Une femme âgée a été retirée d’une maison de retraite par un homme qu'elle n'a pas vu depuis 56 ans – Histoire du jour

Une femme est placée dans une maison de retraite par son fils après que sa belle-fille l'a accusée de faire du mal à ses petits-enfants. Un jour, un homme mystérieux l’a sauvée.

Catherine Wilson pensait avoir laissé son passé derrière elle. Elle n'y a jamais pensé si elle pouvait l'éviter, et elle n'en a jamais parlé à personne. Pour autant que le monde le sache, Catherine a complètement changé de vie à l'âge de dix-huit ans.

Elle avait été un mannequin à succès dans les années soixante, puis avait épousé un homme riche et âgé avec lequel elle avait eu son seul enfant, Albert. À la mort de son mari, Catherine avait consacré toute sa vie à son fils, et elle pensait qu'il lui était tout aussi dévoué. Mais elle s’est trompée.

Albert a épousé une femme que Catherine n'aimait pas particulièrement, mais pour le bien de son fils, elle s'est montrée aimable avec elle. Après quelques années de mariage, Albert a annoncé que sa femme Maureen et lui attendaient leur premier enfant.

Catherine était ravie, mais son fils a eu une requête à lui faire : "Maman, je voulais te demander... Je sais que c'est important, mais peux-tu vendre ta maison pour que Maureen et moi puissions acheter notre propre maison ?"

"Nous voulions une maison avec un jardin, avec un petit cottage dans le jardin pour toi – et nous avons trouvé l'endroit parfait ! Tu vas l'adorer !"

"Mais Albert", a protesté Catherine. "Je ne veux pas abandonner ma propre maison ! La nouvelle maison serait la tienne... Je n'aurais plus rien..."

"Maman", s'est écrié Albert, choqué. "Tu sais que je prendrai TOUJOURS soin de toi ! Je te promets que je serai toujours là pour toi. Tu seras près de nous et tu nous aideras à élever les enfants. Ce sera parfait."

Mais bien sûr, ce n'était pas le cas. Maureen n'aimait pas plus Catherine que Catherine n'aimait Maureen et les deux femmes se disputaient fréquemment, surtout au sujet des deux enfants du couple.

En fin de compte, tout ce qui compte, c'est la famille.

Catherine les gâtait et Maureen protestait. "C'est MA maison", s'est écriée Maureen. "Tu fais ce que je dis !"

"Ta maison ?", lui a répondu Catherine en hurlant. "Qui a payé cette maison ? MOI !" Les choses se sont rapidement dégradées à partir de ce moment-là, et Maureen a commencé à se plaindre de Catherine auprès d'Albert.

Maureen a dit à Albert que Catherine a donné à leur fils aîné Mark des cacahuètes auxquelles il était allergique. Albert a confronté sa mère : "Maman, tu mets la vie de Mark en danger !".

"Mais je ne lui ai pas donné de cacahuètes", s'est écriée Catherine. "Je ne ferais jamais ça !"

Mais Albert, même s'il la croyait, estimait qu'il devait se ranger du côté de sa femme, la mère de ses enfants. "Je vais devoir te placer dans un foyer, maman", a dit Albert. "C'est allé assez loin."

"Un foyer ?", a demandé Catherine, étonnée. "Mais quand j'ai vendu ma maison et que je t'ai donné l'argent que tu m'avais promis..." Albert a eu honte et a détourné le regard, mais il a poursuivi son plan et, deux semaines plus tard, Catherine s’est retrouvée dans une maison de retraite.

Catherine est tombée dans une profonde dépression. Elle avait remis sa vie entre les mains de son fils, et a cru en sa promesse. Maintenant, il l'avait abandonnée et, à 74 ans, elle n'avait plus rien ni personne. Le personnel de la maison de retraite a fait de son mieux, mais rien n’a réussi à faire sortir Catherine de sa dépression.

Un jour, l'une des infirmières est venue voir Catherine. "Mme Wilson, il y a quelqu'un ici pour vous... pour vous chercher."

Catherine a levé la tête. "Albert ?", a-t-elle demandé avec espoir. "Mon fils ?"

L'infirmière a secoué la tête. "Non, un autre homme. Un certain M. Torrance."

"Torrance ?", a murmuré Catherine. "Mais..." Avant qu'elle n'ait pu dire un mot de plus, un grand et bel homme d'une soixantaine d'années est entré.

"Cathy ?", a-t-il demandé. "Cathy, c'est Jack."

"Jack ?", a demandé Catherine, et le passé lui est revenu en mémoire. Soudain, elle avait de nouveau 18 ans, se tenait dans le couloir d'un orphelinat, et devant elle se trouvait un petit garçon de huit ans, le visage inondé de larmes.

"Tu reviendras, n'est-ce pas Cathy ?", a-t-il sangloté. "Tu le promets ?"

"Oui", avait promis Catherine en serrant son petit frère dans ses bras. "Dès que j'aurai un travail et un logement, je viendrai te chercher !". Mais elle ne l'a jamais fait. Quelques mois plus tard, elle a été “repérée” et sa carrière de mannequin a décollé.

Elle a été happée par le glamour, les fêtes et les voyages à Paris, Milan et New York. Jack avait été relégué au second plan dans son esprit, une obligation qu'elle avait choisi d'enterrer.

Aujourd'hui, 56 ans plus tard, Jack est là, devant elle. "Oh, Jack, je suis désolée... Je t'ai laissé tomber...", a-t-elle sangloté. "Mais crois-moi, j'ai eu ma punition... Je suis seule maintenant, mon fils m'a abandonnée..."

"Je sais", a dit Jack à voix basse.

"Comment le sais-tu ?", a demandé Catherine.

"Je t'ai retrouvée il y a trente ans, Cathy", a expliqué Jack. "Je dois admettre que j'étais en colère ! Tu menais une belle vie et j'en avais tellement bavé... Mais quand j'ai découvert que tu étais seule, j'ai voulu t'aider."

"Je vais bien, Cathy, et je veux que tu viennes vivre avec moi. J'ai quatre enfants et sept petits-enfants et ils veulent tous te rencontrer !".

C'était comme dans un rêve ! Soudain, Catherine s’est retrouvée au milieu d'une réunion de famille, entourée des enfants et petits-enfants de Jack, et elle était l'invitée d'honneur !

Catherine a alors aperçu les fils aînés de Jack en train de se disputer et a vu l'un d'eux pousser l'autre. Elle s'est écriée : "Arrêtez !" et a couru vers eux. Elle se plaça entre eux et posa une main sur la poitrine de chacun.

"Vous êtes des FRÈRES", s'est-elle écriée. "Il m'a fallu 56 ans pour me rendre compte de la force de ce lien, et ce furent 56 années gâchées, 56 années où je n'ai pas eu mon frère dans ma vie. Ne faites pas cette erreur !"

Jack s'est approché et a entouré Catherine et ses fils de ses bras. "C'est bon, Cathy, les garçons vont s'en occuper. Et maintenant, nous sommes ensemble, et nous ne serons plus jamais séparés."

Que pouvons-nous apprendre de cette famille ?

• Ne laissez pas tomber vos proches, car en fin de compte, tout ce qui compte, c'est la famille. Catherine a découvert des années plus tard que son seul soutien était le frère qu'elle avait abandonné.
• Le pardon nous guérit et efface la douleur. Jack a pardonné à Catherine et cela lui a permis de devenir un homme meilleur et plus heureux.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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