32 ans après la mort tragique de Daniel Balavoine, sa fille Joana sort de l'ombre
La fille du défunt Daniel Balavoine, Joana Balavoine, a récemment fait part de douces paroles pour Jérémie, son grand frère.
Daniel Balavoine est décédé il y a presque trente ans, en cette occasion, sa fille Joana a décidé de se confier pour la première fois. La jeune femme est née peu de temps après la mort du chanteur, comme rapporté par Closer.
Elle est une passionnée de musique, tout comme son père qu'elle n'a jamais pu rencontrer et sur lequel elle s'informe toujours.
C'est auprès de Paris Match qu'elle s'est confiée :
"J'ai accepté de ressembler à ce mec tout en ne sachant pas réellement qui il était."
Au cours d'une longue interview, elle a parlé de son chemin sur la découverte de son père. Elle a aussi parlé avec beaucoup d'émotions de Jérémie, son frère.
Daniel Balavoine était proche de Michel Berger et de France Gall ils ont participé ensemble à Starmania, Joana a sûrement connu Pauline lorsqu'elle était toute petite, elle est malheureusement décédée, et probablement aussi Raphaël, l'autre enfant de France Gall et de Michel Berger.
Lorsque Paris Mach a demandé à Johana comment elle avait pris conscience de l'absence de son papa, elle a répondu :
"Spontanément, je dirais que c'est à la mort de Michel Berger [en 1992, NDLR]. J'avais 6 ans. D'un seul coup, des gens que j'aimais n'avaient plus de papa non plus."
Mais elle a pu grandir sous la protection de son grand frère.
"Mon grand frère, le premier homme de ma vie. On a passé notre enfance collé l'un à l'autre. Je l'aime, je suis admirative de son exigence, de son intransigeance. Il m'a protégée de pas mal de conneries. Lui a très vite compris que le nom de Balavoine était rentable. Il n'a pas envie de brader les valeurs et l'engagement de papa. C'est un idéaliste qui protège un autre idéaliste. Maintenant, je ne veux pas trop m'exprimer pour lui, il le fera quand il le décidera."
Le frère et sa soeur sont les propriétaires du droit du chanteur et tiennent à y faire attention.
"Nous n'avons pas envie qu'on salisse la mémoire de notre père avec des opérations artistiques anecdotiques. Parfois, mon frère et moi avons dit non. Mais on ne peut pas tout contrôler, et ce n'est pas évident de gérer cet extraordinaire patrimoine. Daniel Balavoine, ce n'est pas nous, c'est lui. Nous ne sommes que son prolongement."