Le voisin a pris notre colis, en a utilisé le contenu et nous a demandés de payer pour ce qui reste - le karma lui a fait payer deux fois plus

La rénovation de notre salon a pris une tournure inattendue lorsque notre coûteuse peinture écologique a disparu, pour se retrouver entre les mains de notre voisin opportuniste. Il ne se doutait pas que le karma allait faire en sorte que justice soit rendue de la manière la plus satisfaisante qui soit.

Tout a commencé avec notre projet de rénovation de la maison. Ma femme, Karen, et moi avions décidé de refaire le salon. Nous avions une vision claire en tête et voulions que tout soit parfait. Nous avons donc commandé cette peinture fantaisiste et écologique. Elle a coûté une petite fortune, mais nous avons pensé que cela valait la peine de par les avantages esthétiques et environnementaux.

"Nous devrions avoir la peinture d'ici mardi", a dit Karen en regardant la confirmation de commande. Ses yeux brillaient d'impatience. "J'ai hâte de commencer !"

"De même", ai-je répondu, partageant son excitation. "Cette peinture est censée être la meilleure du marché".

Le mardi est arrivé, mais pas la peinture. J'ai vérifié le pas de la porte à de multiples reprises au cours de la journée, mais il est resté vide. Inquiet, j'ai décidé d'appeler la société de livraison pour me renseigner.

"Bonjour, j'ai commandé de la peinture, et elle était censée arriver aujourd'hui", ai-je expliqué au représentant du service clientèle.

"Laissez-moi vérifier cela pour vous", a-t-elle répondu avec courtoisie. Après une brève pause, elle est revenue en disant : "Nos dossiers indiquent qu'elle a été livrée ce matin".

"Mais il n'y a rien ici", ai-je dit, la frustration s'insinuant dans ma voix.

"Pourriez-vous, peut-être, vérifier auprès de vos voisins ?", a-t-elle suggéré poliment.

Je l'ai remerciée et j'ai raccroché, même si je me sentais loin d'être satisfait. Déterminé à résoudre le mystère, j'ai marché jusqu'à notre voisine, Mme Thompson, et j'ai frappé à sa porte.

"Bonjour, madame Thompson", l'ai-je saluée chaleureusement. "Auriez-vous une livraison pour nous par hasard ?".

"Non, mon cher, je n'en ai pas", a-t-elle répondu avec sympathie. "J'espère que vous la trouverez."

J'ai fait ma tournée, vérifiant auprès de quelques autres voisins, mais personne n'avait vu ou reçu notre peinture. Chaque réponse négative ne faisait qu'accroître ma frustration et ma confusion.

Quelques jours plus tard, Karen est arrivée en courant dans la cuisine, une carte postale serrée dans la main.

"Regarde ça !" a-t-elle dit me la tendant les yeux écarquillés. Elle provenait de notre voisin, M. Jenkins.

"Peinture écologique extra premium à vendre", ai-je lu à haute voix. "Livrée à moi par erreur, j'en ai utilisé une partie, je vends le reste avec une généreuse remise".

"C'est notre peinture !" s'est écriée Karen, sa voix pleine de stupéfaction et d'indignation. "Il l'a prise !"

"Je ne peux pas le croire", ai-je marmonné, sentant ma colère monter. "Je vais lui parler tout de suite".

La carte postale à la main, j'ai marché jusqu'à la maison de M. Jenkins, un mélange de nervosité et de détermination alimentant mes pas. J'ai frappé à sa porte, et quelques instants plus tard, il est apparu, arborant un sourire narquois.

"Bonjour", a-t-il salué, ses yeux se posant sur la carte postale. "Tu veux de la peinture ?"

"En fait, monsieur Jenkins, je crois que c'est notre peinture", ai-je répondu en m'efforçant de garder mon sang-froid. "Elle était censée nous être livrée mardi dernier".

Son sourire s'est légèrement altéré. "Oh, c'est vrai ?", a-t-il répondu en se grattant la tête dans une confusion feinte. "Eh bien, elle est là maintenant. J'en ai déjà utilisée une partie. Si tu veux le reste, tu vas devoir le payer."

Je n'en croyais pas mes oreilles. "Monsieur Jenkins, cette peinture nous appartient", ai-je insisté, ma patience s'épuisant.

"Peux-tu le prouver ?", a-t-il demandé en haussant un sourcil d'un air défiant. "Parce que si tu ne peux pas, alors elle est à moi. Et comme je l'ai dit, tu devras payer pour ce qui en reste."

"Montre-moi la peinture", ai-je exigé, en essayant de garder une voix stable. "Je veux la voir."

"Très bien, entre", a-t-il dit en s'écartant à contrecœur. Je suis entré dans sa maison, le cœur serré à l'idée de devoir l'affronter davantage.

À l'intérieur, M. Jenkins m'a conduit à son garage, où plusieurs pots de peinture étaient empilés soigneusement contre le mur. J'ai immédiatement reconnu l'étiquetage distinctif. Il avait en effet pris notre commande et avait eu l'audace d'en utiliser une partie et d'essayer de vendre le reste.

"Tu vois, j'ai la peinture juste ici", dit-il d'un air suffisant.

J'ai pris une grande inspiration, réalisant qu'il était inutile de le faire entendre raison.

"Garde-la. J'espère que tu l'apprécieras."

"Oh, je vais l'apprécier", a-t-il dit en souriant. "Merci d'être passé."

J'ai quitté sa maison, ressentant un mélange de colère et de déception. Comment quelqu'un pourrait-il être aussi fourbe ? Karen m'attendait à la maison, et quand je lui ai raconté ce qui s'était passé, elle était tout aussi bouleversée.

