Bixente Lizarazu heureux père de deux enfants, Tximista et Uhaina
Bixente Lizarazu, né le 9 décembre 1969 (49 ans) Saint-Jean-de-Luz, est un ancien footballeur international français qui s’est reconverti en consultant sportif. Il est aussi le père de deux enfants Tximista Lizarazu et Uhaina Lizarazu.
Après avoir hissé l’équipe de France au sommet des plus grandes compétitions mondiales, Bixente Lizarazu a changé de casquette en devenant consultant sportif et en pilotant sa propre émission sur les ondes de RTL.
Bixente n’est pas un homme très loquace lorsqu’il s’agit de sa vie privée. On sait qu’il a eu trois compagnes dont les chanteuses Elsa Lunghini et Claire Keim. C’est aussi un papa heureux de deux enfants, Tximista Lizarazu et Uhaina Lizarazu qu’il a eu deux unions différentes.
Bixente Lizarazu a joué aux jeux des confidences pour les journalistes de Télé-Star. Il a par exemple raconté que son premier geste en quittant son lit le matin, c’est de se préparer deux expressos.
Il confie aussi passer "très peu de temps" devant le miroir le matin et révèle qu’au-dessus de sa table de chevet est posé "un bouquin sur le PSG version Qatar" ainsi qu’un dessin de sa petite fille Uhaina (10 ans et demi, fruit de son amour pour Claire Keim).
L’ex-international de l’équipe de France raconte aussi qu’il s’entend très bien avec ses parents :
"Avec mon père, on partage les tâches physiques. Et avec ma mère, on discute un peu plus, même si on n’est pas vraiment des tchatcheurs dans la famille." Lui qui s’est défini comme "un adolescent timide et pas du tout bourreau des cœurs" se souvient de son premier chagrin d’amour : "J’étais en seconde. P..., elle m’en a fait baver pendant quatre mois, je me suis dit : Plus jamais ça ! Bon, bien sûr, la fois d’après, c’était pareil !"
Et lorsqu’il lui est demandé ce qui attire en premier son regard chez une femme, Bixente Lizarazu répond avec une note d’humour :
"Je fais le faux-cul ou... ? En fait ça dépend de quel côté tu regardes. De face, je suis plus romantique, c’est le regard, le sourire... Par contre, de dos, j’avoue, c’est les fess**, déclare-t-il, avant de se rétracter en riant : Mais bon, ça c’était avant !"
Le champion du monde 1998 raconte aussi qu’il lui arrive de verser des larmes, même s’il n’est "pas du tout du genre à le montrer" et qu’il n’a pas encore été sujet à la crise de la quarantaine :
"Même si j’ai toujours du mal à passer une année, parce que j’aimerais être éternellement jeune. Pas de pétage de plombs à l’adolescence, ni en arrêtant ma carrière, même si j’ai eu quelques jours où je n’étais pas bien. Et pas de crise de la quarantaine. Rappelez-moi pour la cinquantaine."
Le grand sportif explique aussi qu’il n’a jamais succombé aux sirènes du mariage car il pense :
"plus important comme engagement de décider de faire des enfants que de se marier" il a aussi avoué que Twitter est devenu une de ses plus agaçante manie : "Je ne peux pas m’empêcher d’y aller. C’est un outil intéressant, mais faut faire gaffe à ce que ça ne prenne pas trop de place."
Quand on lui demande laquelle des critiques qu’on lui a adressé l’a le plus marqué, il répond :
"L’étiquette de donneur de leçons qu’on nous colle parce qu’on donne notre avis. C’est notre métier ! Même si ça fait partie du jeu, je trouve cette réflexion débile."
Évidemment, il compte parmi ses plus grandes fiertés les quatre titres principaux qu’il a acquis durant sa carrière professionnelle sous la bannière tricolore et en club, toutefois, il souligne que ses enfants restent pour lui sa plus grande fierté :
"Mon fils, est en école de commerce, et qui mesure genre 5 m. Et ma petite fille, qui est toute mignonne et adorable."