Jacqueline Sauvage : le décès de son fils Pascal a été un drame qui a marqué sa vie
La vie de Jacqueline Sauvage est loin d’avoir été un long fleuve tranquille. En effet, mis à part son combat contre la violence envers les femmes, celle-ci a aussi dû faire face au décès de son fils. Redécouvrez ce drame qui l’avait marqué à vie.
Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’affaire Jacqueline Sauvage, une femme qui a été victime de violences conjugales pendant plusieurs années.
Alors que le public apprend son décès, il est peut-être temps de faire un retour sur son parcours. Redécouvrez le drame de la perte de son fils.
ELLE EST PARTIE SANS UN BRUIT
La nouvelle de la mort de Jacqueline est parvenue au public mercredi 29 juillet 2020, via son avocate. Selon cette dernière, la femme de 72 ans serait parti “sans un bruit”, dans sa maison de La Selle-sur-le-Bied, dans le Loiret.
C’était une mère de famille, qui après avoir subi les violences conjugales pendant de plus de 10 ans, avait été incarcérée pour le meurtre de son bourreau.
Alors qu’elle avait été condamnée à 10 ans de réclusion, Jacqueline avait finalement été grâciée par François Hollande en 2016.
LA MORT DE SON FILS
Il faut dire que ce n’était pas la seule à avoir subi la violence de son mari, car ses trois filles, ainsi que son fils, avaient aussi été victimes de ce dernier.
Si pendant de nombreuses années, personnes n’avait trouvé le courage d’aller voir la police, le fils, qui n’en pouvait plus, avait décidé de mettre fin à ses jours.
C’est dans son ouvrage “Je voulais juste que ça s’arrête” publié en 2018, que la maman s'était exprimée à ce sujet.
"Mon Dieu ! Comment ai-je pu ne rien dire ? Comment ai-je pu... en voyant mon fils ainsi abîmé, ne pas aller voir la police ? Comment la peur a-t-elle pu me paralyser à ce point ?".
Celle-ci expliquait ainsi que depuis qu’elle avait appris la mort de son petit, rien n’avait plus d’importance.
SA PLUS GRANDE DOULEUR
En 2018, Jacqueline se confiait aux médias, témoignant de la profonde douleur qu’elle continuait de ressentir jour après jour.
“J’aimerais disparaître, m’enfoncer dans le sol pour ne plus jamais ressortir. Ne plus penser, ne plus voir, ne plus pleurer, ne plus sentir cette douleur insoutenable dans mes tripes”.
C’était sans conteste, sa plus grande douleur.
Deux ans plus tard, la femme de 72 ans s’en allait. Si le monde n’a pas encore d’informations quant aux causes de son décès, nombreuses sont ceux qui lui ont rendu un hommage poignant.
La nouvelle du décès de Jacqueine a été un choc pour toutes cette personnes, qui avaient suivi son histoire. Sans plus tarder, découvrez un peu plus d'informations à ce sujet.