Un père déteste son beau-fils et découvre la vérité à son sujet - Histoire du jour

Mon mari détestait devenir le beau-père de mon enfant. Malheureusement, sa haine a atteint un point tel qu'il nous a abandonnés. Mais un jour, nos chemins se sont à nouveau croisés, et ce n'est que pour lui faire comprendre à quel point il avait tort.

J'étais follement amoureuse de Stephen depuis le lycée et je voulais l'épouser et fonder une famille avec lui. Cependant, le destin avait prévu de nous séparer, indépendamment de notre volonté.

Peu après l'obtention de mon diplôme, mon père a reçu une promotion et nous avons dû quitter la ville. Nous avons déménagé dans une autre ville. J'aimais bien l'endroit ; c'était magnifique. Mais il n'y avait pas un seul jour où Stephen ne me manquait pas.

Cinq années se sont écoulées ainsi. Je suis partie à l'étranger pour faire des études supérieures et j'ai rejoint une organisation de médias. J'ai essayé de contacter Stephen à plusieurs reprises, mais aucun de ses numéros de téléphone ne fonctionnait.

Cependant, le destin a décidé d'être gentil avec nous après toutes ces années, et nous nous sommes rencontrés à nouveau ... lors d'une conférence de travail. Je n'ai pas pu me contrôler quand je l'ai vu. J'ai couru vers lui et je l'ai serré dans mes bras. Certaines personnes nous ont dévisagés, mais nous ne nous en sommes pas souciés. Stephen était tout aussi heureux de me voir.

Après la conférence, Stephen et moi sommes allés dans un café. Nous sommes restés assis toute la nuit, à parler de nos vies et de la façon dont nous nous étions manqués au cours des cinq dernières années. J'ai également avoué mon amour à Stephen, et il m'a également avoué ses sentiments. J'étais aux anges.

Mais Stephen a ensuite dit quelque chose qui m'a rendue nerveuse. Il m'a demandé de l'épouser et m'a dit qu'il voulait le faire plus tôt. "Je ne veux pas attendre plus longtemps, Stacey. Je veux être avec toi pour toujours", a-t-il dit.

Je l'ai regardé nerveusement. "Stephen, moi aussi je veux t'épouser. Mais je dois te dire quelque chose. Tu dois être au courant avant que nous décidions de nous marier", ai-je dit.

L'expression de Stephen a changé. "Qu'est-ce qui se passe, Stacey ? Est-ce que tout va bien ?" a-t-il demandé, anxieux.

"J'ai un fils, Stephen. Un garçon de quatre ans. Il s'appelle Bob", lui ai-je finalement dit en prenant mon courage à deux mains. Mais j'avais peur. Je savais que Stephen ne le prendrait pas bien et qu'il me quitterait. Mais à ma grande surprise, il a dit que cela ne le dérangeait pas.

"Ce n'est pas un problème, Stacey. Je l'aimerai comme mon propre fils", a-t-il dit en me prenant les mains.

Mes yeux se sont remplis de larmes. "Je t'aime, Stephen", ai-je dit, "je n'aurais pas pu trouver un meilleur partenaire de vie que toi", et je l'ai serré fort dans mes bras.

Trois mois plus tard, nous nous sommes mariés. Pendant les premiers mois, Stephen a aimé Bob comme son propre fils. Mais malheureusement, avec le temps, les choses ont commencé à changer. Il est devenu plus irrité chaque jour qui passait, et un jour, il a dit, quelque chose qui m'a laissée choquée.

"Je suis désolé, Stacey, mais je ne peux pas accepter Bob comme mon fils", a-t-il dit en rentrant du travail ce jour-là.

J'ai été prise au dépourvu. "Chéri, qu'est-ce qui ne va pas ? Quelqu'un t'a dit quelque chose ?", lui ai-je demandé, inquiète.

"Tout va bien, mais je veux que tu places Bob dans un orphelinat. De toute façon, il est encore jeune, et il ne se souviendra pas de nous quand il sera grand", m'a-t-il dit.

Je vais être honnête avec vous. C'est la première fois de ma vie que je m'en suis voulu d'avoir épousé Stephen. Comment pouvait-il être aussi cruel envers un enfant ? Comment a-t-il pu dire cela ? me suis-je dit.

Je ne sais plus où j'en suis. Cependant, j'ai essayé de calmer la situation. J'ai demandé à plusieurs reprises à Stephen si quelqu'un avait dit quelque chose qui l'avait poussé à faire une telle déclaration. J'ai même essayé de lui expliquer qu'il prenait une décision à la hâte. Je pensais qu'il comprendrait, mais je me trompais.

"Chéri, pourquoi parles-tu ainsi ?", lui ai-je demandé. "Je croyais que tu l'aimais comme ton propre fils. Sais-tu au moins que Bob est ton..."

Avant que je puisse terminer ma phrase, Stephen m'a coupé la parole. "Oui, j'ai essayé de l'aimer", a-t-il répondu. "Mais je ne peux plus supporter ça. Je pensais que ça ne m'affecterait pas qu'il soit le fils de quelqu'un d'autre parce que je t'aimais, mais honnêtement, je ne veux pas le voir."

