"Ça va beaucoup mieux" (RTL) : Michel Cymes critique Didier Raoult

Pendant l'édition de “Ça va beaucoup mieux” le 11 mai 2020, Michel Cymes est revenu sur certains qui avaient été annoncés pendant le confinement. En effet, pendant ce numéro, le chroniqueur a pris le cas du professeur Didier Raoult. Zoom sur cette histoire.

Le 11 mai 2020 est un jour unique pour les Français, car il marque le déconfinement.

C’est donc ce jour que sur le plateau de l’émission “Ça va beaucoup mieux”, Michel Cymes s’est permis de critiquer le professeur Didier Raoult.

Découvrez les contours de cette affaire.

UNE BONNE ÉVOLUTION

Si la période du confinement semble enfin terminée, ou plutôt s'amoindrir, cette évolution des choses est rassurante pour de nombreuses personnes.

En effet, depuis l’arrivée du coronavirus dans le quotidien des pays du monde, tout a changé. La planète a subi un sérieux coup, et semble difficilement s’en remettre.

C’est donc pour cette raison qu’il est recommandé à tout le monde en cette période, de continuer de prendre des précautions. Cependant, le 11 mai 2020 pour Michel Cymes, c’est l’heure du règlement de compte.

UNE CRITIQUE ANONYME

Souvenez-vous, une il y a quelques mois de cela, le professeur Didier avait parlé du coronavirus, en tenant des propos qui par la suite, n’avaient pas forcément été vérifier.

C’est donc pour répondre à ceux-ci que le chroniqueur de Paf a déclaré de manière anonyme :

"Quand on affirme haut et fort qu'on a trouvé LE traitement du Covid, et que deux mois ou trois mois plus tard on s'aperçoit que le traitement miracle n'en fait pas, de miracles, on se dit que le virus aime décidément nous montrer qu'on doit rester modeste".

En effet, selon ce dernier, le professeur aurait dû prendre davantage de temps pour vérifier ses propos avant de les publier.

Ceci marquait de ce fait le coup de gueule de Cymes, qui désrmais loin des hôpitaux, est de retour sur les plateaux de tournage.

Sous un autre optique, c'est Michel qui s'est fait critiquer, mais cette fois par Jean-Pierre Foucault. Retour sur cette affaire.