Une femme est bouleversée lorsqu'elle découvre des photos de sa fille adolescente sur l'ordinateur de son patron - Histoire du jour

Je suis la mère célibataire de ma fille de quinze ans, et je m'efforce continuellement de lui offrir une vie confortable. Un jour, j'ai été horrifiée en entrant dans le bureau de mon patron et en voyant les photos de ma fille sur son ordinateur.

Je suis sortie du taxi et je me suis précipitée vers le bâtiment où j'avais postulé pour un emploi, abîmant au passage mes talons préférés. Croyez-moi, j'étais dans un état lamentable ce matin-là !

Mon pantalon était taché de boue, j'ai pris l'ascenseur pieds nus, en tenant mes talons d'une main, et j'ai failli trébucher et tomber devant la salle d'entretien. J'étais terriblement en retard pour l'entretien.

"Mlle Webb ! Candidat 33", ai-je dit à bout de souffle à la femme qui se tenait à l'extérieur de la salle d'entretien, tenant un iPad.

Elle m'a fixée d'un regard terrible et s'est raclée la gorge avant de vérifier mon nom sur l'iPad. "Mlle Webb, j'espère que vous avez conscience d'être en retard", a-t-elle dit sévèrement. "Je suis désolée, mais nous sommes en train de faire passer un entretien au dernier candidat. J'espère vous revoir lorsque le poste sera disponible l'année prochaine."

"Non, s'il vous plaît", ai-je supplié. " Écoutez, je peux expliquer pourquoi je suis en retard, d'accord ? C'était une matinée chaotique ! Vraiment. Croyez-moi !"

Elle a secoué la tête. "Une bonne tentative, je dirais", disait-elle avec un sourire en coin, "mais nous sommes fatigués d'entendre la même excuse de la part des candidats chaque année. Laissez-moi vous donner une suggestion. Travaillez vos excuses et trouvez quelque chose de mieux si vous voulez être crue. La sortie est juste derrière vous."

"Ça ne sert à rien d'essayer. C'est fini", m'a dit une voix intérieure. J'ai soupiré et passé mes mains dans mes cheveux. "Est-ce qu'il n'y a rien que vous puissiez faire ?", demandai-je. "Je suis une mère célibataire, et ce travail compte vraiment pour moi. S'il vous plaît."

Elle s'est adoucie un peu quand j'ai dit que j'étais une mère célibataire. "Je suis désolée", a-t-elle dit. "Mais je vous souhaite bonne chance."

Dépitée, j'étais sur le point de partir quand une femme est sortie de la salle d'entretien. “Elle devait être la dernière candidate”, ai-je pensé. Et derrière elle, j'ai remarqué un homme en costume repassé, plutôt séduisant pour son âge.

"Puis-je vous aider mesdames ?", a-t-il demandé en me regardant, puis en regardant la femme qui tenait l'iPad. J'ai appris plus tard qu'il s'agissait de sa secrétaire, Lily.

Lily a soupiré et m'a regardée avant de mettre son patron au courant de ma situation. "Mlle Webb, c'est ça ?", a-t-il demandé et j'ai hoché la tête. Il m'a ensuite regardée de la tête aux pieds, puis je me suis redressée maladroitement, car j'avais l'air très, très mal préparée pour un entretien.

Après tout, quelle femme arrive à bout de souffle dans une tenue négligée, les aisselles en sueur et les pieds nus pour un entretien d'embauche qui pourrait changer sa vie et celle de sa fille ?

Aucune carrière ne devrait être plus importante pour vous que vos enfants.

"Puis-je savoir pourquoi nous avons eu du retard, Mlle Webb ?", a-t-il demandé.

"Je suis désolée", ai-je dit pour m'excuser. "Je sais que ce n'est pas une excuse valable, mais je suis une mère célibataire. Alors que j'accompagnais ma fille à l'école, un bus a foncé dans la flaque, m'aspergeant d'eau... C’est ma fille alors je l’ai couverte. Ensuite, je n'ai pas trouvé de taxi à temps, et je suis vraiment désolée."

"Permettez-moi de vous poser une question", a-t-il dit. "Que feriez-vous si vous étiez à ma place ? Que diriez-vous à un candidat qui arriverait en retard à un entretien avec un pantalon maculé de boue ?"

"Peut-être que je serais reconnaissante qu'il ait pu sauver sa chemise ?", ai-je répondu nerveusement. En effet, j'avais réussi à sauver ma chemise !

