Michel Drucker parle pour la première fois de Claude qu'il considère comme "son fils"
C'est dans son nouveau livre : Il faut du temps pour rester jeune, que l'animateur parle de celui qui l'accompagne depuis des années.
Dans cet ouvrage, Michel Drucker parle de son ressenti face au monde de la télévision.
Un autre chapitre est entièrement dédié au 9 décembre 2017, jour de l'enterrement de Johnny Hallyday. Dans celui-ci, l'animateur se montre honnête et fait des confidences.
Il parle également pour la toute première fois du "petit Claude", cuisinier de la famille Drucker, et selon lui, le "pilier du foyer".
Claude et Michel Drucker se seraient rencontrés en 1977, dans les locaux de la station de radio RTL. A cette époque, Claude n'a que 15 ans. Michel Drucker lui propose de travailler auprès de sa famille quotidiennement.
Depuis toutes ces années, Michel Drucker dit qu'il considère Claude, qu'il a vu grandir, comme son fils.
"Ce n'est pas le genre d'homme à aller vendre ses mémoires à un éditeur quand je ne serai plus là. Et pourtant, il entend tout, il sait tout"
Claude est si intégré à la famille qu'une place lui est réservé dans le tombeau familial des Drucker.
L'AFFAIRE LAURENT DELAHOUSSE
Dans son livre, Michel Drucker parle aussi de l'histoire avec Laurent Delahousse, avec qui il serait prêt à se réconcilier.
Il y a quelques mois, il avait en effet parlé de Laurent Delahousse dont il a parlé comme étant celui qui allait prendre sa place car il était plus jeune que lui.
"Quand France 2 a lancé "19 heures, le dimanche" présenté par Laurent Delahousse à la place de "Vivement dimanche prochain" qui était le premier talk-show. Je me suis dit : Ok, ils veulent quelqu'un de plus jeune, de plus beau, de plus blond qui va séduire plus de ménagères. On n'ose pas me faire comprendre que je suis devenu has-been".
Selon Michel Drucker, Laurent Delahousse a toujours voulu lui prendre sa place, et serait allé jusqu'à tenter de faire chanter la production de la chaîne. "De toute ma vie, je n'ai jamais critiqué un confrère, j'ai été d'une loyauté et d'une fidélité indéfectible au service public. Mais là, c'en est trop. Parce que Laurent Delahousse n'est pas un mec bien. Il a demandé ma place pendant près de dix ans."
"Chaque saison, il menaçait la direction de partir s'il n'avait pas le 19 heures alors que j'étais une locomotive pour son journal. Au départ, je ne le croyais pas. Jusqu'au jour où il l'a dit ouvertement. Ça m'a peiné. J'ai trouvé ça surréaliste. Il a été d'une inélégance incroyable. C'est même le ballon d'or de la discipline."