Malheureusement, Bob se tenait juste derrière la porte de notre chambre et entendait tout ce que nous disions. Certes, ce n'était qu'un petit enfant, mais il sentait bien que quelque chose n'allait pas. Il s'est mis à pleurer bruyamment, ce qui a encore plus exaspéré Stephen.

"Tu vois, il recommence ! J'en ai marre de lui ! Tu peux vivre avec cet abruti si tu veux, mais moi, je ne peux pas !", a crié Stephen et il est sorti en trombe de la pièce. Malheureusement, notre dispute ne s'est pas arrêtée là.

Stephen a emballé toutes ses affaires et nous a quittés. J'ai essayé de l'arrêter en lui disant combien je l'aimais et combien nous pourrions être heureux ensemble, mais tout ce qu'il a dit avant de partir, c'est qu'il m'enverrait bientôt les papiers du divorce.

J'étais dévastée. Je n'arrivais pas à croire que ma vie avait changé du tout au tout en une seule nuit. Je me suis précipitée vers Bob et je l'ai serré fort dans mes bras en pleurant. Il a continué à me demander pourquoi son père était parti, mais je n'ai pas pu répondre. Je n'ai pas pu prononcer un mot.

Près d'un an s'est écoulé et Bob et moi avons appris à vivre sans Stephen. J'ai commencé à me préoccuper de mon travail et Bob a commencé l'école. Parfois, Bob me demandait des nouvelles de Stephen, mais je lui disais simplement que son père avait un travail important et qu'il avait dû déménager dans une nouvelle ville.

Mais les mensonges ont tendance à s'ébruiter et un jour, Bob s'est rendu compte que je mentais.

Nous étions à l'épicerie, en train de faire des courses. Je cherchais du matériel de pâtisserie quand j'ai remarqué que Bob étreignait un homme par derrière en criant : "Papa, papa, tu es enfin là ! Tu m'as manqué ! Maman m'a dit que tu avais déménagé dans une nouvelle ville."

En regardant de plus près, je n'en croyais pas mes yeux. L'homme - c'était vraiment Stephen. J'ai eu envie de courir vers lui et de le serrer dans mes bras, mais je l'ai entendu crier : "Dégage, petit abruti. Tu n'es pas mon fils !", a-t-il crié à Bob.

Ma colère n'a pas eu de limites. Je me suis approchée de Stephen et je l'ai giflé. "Ne t'avise pas de lui parler comme ça ! C'est ton fils !!!", me suis-je exclamée avec colère.

Stephen a fait un pas en avant et a dit : "Cet abruti n'est pas mon fils ! C'est le sang sale de quelqu'un d'autre."

Je savais que c'était le moment où Stephen méritait de savoir à quel point il s'était trompé. J'ai sorti mon téléphone et j'ai montré le rapport d'ADN.

"Tu as vu ça ?! Espèce de crétin ! C'est écrit clairement. C'est ton fils !" Je lui ai crié dessus.

"Mais comment est-ce possible ? Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ?", a-t-il demandé, confus.

"Parce que je n'en ai jamais ressenti le besoin, Stephen. Tu te souviens de cette nuit au café, quand je t'ai parlé de Bob. Tu as dit que ça n'avait pas d'importance pour toi. Tu as dit que tu l'aimerais comme ton fils. Même quand tu es parti, j'ai essayé de t'expliquer, mais tu étais tellement consumé par ta colère que tu n'as pas voulu écouter."

Il ne me croyait toujours pas. "Comment est-ce possible ? Comment peut-il être mon fils ? Nous n'avons jamais... Oh attends... est-ce que c'est le cas ?" Il a fait une pause.

"Oui, Stephen ", ai-je dit, "j'espère maintenant que tu te souviens de la nuit où nous nous sommes rencontrés avant que je ne quitte la ville et que je déménage dans une autre. Je suis tombée enceinte après cela. Tout le monde m'a demandé d'interrompre la grossesse, mais j'ai décidé de le garder en signe de notre amour."

Les yeux de Stephen se sont remplis de larmes. "Je suis désolé, Stacey", s'est-il rapidement excusé. "Si j'avais su que c'était notre fils, je ne t'aurais pas quittée. Mais il n'est pas trop tard. Nous pouvons encore fonder une famille. Je vais arranger les choses, je te le promets."

"Je suis désolée, Stephen", ai-je dit, "ce n'est pas possible. Nous sommes heureux sans toi." Sur ce, j'ai pris la main de Bob et je suis partie.

J'ai entendu un sanglot pendant que nous partions. Peut-être que Stephen pleurait. Mais je m'en moquais. Je ne voulais pas être avec un homme qui ne savait pas apprécier les relations.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Les relations sont basées sur l'amour et l'attention et pas nécessairement sur le sang. Stephen détestait Bob, mais Bob l'adorait.
• La vie est un cercle. Ce que l'on fait, on le refait. Stephen a quitté Stacey et Bob parce qu'il pensait que Bob n'était pas son enfant. Cependant, à la fin, le karma l'a rattrapé, et Stacey et Bob l'ont abandonné.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.