Il s'est mis à rire. "Eh bien, je prendrais ça pour une réponse ! Une bonne réponse, en effet ! Vous êtes une femme pleine de peps, Mlle Webb."

Il s'est présenté comme le directeur de l'entreprise, M. Coleman, et m'a dit d'attendre les résultats qui seraient annoncés une semaine plus tard.

Je n'étais pas optimiste. Je pensais m'être ridiculisée en donnant une réponse maladroite, mais j'étais... engagée !

Ma fille, Eve, et moi nous promenions dans le parc du quartier lorsque mon téléphone a reçu une notification. C'était un email, et j'ai sursauté en le lisant.

"Eve !", ai-je crié, les yeux remplis de larmes. "J'ai eu le job ! Oh là là, je l'ai vraiment eu !"

"Tu l'as eu ?" Eve s'est précipitée vers moi pour vérifier le courrier. "WOW ! Félicitations, maman ! Je suis très fière de toi !"

J'ai embrassé et serré Eve dans mes bras. "Merci, chérie. Je suis si heureuse. C'est une grande entreprise, et les avantages sont très bonnes. Ça peut vraiment changer nos vies, Eve."

Pourtant, croyez-moi, je n'avais jamais imaginé qu'une grande entreprise me mettrait dans une pièce sombre et miteuse à côté de la sortie arrière du bâtiment, où je rencontrerais des dames âgées et renfrognées lors de mon premier jour de travail. C'était mon nouveau bureau, et ces personnes étaient mes collègues !

"On ne mord pas ! Ne nous regardez pas comme ça !", a sifflé Margaret, la préposée à l'accueil, lors de notre première rencontre. "Chaque année, ils envoient des gens ici, et personne ne tient plus d'un mois ! Ne vous faites pas d'illusions et ne pensez pas que vous avez réussi à décrocher quelque chose d'énorme !"

"Oh, bien, ravie de vous rencontrer. Je m'appelle Jade", ai-je dit nerveusement, mais tout le monde s'en fichait. Je me suis assise à mon bureau, et la chaise était si vieille qu'elle grinçait sous mon poids. J'ai allumé mon ordinateur, qui n'a commencé à fonctionner qu'après le troisième coup sur son écran, et j'ai regardé autour de moi.

Il n'y avait pas que Margaret qui était bizarre. Nous étions quatre dans la même pièce, et les deux autres femmes étaient tout aussi étranges. Je me demandais pourquoi nous avions un bureau séparé, et j'ai appris quelques jours plus tard que ces dames étaient les pires employées de l'entreprise.

Elles n'étaient pas bons dans leur travail, et j'ai été engagée pour terminer leur travail en suspens ! Je devais lire des tonnes de dossiers chaque jour, et ce travail était très stressant. Je faisais cependant de mon mieux. Je me suis même liée d'amitié avec ces dames, et tout semblait aller bien.

Je faisais bien mon travail, et j'ai passé les deux mois avec succès. "Je suppose que tu es une dure à cuire !", m'a dit un jour Margaret et j'ai ri.

"Et tu ne mords vraiment pas !", ai-je rétorqué. "Ça ne me dérange pas de travailler ici. C'est étrange, mais amusant !"

Comme mon bureau était un endroit isolé, méprisé, dont personne ne se souciait, je pouvais partir quand je voulais, et je finissais mon travail à la maison. Un jour, j'ai quitté mon bureau dix minutes plus tôt, comme je le faisais toujours, et j'ai croisé M. Coleman à la sortie du bâtiment.

Il a regardé sa montre et a souri. "Je suppose que la journée se termine un peu tôt pour vous, Mlle Webb", a-t-il dit.

"Bonjour, M. Coleman. Oui, oui, j'étais juste... Je quitte le bureau dix minutes plus tôt chaque jour, parce que je ne veux pas manquer le dernier bus. Je ne peux pas me permettre de prendre le taxi tous les jours. Je finirai le travail restant tout en aidant ma fille dans ses études. Et... Merci pour le travail. Je le pense vraiment."

"Oh, s'il vous plaît, ne dites pas ça", il a fait un geste dédaigneux de la main. "Vous l'avez bien mérité. Je reçois de bons retours sur vous tous les mois. Continuez comme ça."

Puis, le chauffeur de M. Coleman a approché sa voiture et il est parti. Je reçois de bons commentaires sur vous tous les mois. Ces mots n'ont cessé de résonner dans ma tête sur le chemin du retour et je n'ai pas pu m'empêcher de sourire.

