a entamé une action en justice contre The Mail on Sunday, au motif qu'elle aurait publié illégalement une de ses lettres privées écrites pour son père. Le prince Harry a déclaré d'attaquer les médias qui harcèlent sa femme.
Dans la déclaration, Son Altesse royale, le Prince Harry a expliqué que cette action en justice s'articule autour d'un incident qui s'inscrit dans un comportement long et inquiétant de la part des médias tabloïdes britanniques.
Harry a révélé que le contenu d'une lettre privée a été publié illégalement d'une manière intentionnellement destructrice pour manipuler les lecteurs, et pour favoriser le programme de division du groupe de médias en question.
Son Altesse Royale a écrit que même si cette action n’est pas la plus sûre, elle est la bonne.
Parce que sa plus grande peur est que l'histoire se répète. Il a déjà vécu ce qui arrive, et la victime était une personne qui lui était très chère.
“J'ai perdu ma mère et maintenant je vois ma femme être victime des mêmes forces puissantes”,
a-t-il confié.
Ainsi la duchesse Meghan Markle est devenue l'une des dernières victimes de la presse britannique qui fait campagne contre des individus sans penser aux conséquences.
Une campagne impitoyable qui s'est intensifiée au cours de la dernière année, tout au long de sa grossesse et tout en élevant leur fils nouveau-né.
Le cabinet d'avocats Schillings, agissant pour la duchesse, a accusé le journal d'une campagne de fausses histoires désobligeantes.
Le cabinet a déposé une plainte devant la Haute Cour contre le journal et sa société mère pour abus d'informations privées, violation du droit d'auteur et violation de la loi de 2018 sur la protection des données.
La duchesse royale a été souvent critiquée par les médias. Comme pendant le jour de son mariage, pendant son congé de maternité, lors de sa tournée en Afrique.
La jeune femme a été aussi accusée d’avoir trop négligé le protocole royal.