logo
AccueilDivertissement

Françoise Hardy a révélé sa déception concernant la décision prise par Johnny dont elle était proche

Quentin Autier
29 mars 2018
03:32

"Johnny Hally­day aurait dû parler aux aînés", Françoise Hardy meur­trie se mêle aussi de l’hé­ri­tage du rockeur.

Annonces

Gala nous parle de Françoise Hardy qui est toujours en deuil trois mois après le décès de son ami Johnny Hallyday. Dans les colonnes du maga­zine Télé­rama, la chan­teuse s'est confiée sur son ressenti au sujet des dernières volon­tés du Taulier.

Johnny Hallyday nous a quitté dans la nuit du 5 au 6 décembre dernier, emporté par un cancer du poumon qu'il a courageusement combattu pendant des mois, soutenu par ses fans, ses amis et sa famille.

Le légendaire rockeur a laissé derrière lui un testament qui fait malheureusement polémique. En effet, il a pris la décision très controversée de déshériter ses deux enfants les plus âgés, David Hallyday et Laura Smet, au profit de leur belle-mère Laeticia Hallyday qui est ainsi devenue la seule bénéficiaire de son testament.

De nombreuses personnes ont donné leur avis sur cette décision et chacun a son propre avis sur la situation très compliquée que connaît la célèbre famille Hallyday.

Annonces

Françoise Hardy elle aussi a partagé son opinion au cours d'une interview accordée à Télérama. Pour elle, Johnny aurait dû parler de cet héritage à ses enfants.

Elle fait "partie de tous ces Français qui attachent une grande dimen­sion affec­tive à l'héri­tage."

Au cours de l'interview, la chanteuse a déclaré: "Même si on peut admettre que Johnny ait voulu lais­ser davan­tage à ses plus jeunes enfants, il aurait dû parler aux aînés. La révé­la­tion abrupte d'un tel testa­ment, c'est froid, c'est sec. Comme un renie­ment. Très doulou­reux."

Annonces

Elle est aussi revenue sur la vive douleur que lui a causé la mort de son ami. " Johnny et moi étions nés dans la même clinique, a-t-elle expliqué à Télé­rama. Lui aussi avait grandi dans un milieu popu­laire, à trois pas de chez moi. Lui, Jacques et moi avons passé toute notre jeunesse à quelques mètres les uns des autres. Ça crée des liens invi­sibles. Sa mort a été un déchi­re­ment."

Annonces
Annonces
Articles connexes