Eddy Mitchell: La raison étonnante pour laquelle il doit continuer à fumer même contre sa volonté
Eddy Mitchell a des fans qui le suivent depuis des années et qui pourraient reconnaître sa voix entre mille. Une singularité qu'il doit à la cigarette. Alors qu'il avait un temps arrêté, il a vite dû se remettre à fumer pour retrouver cette voix qui plait tant à ses fans.
Eddy Mitchell est de retour avec un nouvel album titré La même tribu volume 2, suite au premier volume sorti en 2017, plus particulièrement en automne qui a rencontré un beau succès. De ce fait, l'artiste chanteur de 76 ans offre une opportunité en or a ses nouveaux pairs de reprendre en duo ses plus grand hits.
"J'enregistre toujours et, si je veux faire de la scène, j'en fais quand je veux" a déclaré Eddy Mitchell sur France Info dans Le Monde d'Elodie.
La voix d'Eddy est unique et très reconnaissable entre mille. "C'est parce que je fume" a-t-il confirmer.
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Pendant un temps, le chanteur avait bien fait le choix d'abandonner la cigarette. Mais il a dû revenir à ses mauvaises habitudes.
"J'avais une voix très fluette, on aurait dit Patrick Bruel enfant" a-t-il plaisanté.
Eddy n'a pas toujours été un chanteur. Longtemps amateur de cinéma, il a passé beaucoup de temps avec son père dans les salles de projection "sans passer par la case devoirs", souligne-t-il. Cela lui a permis de développer une passion pour les westerns.
A 14 ans a été coursier pour une agence du Crédit Lyonnais.
Il ne prendra pourtant pas longtemps pour s'adonner à la musique et faire ses premières scènes, ayant da son palmarès des millions de disques vendus. Une de ses chansons l'a marqué plus que toutes _ Le cimetière des éléphants.
"Je la trouve intemporelle, très jolie. Ce n'est pas une chanson que l'on peut beaucoup bouger", indique son auteur. "Même le solo de saxophone fait partie intégrante de la chanson", ajoute-t-il en parlant d'un "petit miracle".
"La musique, je ne la remercierai jamais assez. Elle m'a apporté le fait que j'existe encore au bout de 60 ans" a-t-il confié à nos confrères de France Info.