Mon mari complimente sa belle-sœur comme un fou — J'en ai eu assez et je lui ai donné une leçon de respect qu'il n'oubliera jamais

Mon mari fait toujours l'éloge et le compliment de sa belle-sœur, comme si elle était parfaite. Même lorsqu'elle n'est pas là, il parle d'elle. Je me sens très mal par rapport à elle. Un jour, je lui ai donné une leçon qui l'a presque fait pleurer.

Mon mari, Jerry, et moi sommes mariés depuis presque quatre ans. Nous avons deux beaux enfants, et bien que nos vies aient été occupées et chaotiques, nous avons réussi à garder notre relation solide.

Outre les disputes occasionnelles, il y a une chose que Jerry fait et qui m'agace. Je ne sais pas si mon mari le fait exprès ou s'il a simplement un QE bas, mais il sait que cela me dérange et il le fait quand même.

Il pense que le monde tourne autour de sa belle-sœur. Il la voit comme une déesse, l'incarnation de la perfection. Rien de ce qu'elle dit ou fait n'est mal. Chaque fois que nous lui rendons visite, Jerry parle d'elle pendant trois ou quatre jours après, comme s'il était en transe. Il complimente LITTERALEMENT TOUT ce qu'elle fait.

On pourrait croire qu'il me trompe avec elle, mais je suis sûre que ce n'est pas le cas. Ils ne se parlent même pas en dehors des moments où nous nous retrouvons tous ensemble. Est-il amoureux d'elle ? Je n'en ai aucune idée, mais il est définitivement insensible à mes sentiments.

Sa belle-sœur, Grace, est mariée au frère de Jerry, Martin. Elle a toujours été la femme au foyer idéale : trois enfants, une maison impeccable, des repas délicieux faits maison. Elle a toujours l'air bien habillée. Pour elle, la maternité semble si facile.

Je l'ai toujours admirée, mais je n'ai jamais ressenti le besoin de rivaliser avec elle. Cependant, les louanges constantes de Jerry à son égard ont commencé à me fatiguer. L'une de nos récentes visites a eu raison de moi, alors j'ai décidé de faire goûter à mon mari sa propre médecine.

Nous sommes allés voir leur nouveau bébé le week-end dernier. Je vous jure qu'il était plus attentif à elle et au bébé qu'il ne l'a jamais été à moi ou à l'un de nos enfants. Il l'a complimentée sur tout, de son apparence à la propreté de la maison en passant par la nourriture délicieuse.

"Wow, Grace ! Personne ne penserait que tu viens d'accoucher. Tu as l'air incroyable !", a-t-il dit lorsque nous sommes entrés dans leur maison.

Il a même fait l'éloge de la façon dont elle préparait le pain et dont elle parvenait à se souvenir de nos plats et desserts préférés. "Tu es une superwoman", a-t-il dit. "Définitivement en édition limitée". J'en ai littéralement eu assez de lui et j'ai dit "assez" à plusieurs reprises, mais il m'a simplement ignorée. Pendant ce temps, Grace gloussait et se réjouissait des compliments.

À un moment donné, elle a remarqué que je n'étais plus à l'aise avec l'admiration de Jerry. Elle essayait de me complimenter à la place, mais c'était comme si mon mari n'entendait rien.

Même lorsque nous sommes arrivés à la maison, les compliments ont continué. "Chéri, n'est-ce pas incroyable que Grace puisse gérer trois enfants et garder leur maison si bien rangée et propre ? Qu'est-ce qu'il faut à cette femme ? !" J'ai essayé de changer de sujet à plusieurs reprises et je lui ai même montré que j'étais agacée. Pourtant, Jerry a continué comme s'il n'avait rien compris.

J'en ai eu assez. Alors, hier, lorsque nous sommes retournés chez sa belle-sœur, j'ai décidé d'inverser les rôles. Dès que nous sommes arrivés, j'ai commencé à en rajouter. Nous avons fait un barbecue sur leur terrasse et Martin était derrière les grillades. "Martin n'est-il pas génial ?", ai-je dit à la belle-sœur de Jerry. "Il nous aide tellement. En plus, il n'a pas encore succombé au corps de papa. Il est incroyable."

Mon mari m'a regardée, interloqué, tandis que les yeux de sa belle-sœur s'écarquillaient. Mais je n'avais pas fini. "Il est tellement en forme pour ses 40 ans !" C'est vrai, Martin était en forme et allait régulièrement à la salle de sport. Il faisait également attention à ce qu'il mangeait.

J'ai continué, ignorant l'atmosphère de plus en plus tendue. Alors que nous nous apprêtions à rentrer chez nous, j'ai remarqué leur nouveau décor de patio et je l'ai ajouté à ma liste de compliments. "C'est toi qui les as construits, Martin ?", demandai-je. "Wow, tu as des mains en or. Jerry ne peut même pas visser une ampoule", ai-je plaisanté.

