5 films comme "La fille au sous-sol" qui maintiennent le suspense jusqu'à la fin

Il existe plusieurs autres films à suspense comme "La fille au sous-sol", qui sont non seulement pleins de suspense, mais aussi basés sur des événements réels. La plupart d'entre eux abordent le même thème, celui des actrices retenues en captivité.

"La fille au sous-sol" est un film glaçant qui raconte l'histoire d'une adolescente, Sara, qui attend avec impatience son dix-huitième anniversaire pour échapper aux griffes de son père contrôlant, Don.

Cependant, avant que cela n'arrive, il l'emprisonne dans le sous-sol de leur maison. Le film est basé sur une histoire vraie et fait partie de la collection de longs métrages "Ripped From the Headlines" de Lifetime.

Bien que ce thriller ne soit pas une véritable série documentaire sur le crime, il est basé sur des événements réels impliquant de vrais criminels. Dans le film, Don (Judd Nelson) couvre ses traces en disant à sa femme, Irene, que leur fille Sara (Stefanie Scott) s'est enfuie de la maison pour commencer une nouvelle vie sans eux.

Pendant ce temps, il la retient captive dans leur maison pendant 20 ans, la torturant et la violant constamment jusqu'à ce qu'elle donne naissance à plusieurs enfants.

La réalisatrice du film, Elisabeth Rohm, a déclaré lors d'une interview en février 2021 : "C'est aussi une histoire d'espoir et de volonté de survie d'une femme. Si nous pouvons nous ancrer dans l'espoir, l'amour et la joie, alors nous pouvons survivre et trouver le moyen de sortir de cette prison. Le triomphe de la volonté humaine est le sujet de ce film".

'La mort m'a sauvé la vie' (2021)

Comme "La fille au sous-sol", un autre thriller, "La mort m'a sauvé la vie", est basé sur une histoire vraie qui raconte la résilience d'une femme et sa volonté de survivre.

Le film raconte l'histoire de Jade Thompson (Meagan Good), dont la vie semble parfaite vue de l'extérieur. Elle a une carrière réussie dans le marketing, un mari, Ed Thompson (Chike Okonkwo), qui est admiré et respecté dans la communauté, et une petite fille qu'ils adorent tous les deux.

Cependant, il s'avère que la vie de Jade n'est pas ce qu'elle semble être derrière les portes closes. Ed est physiquement et psychologiquement violent envers sa femme, et lorsqu'elle lui annonce qu'elle le quitte, il lui dit :

"Si je ne peux pas t'avoir, personne ne t'aura."

Lorsque Jade comprend que son mari était sincère lorsqu'il a engagé quelqu'un pour la tuer, elle se rend compte que le seul moyen de s'éloigner de lui est de lui faire croire que le tueur à gages l'a bel et bien tuée. Elle décide donc de simuler sa mort pour échapper à son conjoint violent.

Selon le synopsis officiel de Lifetime, "La mort m'a sauvé la vie" s'inspire de l'histoire d'une "femme qui a simulé sa mort afin de piéger son mari qui avait engagé un tueur à gages pour la tuer".

Bien que la chaîne n'ait pas précisé sur quelle histoire le film est basé exactement, des rapports suggèrent qu'il pourrait être inspiré par Noela Rukundo, qui aurait simulé sa mort en 2015 après que son conjoint "violent", Balenga Kalala, ait essayé de la faire tuer.

'Dans l'enfer de la captivité' (2016)

Un autre film basé sur des événements réels est "Dans l'enfer de la captivité", qui se déroule en 1977. Il raconte l'histoire d'une jeune fille kidnappée et enfermée dans une boîte de la taille d'un cercueil. Une fois que ses ravisseurs l'ont libérée, elle devient leur esclave, qu'ils torturent et violent.

Le film dépeint l'histoire de Colleen Stan, 65 ans, qui a été kidnappée en 1977 pendant sept ans. Elle a subi des traitements brutaux et a été contrainte de passer jusqu'à 23 heures par jour dans une boîte par ses ravisseurs.

Selon le synopsis du film, "Au printemps 1977, Colleen Stan, 22 ans, fait de l'auto-stop vers la Californie lorsqu'elle accepte d'être prise en stop par un jeune couple marié, Cameron et Janice Hooker."

Elle est kidnappée sous la menace d'un couteau et passe plusieurs années en captivité avant de s'échapper en 1984 avec l'aide de Janice, qui a dénoncé son mari Cameron à la police. Le film est raconté par l'un des kidnappeurs. Addison Timlin joue le rôle principal.

'Misery' (1990)

Un autre film qui vaut la peine d'être vu est "Misery", qui raconte l'histoire d'un auteur de best-sellers impliqué dans un accident de voiture et sauvé par un fan.

À son insu, cette dernière s'apprête à rendre sa vie misérable sous sa garde. Le romancier est tenu en captivité et subit des mauvais traitements.

L'actrice Kathy Bates incarne la fan en question, Annie Wilkes, qui se montre d'abord chaleureuse et bienveillante avant d'entrer en pleine rage et en pleine psychose lorsqu'elle apprend que l'auteur, Paul Sheldon (James Caan), a tué un des personnages principaux de son roman, "Misery Chastain".

Elle le garde chez elle pendant qu'il réécrit le destin de Misery. "Misery est sans doute considéré comme l'un des films d'horreur les plus emblématiques de tous les temps, et il transmet à merveille le sentiment d'isolement et d'inéluctabilité.

'10 Cloverfield Lane' (2016)

Tout comme "Misery", le film "10 Cloverfield Lane" est centré sur une jeune femme victime d'un accident de voiture.

Après s'être réveillée, elle se rend compte qu'elle est retenue prisonnière dans un bunker souterrain par un homme qui tente de la convaincre que le monde extérieur est inhabitable.

Michelle (Mary Elizabeth Winstead) est enchaînée à un lit tandis que son ravisseur Howard (John Goodman), qui se présente comme son sauveur, l'informe qu'une attaque chimique ou nucléaire a décimé le monde.

Alors qu'il soupçonne les Russes d'être à l'origine de cette attaque, elle pense qu'il est peut-être fou. Le film est plein de rebondissements qui gardent les spectateurs rivés à l'écran.

'Berlin Syndrome' (2017)

Un autre film remarquable est "Berlin Syndrome", qui raconte une histoire d'amour passionnée pendant les vacances qui tourne mal lorsqu'elle se transforme en relation obsessionnelle.

Une photojournaliste australienne se réveille un matin dans un appartement berlinois et réalise qu'il n'y a pas d'issue pour elle car elle est retenue captive.

Le film met en vedette l'actrice Teresa Palmer, qui joue le rôle de Clare, une photographe en visite à Berlin pour photographier l'architecture de la ville. Elle rencontre par hasard dans la rue un charmant professeur d'anglais, Andi (Max Riemelt).

Andi joue le rôle du gentil garçon et semble inoffensif, mais il a secrètement des problèmes de dépendance émotionnelle. Après une brève aventure avec Clare, il l'enferme dans son appartement contre sa volonté. Le film explore la façon dont les agresseurs manipulent leurs victimes pour les plonger dans un état de codépendance émotionnelle.

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