"C'est scandaleux" : une agence de Stéphane Plaza détruite lors d'une manifestation

Stéphane Plaza est en colère et l’a fait savoir. En effet, le célèbre agent immobilier a vu son agence vandalisée par des manifestants lors de la Marche des libertés. Il a poussé un coup de gueule sur ses réseaux sociaux.

On a l’habitude de voir un Stéphane Plaza jovial et blagueur. Pourtant, ce n’était pas le cas dimanche 06 décembre 2020. Des casseurs ont pris pour cible plusieurs établissements, dont son agence au cours d’une manifestation de contestation.

UNE ANNÉE DIFFICILE À TOUS LES NIVEAUX

Stéphane Plaza était furieux après avoir appris la nouvelle. Il s’est emparé de son compte Instagram pour dire son mécontentement. En story, il a repris un internaute qui a filmé la vitrine d’une agence Stéphane Plaza en train de se faire briser par des casseurs.

En légende, l’agent immobilier a commenté qu’il n’avait pas besoin de cela dans une année aussi difficile. Il a également décidé d’apporter son soutien et son réconfort à ses collègues, eux aussi victimes des casseurs.

LE COUP DE GUEULE DE STÉPHANE PLAZA

L’ami de Karine Le Marchand a ensuite fait une deuxième publication pour pousser un énorme coup de gueule contre ce qui lui est arrivé. Il a d’abord rappelé que la violence n’avait pas sa place dans la manifestation. Il a écrit en story Instagram :

"(…)pourtant deux vitrines d'agences Stéphane Plaza ont été complètement détruites au même titre que d'autres commerces."

L’agent immobilier a d’ailleurs rappelé qu’il respectait le droit de grève car chacun doit défendre ses acquis. Cependant, il trouve que le fait de "détruire le bien d’autrui est une honte".

Stéphane Plaza a également pensé à Frédéric Martinache, qui a été victime des casseurs dont il trouve scandaleux leurs agissements.

SA PROPOSITION INSOLITE UNE MINISTRE

On comprend la peine de Stéphane Plaza car il s’est battu pour que les agences immobilières puissent rouvrir avant la fin du confinement. Il avait même pris la liberté de faire une proposition pour le moins osée à la ministre française du Logement Emmanuelle Wargon pour se faire entendre.

En effet, il a lancé un pari à la ministre du Logement, en disant qu'il était prêt à enlever "le bas" pour que sa requête puisse être prise en compte.