Mon beau-frère, Martin, rayonnait de tous ces compliments. Mais sa femme, Grace, et mon mari, Jerry, étaient visiblement gênés. Le visage de Jerry est devenu rouge et il a commencé à s'agiter.

Lorsque j'ai mentionné à quel point Martin avaient des beaux cheveux, Jerry, qui avait des problèmes de cheveux et devenait lentement chauve, s'est soudain précipité vers notre voiture.

Je me suis excusée et je l'ai suivi. Je l'ai trouvé dans notre voiture, presque en train de pleurer. "Bon, j'ai compris", a-t-il dit. "Mon frère est meilleur que moi dans tous les domaines, alors pourquoi m'as-tu épousé ?".

Jerry a poursuivi en disant qu'on l'avait toujours comparé à son frère. Cependant, le fait de l'entendre de ma bouche l'a rendu encore plus piquant. Il a continué en m'accusant d'être amoureuse de son frère, et j'ai simplement ri.

J'ai pris une grande inspiration et j'ai répondu calmement : "J'ai juste fait la même chose que ce que tu me fais depuis quelques années."

"Qu'est-ce que tu veux dire ?", a-t-il répondu.

"Je veux dire que tu fais toujours l'éloge de Grace devant moi. Elle t'obsède tellement que tu parles d'elle même quand nous ne sommes plus chez eux. Tu la fais passer pour une déesse ! Peut-être que TU es amoureux d'elle !"

Il est resté silencieux pendant un moment, puis a conduit brusquement jusqu'à la maison. Il est resté silencieux le reste de la soirée et s'est couché beaucoup plus tôt que d'habitude.

Le lendemain matin, il est venu me voir avec des fleurs et des excuses. "Je suis vraiment désolé, Pénélope", a-t-il commencé. "J'ai apprécié les compétences ménagères de Grace parce qu'il était difficile pour moi de gérer le travail et les tâches ménagères. Je ne la complimentais pas par rapport à toi. Je la complimentais par rapport à MOI."

Il a ajouté : "J'ai eu l'impression d'être un mauvais mari en ce qui concerne les tâches ménagères, et j'aurais aimé être plus comme elle. Mais je n'avais pas réalisé à quel point mes paroles t'avaient affectée. Je te promets de devenir un meilleur mari et de te prêter plus d'attention."

Je l'ai regardé, tenant le bouquet, les yeux remplis de remords et les larmes sur le point de couler. Une partie de moi voulait le croire, pardonner et aller de l'avant. Mais une autre partie de moi était encore blessée, encore piquée par les mois passés à me sentir seconde.

Les semaines suivantes ont été un mélange d'espoir prudent et de doute persistant. Jerry a commencé à faire de petits changements. Il m'aidait davantage à la maison, planifiait des sorties surprises et, surtout, exprimait une véritable reconnaissance pour tout ce que je faisais.

Peut-être que tout ce qu'il disait était vrai, mais le fait que mon mari se sente ainsi signifiait que j'avais fait quelque chose ou que je n'avais pas fait quelque chose. Est-ce que je n'ai pas réussi à lui faire sentir que j'étais appréciée ? Était-il à ce point insensible à mes sentiments ?

Contrairement à Jerry, un autre mari a fait en sorte que sa femme se sente merveilleuse. À 50 ans, il a commencé à se transformer en l'homme qu'il était lorsqu'elle est tombée amoureuse.

Mon mari a eu 50 ans et il est soudainement devenu l'homme que j'ai épousé

Mon mari, Chris, et moi sommes mariés depuis plus de vingt ans. Il a toujours été un homme bon et un père merveilleux pour nos enfants. Au début, il était incroyablement affectueux et ne pouvait pas se passer de moi. Nous avions une alchimie électrique qui, je le pensais, ne s'estomperait jamais.

Mais après l'arrivée des enfants, les choses ont commencé à changer. L'affection, le romantisme et même le flirt ludique que nous avions autrefois ont commencé à disparaître. J'en suis arrivée au point où j'avais l'impression que nous n'étions plus que des colocataires. J'ai lu des articles sur les couples qui perdent leur intimité et leur romantisme après avoir eu des enfants, mais je ne pensais pas que cela m'arriverait.

Puis, il y a deux mois, quelque chose de complètement inattendu s'est produit. Sans crier gare, Chris m'a demandé si je voulais partir en week-end, juste tous les deux. C'était un tel choc que je n'y ai presque pas cru au début. Nous n'avions pas fait quelque chose comme ça depuis des années. Mais j'ai accepté, espérant que cela raviverait un peu de ce que nous avions perdu.

Lorsque nous sommes rentrés à la maison, sa nouvelle attitude s'est poursuivie. Il a commencé à perdre du poids et à devenir plus tonique. Il avait l'air mieux que lorsque nous nous sommes mariés, et j'avais du mal à ne pas le toucher. Je ne pouvais pas m'empêcher de me demander ce qui avait provoqué cette transformation soudaine.

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