Eve a presque cru que je sortais avec quelqu'un quand elle a vu le sourire sur mon visage ! J'étais tellement heureuse !

"C'est quelqu'un de spécial, maman ?", a-t-elle demandé, et j'ai secoué la tête. "Non, non, chérie. C'est mon patron. Il est impressionné par mon travail, et je suis juste reconnaissante pour tout. Tout va à la perfection."

"Tu es étrange !", a dit Eve. C'était naturel pour une adolescente de dire ça.

"Alors, comment était l'école aujourd'hui ? Quelque chose d'excitant ?", ai-je demandé.

J'ai remarqué qu'Eve semblait tendue. "Bien", a-t-elle dit. "Bien. C'était bien."

"OK, chérie", ai-je lancé, croyant qu'Eve s'inquiétait de ses prochains examens. "Tu es sûre qu'il n'y a rien dont tu souhaites parler ? Quelque chose qui te préoccupe, peut-être ?", ai-je à nouveau questionné.

"Je vais bien, maman", a-t-elle dit avant de faire une pause. "Et... On peut avoir des toasts au fromage et de la soupe à la tomate pour le dîner ? J'en ai vraiment envie aujourd'hui."

"Oui, oui ! On peut le faire ! Je t'aime, mon bébé", ai-je déclaré.

Eve a souri nerveusement. "Moi aussi, maman. Plus que tu ne le crois."

J'ai oublié l'humeur tendue d'Eve quelques jours plus tard. Pourquoi ? Parce que la charge de travail était folle. La secrétaire de M. Coleman était en congé maladie, et personne ne s'est mobilisé pour partager sa charge de travail, mais moi si.

Je voulais une promotion plus tôt pour avoir un meilleur bureau et une meilleure position. Cependant, je me demandais pourquoi personne ne se présentait pour faire le travail de Lily. C'est alors que j'ai découvert quelque chose sur M. Coleman que je n'avais jamais imaginé dans mes rêves les plus fous.

"Tu ne sais pas qu'il a une liaison avec sa secrétaire ? Cette Lily ? Elle se lèche les lèvres et se déhanche autour de lui ! Il a le charme et l'argent ! Et elle est une parmi d'autres, je te le dis !", a confié Margaret.

"Ils pensent que nous sommes coincés ici dans ce bureau minable et que nous ne savons rien ! Mais nous savons tout ! Même les murs ont des oreilles ! Nous savons tout ce qui se passe dans ce bâtiment !"

J'ai frissonné, et l'image respectueuse de M. Coleman dans mon esprit avait pris un terrible coup. Lui et Lily semblaient avoir un écart d'âge considérable !

Un soir, je suis retombé sur M. Coleman, et cette fois, je l'ai évité. Seulement, il s'est approché de moi. "Oh ! Mlle Webb ! Quelle agréable surprise ! Puis-je avoir le plaisir de vous accompagner aujourd'hui ? Je pourrais demander à mon chauffeur de vous déposer chez vous ?", a-t-il demandé.

"Non, non, c'est bon. Merci beaucoup", ai-je dit poliment.

"Nous pourrions nous arrêter pour prendre un café sur le chemin. Qu'en pensez-vous ? Les jolies dames ne devraient jamais dire non à un café !", a-t-il dit avec un sourire, et j'ai grimacé.

"Oh non, je suis... je suis allergique au café", ai-je menti. "Et je dois vraiment rentrer chez moi. Ma fille doit m'attendre. Je suis désolée."

"Que diriez-vous d'une autre fois ? Peut-être pourrions-nous prendre le thé ?", a-t-il dit. " Vous êtes très jolie, Jade, et je... "

" M. Coleman ", ai-je lancé pour lui couper la parole. " Écoutez, je vous respecte, et je ne suis pas partant pour un thé ou un café ou quoi que ce soit. Je suis désolée si je parais impolie, mais s'il vous plaît, je vous vois seulement comme mon patron."

"Oh !" Il avait l'air surpris, mais je m'en fichais. C'était bon s'il me renvoyait ! Je n'allais pas coucher avec lui !

"D'accord", a-t-il dit avec douceur. "Ce n'est pas grave. Je comprends. Passez une bonne soirée." Et il est parti.

Je suis restée là, terrifiée. “Il venait de m'inviter à prendre un café ! Margaret avait tellement raison”, ai-je pensé.

