
La phrase de Michel Drucker qui agace David Hallyday (vidéo)
À chaque fois que David Hallyday et Michel Drucker se rencontrent, l'animateur ne manque pas de lui rappler une anecdote particulière ce qui a le don d'agacer le chanteur.
Le nouvel album de David Hallyday est sorti le 6 décembre dernier et il en fait la promotion. Il a ainsi été invité à participer à l'émission "Vivement Dimanche prochain" présentée par Michel Drucker.
Celui qui était resté silencieux pendant des mois après le décès de son père reprend donc la parole publiquement. Alors qu'il parlait au célèbre animateur français de tous les gens qui ont participé à cet album intitulé "J'ai quelque chose à vous dire" avec lui, il s'est fait interrompre.
En effet, Michel Drucker qui est un grand ami de la famille Hallyday depuis de longues années a tenu à interrompre le chanteur de 52 ans afin de partager une anecdote. Une anecdote que David a, semble-t-il, beaucoup trop entendue.
"Je me souviens quand on s'était rencontré, je t'avais offert une raquette de tennis," commence à raconter l'animateur au gand dam de David Hallyday qui s'écrie: "A chaque fois, tu le dis !"
Mais il en faut bien plus pour déstabiliser Michel Drucker qui continue à raconter sa petite histoire. Il explique que s'il aime autant la raconter, c'est parce qu'à l'époque, il a pris une photo du fils de son grand ami Johnny, habillé en tennisman.
"A l'époque, tu jouais vachement bien au tennis" fait d'ailleurs remarquer l'animateur. En entendant cela, David a tenu à faire une petite précision en disant: "Je joue toujours au tennis!"
Michel Drucker pensait en effet que le fils de Johnny Hallyday avait abandonné la raquette quand il a commencé la course automobile mais c'est loin d'être le cas.
Au cours des interviews qu'il a accordées pour la promotion de ce nouvel album, David Hallyday est revenu sur la relation avec ses petites soeus Jade et Joy qui est devenue compliquée à cause de la guerre juridique qui l'oppose actuellement à leur mère Laeticia.
Il veut cependant s'assurer que les deux jeunes filles sachent qu'il les apprécie toujours et que sa porte leur est toujours ouverte: ""Je leur ai dit [...] que chez moi était chez elle."