17 novembre: un effroyable bain de sang a failli avoir lieu mais a été empêché au dernier moment
Terrorisme: Quatre hommes qui entendaient frapper la France ce samedi 17 novembre, ont été mis en examen et placés en détention provisoire, selon une information du Parisien.
Ce lundi 19 novembre, Le Parisien révèle que quatre hommes ont été mis en examen samedi 17 novembre pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle».
Selon les informations recueillies, les quatre individus avaient l’intention de commettre une attaque terroriste, le 17 novembre, alors que les forces de l’ordre étaient mobilisées sur les rassemblements des Gilets jaunes.
Mardi dernier, trois de ces hommes avaient été interpellés par la Sous-Direction antiterroriste à Saint-Etienne (Loire).
«Ça va saigner le 17 novembre.» Tel était le sms envoyé par un des terroristes présumés à sa fiancée. Cela a eu pour effet immédiat de mobiliser les autorités à intervenir et à précipiter les interpellations le 13 novembre dernier à Saint-Etienne.
Source : Youtube/Fan de TV
Selon un rapport de la Sous-Direction antiterroriste (SDAT), deux frères âgés de 23 et 25 ans, connus des services de police pour radicalisation, avaient été arrêtés mardi, à l'instar d'un homme de 52 ans, indique le quotidien. Deux autres individus, déjà en détention, avaient quant à eux été placés en garde à vue pour être interrogés. L'un d'eux, également âgé de 25 ans, avait été mis en examen dans une affaire de terrorisme il y a un an et demi.
Lors des perquisitions les enquêteurs ont procédé à la saisie d'un ordinateur, plusieurs tablettes, une clé USB contenant de la documentation pro Daesh, ils ont retrouvé chez l’un d’entre-eux, une arme de chasse et sept cartouches. Et selon eux, l'un des deux frères cherchant même à se trouver une kalachnikov.
Durant la garde à vue, l'un des suspects a expliqué qu'il voulait profiter des rassemblements des Gilets jaunes et la mobilisation policière pour leur braquage.
Source : Youtube/Fan de TV
Toutefois, les juges anti-terroristes ont la conviction que le groupe avait de préférence l'intention de commettre une attaque terroriste sur le sol français ce jour-là.
Selon Le Parisien, une enquête préliminaire du parquet de Paris avait été ouverte le 31 août visant «des velléités de départ en zone de djihad et l’évocation imprécise d’un projet de passage à l’acte violent». La cinquième personne n’a pas été mise en examen.
Récemment, en Isère, en Ille-et-Vilaine et en Moselle, six personnes soupçonnées d'être liées à l'ultra droite et en train de préparer une "action violente" contre Emmanuel Macron, ont été interpellées.
Selon des informations de sources proches recueillies par nos confrères de chez BFMTV, les policiers de la DGSI ont procédé à l'arrestation de ces six personnes dans le cadre d'une enquête qui a été ouverte pour traquer et stopper des éventuelles "associations de malfaiteurs terroristes criminelles".
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