L'avocat de Laeticia a publié un communiqué qui affirme qu'elle est toujours ouverte à la discussion avec Laura et David
Découvrez la déclaration de maître Ardavan Amir-Aslani, avocat de Læticia Hallyday, à l'issue de l'audience du 24 mai.
L'avocat de Læticia Hallyday a publié un communiqué de presse, ce jeudi 24 mai, après l'audience privée lors de laquelle il a refusé une médiation avec les avocats de David Hallyday et Laura Smet.
Le jeudi 24 mai avait lieu une nouvelle audience privée au tribunal de grande instance de Nanterre dans le cadre de l'affaire Hallyday. A cette occasion, les avocats des deux parties étaient présents, dans le but de fixer un calendrier de la procédure et d'organiser, si possible, une médiation.
La médiation ayant été refusée par l'avocat de Laeticia Hallyday, maître Ardavan Amir-Aslani, la prochaine audience publique dans cette affaire a été fixée au jeudi 22 novembre prochain.
L'avocat de la veuve a publié un communiqué de presse auprès de l'AFP hier en début d'après-midi, dans lequel il explique que sa décision de rejeter la médiation proposée n'était pas définitive pour autant.
"A l'issue de l'étape judiciaire qui s'est tenue aujourd'hui, Maître Ardavan Amir-Aslani tient à rétablir certaines vérités et à préciser les points suivants :
- Nous n'avons pas aujourd'hui refusé une médiation définitivement. L'intention de négocier de la partie adverse était un pur artifice de communication sans aucune proposition concrète, ce que nous déplorons.
- Nous confirmons que notre cliente a été et demeure ouverte à toute discussion et proposition de conciliation permettant de faire respecter les dernières volontés de Johnny Hallyday et de rétablir un climat apaisé au sein de sa famille.
- Il est inadmissible que la partie adverse prétende aujourd'hui, par déclaration publique, regretter qu'une conciliation n'ait pas encore eu lieu alors qu'il y a peine 3 mois, c'est elle-même qui a engagé une bataille judiciaire et médiatique à outrance sans aucune forme de discussion amiable préalable.
- Contrairement à ce que la partie adverse essaye de véhiculer, je rappelle que ma cliente est avant tout victime des procédures engagées et que sa seule préoccupation est de veiller au respect des dernières et très claires volontés de son défunt mari."