Cela ne s'est jamais reproduit. M. Coleman a gardé ses distances et ne m'a jamais approché pour prendre un café. Puis un jour, il a fait quelque chose qui m'a fait froid dans le dos.

Ce jour-là, il m'a demandé de récupérer un document dans son bureau. Il m'a donné le mot de passe de son ordinateur et le fichier que je devais imprimer. J'ai accidentellement cliqué sur le mauvais dossier et j'ai sursauté en voyant ce qui apparaissait à l'écran.

Ma main s'est portée à ma bouche tellement j'ai été choquée de voir des photos de ma fille... ma précieuse Eve sur l'ordinateur de M. Coleman ! À ce moment-là, je n'ai pu m'empêcher de penser à ma conversation avec Eve, au cours de laquelle elle avait semblé très tendue.

Je n'y avais pas beaucoup pensé avant parce que la charge de travail avait été folle, mais après avoir trouvé les photos d'Eve sur l'ordinateur de M. Coleman, j'étais furieuse !

Comment a-t-il osé faire ça à ma fille ? Pensait-il qu'elle était une de ces filles qui tomberait sous son charme et son argent ?

Comment ose-t-il faire ça à ma fille ? Pensait-il qu'elle était une de ces filles qui tomberait sous son charme et son argent ?

En colère, j'ai confronté M. Coleman. "Pourquoi avez-vous les photos de ma fille sur votre ordinateur ? Vous pensez que vous pouvez la draguer parce que je vous ai repoussé ? Elle n'a que 15 ans !", ai-je crié, mais il paraissait étrangement calme.

"Faites attention à ce que vous dites, Mlle Web", a-t-il dit. "Je peux l’expliquer."

"Oh, vous feriez mieux de le faire, ou je vous dénonce aux flics !", ai-je lancé.

Il a secoué la tête et a soupiré. "C'était une surprise", a-t-il avoué. "Vous aurez une promotion la semaine prochaine."

"Une surprise ? Une promotion ? Vous pensez que je vais croire ça ?"

“Comme je l'ai déjà dit, j'apprécie énormément ce que vous faites pour notre société, Mlle Webb", a-t-il poursuivi. "Et je devais vous donner une promotion. Et oui, j'ai été blessé quand vous avez refusé de prendre un café avec moi, mais voyons ! Je ne m'impose pas aux femmes ! Je ne franchirais jamais les limites de la décence humaine."

"Je suis désolé que vous ayez dû travailler dans ce vieux bureau à côté de la sortie. Vous méritiez mieux, et je voulais aménager un bureau avec les photos de votre fille... quelque chose comme votre espace personnel où tout serait prêt pour vous ! J'ai perdu ma femme et mon enfant à naître dans un accident il y a des années, et j'ai été ému quand j'ai vu à quel point vous êtes engagée en tant que mère."

" Et vous avez été tout aussi honnête avec moi et avec tous ceux qui vous entourent. Donc j'ai demandé à Lily de contacter votre fille, et elle fait partie de la surprise... Et j'ai peur que vous l'ayez ruinée."

J'étais embarrassée. Je me suis excusée auprès de M. Coleman et je l'ai remercié pour tout ce qu'il avait prévu de faire pour moi, mais je ne comprenais pas pourquoi Eve était si bouleversée l'autre jour, alors je l'ai confrontée. Et j'ai appris que c'était à propos d'un garçon de sa classe.

Elle l'avait largué après qu'il a essayé d'être trop intime avec elle. "Il a essayé de m'embrasser, maman, et j'avais tellement peur. Et s'il s'en prenait à moi ? Il était, comme, obsédé par moi !"

"Oh, mon Dieu !", ai-je haleté. "Est-ce qu'il t'embête encore ?"

"Non, maman, non", a-t-elle dit. "Je suis contente qu'il ne le fasse pas. Au fait, tu as gâché la surprise, n'est-ce pas ?"

"Je m'en fiche", ai-je dit en l'entourant de mes bras. "Je t'ai toi, j'ai une promotion, et nos vies sont meilleures. C'est tout ce qui compte pour moi."

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Aucune carrière ne devrait être plus importante pour vous que vos enfants. Jade ne se souciait de rien lorsqu'il s'agissait de la sécurité d'Eve, et elle a affronté M. Coleman avec rage après avoir trouvé les photos de sa fille sur son ordinateur.
• Ne jugez pas trop vite quelqu'un. Même si M. Coleman flirtait et semblait avoir de nombreux admirateurs, il n'avait pas de mauvaises intentions, comme d'autres le soupçonnaient.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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