"C'est tout ?" a-t-elle demandé en levant les bras au ciel. "Il s'en tire comme ça ?"

"On dirait bien", ai-je répondu en m'asseyant. "Il n'y a rien que nous puissions faire."

Deux semaines plus tard, M. Jenkins montrait à tout le monde son salon fraîchement repeint. Il avait invité les voisins, un par un, à venir admirer son travail. Il se vantait des économies réalisées grâce à l'utilisation d'une peinture haut de gamme et de la qualité du résultat.

"Entrez", disait-il à tous ceux qui s'arrêtaient. "Regardez mon nouveau salon. N'est-ce pas génial ?"

Les gens le complimentaient et il s'imprégnait de tout cela, l'air suffisant. Chaque fois que je le voyais, il me faisait un petit sourire du coin de la bouche, comme s'il savait qu'il avait gagné.

"Beau travail, Jenkins", dit un jour M. Thompson. "Où avez-vous trouvé cette peinture ?"

"Oh, juste une erreur chanceuse", lui avait répondu Jenkins en faisant un clin d'œil. "J'ai économisé un paquet d'argent avec ça".

Mais ensuite, le karma l'a frappé. Un après-midi, j'ai remarqué que M. Jenkins était dehors, l'air frustré. Il était au téléphone et parlait à quelqu'un.

"Cette peinture s'écaille sur les murs !" criait. "J'ai besoin que quelqu'un vienne la réparer".

Il s'est avéré qu'il n'avait pas préparé les murs correctement avant de les peindre. Notre peinture de haute qualité commençait à s'écailler, et l'aspect était affreux. Sa fierté et sa joie se transformaient en désastre.

Quelques jours plus tard, je l'ai entendu parler à une autre voisine, Mme Green.

"Je n'arrive pas à y croire", a-t-il dit en secouant la tête. "Je dois repeindre tout le salon".

"C'est malheureux", a répondu Mme Green. "Tu n'as pas utilisé cette peinture de luxe ?"

"Si, mais elle a commencé à s'écailler", a-t-il admis. "Et maintenant, le prix a doublé. Cela va me coûter une fortune de la refaire."

Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire. Le karma l' a rattrapé. M. Jenkins a dû commander plus de peinture, et le prix avait effectivement doublé depuis notre achat initial. Ce qui était autrefois une bonne affaire pour lui est à présent une erreur coûteuse.

Et cela ne s'est pas arrêté là. Comme il s'était planté la première fois, il a décidé d'engager un professionnel pour refaire le travail. Il ne se faisait pas confiance pour un autre projet de bricolage, pas après ce qui s'était passé.

"Bonjour, je suis là pour repeindre votre salon", a dit le peintre à son arrivée.

"Oui, entrez", a répondu monsieur Jenkins, l'air défait. "Assurez-vous simplement que ça ne s'écaille pas cette fois-ci".

Le quartier bourdonnait de discussions sur l'infortune de monsieur Jenkins. Personne n'avait pitié de lui. En fait, la plupart des gens pensaient qu'il n'avait eu que ce qu'il méritait.

"Tu as entendu parler de Jenkins ?" demandait un voisin à un autre. "Il a dû engager un professionnel pour réparer son désordre".

"C'est bien fait pour lui", lui a répondu l'autre. "Il n'aurait pas dû prendre cette peinture dès le départ".

Regarder M. Jenkins faire face aux répercussions de ses propres actions était la dose parfaite de karma. Je n'ai jamais récupéré ma peinture, mais le voir payer pour ses actions était suffisamment satisfaisant.

À partir de ce moment-là, chaque fois que je le voyais, je lui adressais un sourire complice. C'était un rappel silencieux que parfois, tu récoltes vraiment ce que tu as semé. Et pour ce qui est de M. Jenkins ? Disons qu'il se fait beaucoup plus discret ces jours-ci.

Nous sommes rentrés à la maison après le traitement de notre enfant et avons trouvé notre maison détruite par mes beaux-parents et mes voisins.

Hazel n'aurait jamais imaginé rentrer de l'hôpital et voir sa vie bouleversée. Après une semaine d'attente anxieuse des résultats du traitement de leur fille, elle et son mari Ethan sont finalement rentrés, avec l'espoir d'un avenir meilleur. Mais alors qu'ils pénètrent dans leur allée, leurs cœurs ont sombré. Que s'est-il passé ?

Nous sommes une famille américaine typique avec trois beaux enfants : Lily, Max et Emma. Lorsque nous avons fondé notre famille, tout semblait parfait. Notre maison résonnait d'amour et de rires, et ces premiers jours étaient tout simplement merveilleux.

Mais Lily est tombée malade. Elle était notre plus jeune, et sa maladie a brisé nos vies. Nous avons investi tout notre argent dans son traitement, désespérés de la voir guérir.

Nous avons presque tout vendu - appareils électroménagers, meubles - tout pour couvrir les coûts croissants.

Je me souviens encore du jour où ma petite fille est née. Elle était notre petit rayon de soleil, toujours souriante et rieuse. Max et Emma adoraient leur petite sœur, et avec elle, notre famille se sentait complète. Notre maison était douillette, pas très grande, mais c'était la nôtre, et elle était remplie d'amour.

Mais regarder notre salon presque vide maintenant, m'a brisé le cœur. Le canapé a disparu, la télévision a été vendue et notre table à manger a été remplacée par une petite table de fortune.

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Cette œuvre est inspirée d'événements et de personnes réels, mais elle a été romancée à des fins créatives. Les noms, les personnages et les détails ont été modifiés afin de protéger la vie privée et d'améliorer le récit. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, ou avec des événements réels est purement fortuite et n'est pas voulue par l'auteur.

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