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Françoise Hardy a révélé sa déception concernant la décision prise par Johnny dont elle était proche
![Quentin Autier](https://imgproxy.amomama.fr/099UMgr8ZH47hGj-OzNXie1LQ9E5D7CxLwOAaTfAAC4/rs:fill:120:0:1/g:no/aHR0cHM6Ly9jZG4uYW1vbWFtYS5jb20vNTBjMzdhZTA5YTQ3NWE3NDdkNzY5MTAxNGM4OTdiNTQzMjE2NzE1NjIzMzY4NDkuanBn.jpg)
"Johnny Hallyday aurait dû parler aux aînés", Françoise Hardy meurtrie se mêle aussi de l’héritage du rockeur.
Gala nous parle de Françoise Hardy qui est toujours en deuil trois mois après le décès de son ami Johnny Hallyday. Dans les colonnes du magazine Télérama, la chanteuse s'est confiée sur son ressenti au sujet des dernières volontés du Taulier.
Johnny Hallyday nous a quitté dans la nuit du 5 au 6 décembre dernier, emporté par un cancer du poumon qu'il a courageusement combattu pendant des mois, soutenu par ses fans, ses amis et sa famille.
Le légendaire rockeur a laissé derrière lui un testament qui fait malheureusement polémique. En effet, il a pris la décision très controversée de déshériter ses deux enfants les plus âgés, David Hallyday et Laura Smet, au profit de leur belle-mère Laeticia Hallyday qui est ainsi devenue la seule bénéficiaire de son testament.
De nombreuses personnes ont donné leur avis sur cette décision et chacun a son propre avis sur la situation très compliquée que connaît la célèbre famille Hallyday.
Françoise Hardy elle aussi a partagé son opinion au cours d'une interview accordée à Télérama. Pour elle, Johnny aurait dû parler de cet héritage à ses enfants.
Elle fait "partie de tous ces Français qui attachent une grande dimension affective à l'héritage."
Au cours de l'interview, la chanteuse a déclaré: "Même si on peut admettre que Johnny ait voulu laisser davantage à ses plus jeunes enfants, il aurait dû parler aux aînés. La révélation abrupte d'un tel testament, c'est froid, c'est sec. Comme un reniement. Très douloureux."
Elle est aussi revenue sur la vive douleur que lui a causé la mort de son ami. " Johnny et moi étions nés dans la même clinique, a-t-elle expliqué à Télérama. Lui aussi avait grandi dans un milieu populaire, à trois pas de chez moi. Lui, Jacques et moi avons passé toute notre jeunesse à quelques mètres les uns des autres. Ça crée des liens invisibles. Sa mort a été un déchirement."