Un garçon met sa mère à la porte, elle le retrouve en train de mendier dans la rue 13 ans plus tard - Histoire du jour

Une femme est stupéfaite lorsque son fils la chasse de sa propre maison et la vend pour une fortune, mais des années plus tard, elle le retrouve dans la rue en train de mendier.

Carol Wallace a traversé beaucoup d'épreuves dans sa vie. Beaucoup d'autres femmes auraient été aigries par leurs souffrances, mais Carol a toujours gardé le moral, l'espoir et l'amour dans son cœur, même lorsqu'elle a été confrontée aux pires trahisons.

À 55 ans, Carol avait une vie stable, un bon emploi et une maison confortable. Mais treize ans auparavant, elle avait vécu une expérience éprouvante qui l'avait conduite à devenir sans-abri - et c'est son propre fils qui l'avait mise à la rue.

Carol s'était mariée pour la première fois à l'âge de 18 ans avec un homme charmant et plus âgé qui l'avait séduite. Malheureusement, son mari s'est mis en ménage avec une femme encore plus jeune peu après leur troisième anniversaire de mariage et la naissance de leur unique enfant.

Carol était dévastée et avait demandé l'aide et le soutien de ses parents. Elle était fille unique, son frère aîné étant décédé dans un accident, et ses parents lui étaient dévoués. Elle se ressaisit et se consacra à sa carrière et à l'éducation de son fils, Greg.

Lorsque Greg a eu treize ans, Carol a rencontré Charles. Ce dernier, éperdument amoureux, l'a draguée sans relâche. Mais les parents de Carol n'étaient vraiment fans de lui. Ils pensaient qu'il s'agissait d'un fourbe de plus et craignaient qu'il ne brise tôt ou tard le cœur de leur fille.

La tromperie et la malhonnêteté mènent toujours au désastre.

Ils ont donc consulté leur avocat et ont mis l'acte de propriété de leur maison au nom de leur petit-fils. Ils ont expliqué à Carol et Greg que la maison était la propriété de sa mère et qu'elle n'était à son nom que pour être conservée au cas où le mariage avec Charles ne fonctionnerait pas.

Mais malgré les réticences de ses parents, Carol était amoureuse et a épousé Charles. Puis, quelques années plus tard, ses deux parents sont décédés à six mois d'intervalle. Carol a profondément chagriné ses parents, tandis que Charles s'est montré gentil et l'a soutenue.

Pendant huit ans, Carol a vécu un mariage heureux. Elle pensait avoir enfin rencontré et épousé l'homme de ses rêves. Mais le réveil fut brutal. Deux jours après son 42e anniversaire, Charles lui annonça qu'il voulait divorcer.

Il lui expliqua (avec beaucoup de charme) que même s'il l'aimait, il pensait que son bonheur se trouvait ailleurs. Il insista également sur le partage de leurs biens et fut très contrarié de découvrir que les biens de grande valeur de ses parents ne lui appartenaient pas.

Carol alla alors s'installer dans la maison de ses parents, qui avait été louée avec profit jusqu'alors. Entre-temps, Greg s'était marié et s'employait à mettre en place un cabinet de psychologue prospère.

Carol appela son fils et lui parla de la maison : "Chéri, je pense que nous devrions aller chez le notaire la semaine prochaine et mettre la maison à mon nom."

"Maman", a dit Greg, "J'ai une semaine difficile, et la semaine suivante, je pars à Miami pour voir les parents de Grace. On réglera ça à mon retour !"

Mais quand Greg est revenu, ils n'ont pas réglé le problème. Il trouvait toujours une raison pour repousser la visite chez l'avocat. Carole était irritée mais pas alarmée outre mesure. Après tout, c'était son fils...

Deux mois plus tard, Greg passa à l'improviste. "Bonjour maman !", dit-il avec désinvolture. "Écoute, je veux que tu déménages d'ici la fin de la semaine. J'ai vendu la maison."

Carole fit tomber la théière qu'elle tenait, éclaboussant ses jambes de thé bouillant. Mais à ce moment-là, elle ne ressentit même pas la douleur des brûlures. "Quoi ?", souffla-t-elle. "Je suis désolée, Greg, je n'ai pas compris..."

"La maison", a dit Greg froidement. "Je l'ai vendue. Tu dois partir d'ici avant vendredi"

"C'est MA maison !", s'écria Carol. "Comment as-tu pu la vendre ?"

"D'un point de vue légal", dit-il. "la maison m'appartient. Elle est à mon nom, ma propriété, et comme tu ne paies pas de loyer, tu dois partir immédiatement".

Carol avait trois jours pour quitter la maison et trouver un nouveau logement. Heureusement, une bonne amie a accepté de l'héberger. Elle lui en était reconnaissante, même si elle vivait dans un minuscule appartement avec une famille nombreuse et, au bout d'une semaine, elle a déménagé.

Elle a commencé à vivre dans sa voiture, à se doucher et à se changer à la salle de sport, et personne ne s'est rendu compte qu'elle était sans-abri. Au bout d'un an, elle a réussi à trouver une caution pour un petit appartement. Petit à petit, elle s'est reprise en main, a économisé et a même commencé à sortir avec un homme sympathique.

Treize ans après que son fils l'a mise à la porte, Carol est allée dîner. Elle aperçut alors un sans-abri qui mendiait sur le parking. Elle s'est souvenue de ces jours amers où elle avait tout perdu, y compris sa foi en l'humanité, et elle a été émue. Elle s'est approchée de l'homme et a sorti 50 dollars de son sac à main.

"Tenez", dit-elle. "Prenez ceci, et achetez-vous un repas chaud..." Mais à ce moment-là, le mendiant a levé la tête et la lumière du réverbère a éclairé son visage. "Greg !", s'écria Carole. C'était bien son fils, mais il a changé. Il semblait plus âgé, maigre et en haillons.

"Qu'est-ce qui t'est arrivé ?", s'est-elle exclamée. "Où est Grace ?"

"Maman ?", a dit Greg. "C'est vraiment toi ? Grace... Grace m'a quitté. Nous avons vendu la maison pour 400 000 dollars, mais j'ai fait des paris... Grace a pris ce qui restait. J'ai fait des affaires louches et j'ai perdu ma licence..."

"Viens avec moi", a dit Carol en aidant doucement son fils à se lever. "Tu ne dormiras pas ici ce soir." Elle a appelé pour annuler son rendez-vous au restaurant et a ramené Greg chez elle pour lui offrir un repas.

Cette nuit-là, Greg a dormi sur son canapé, mais le lendemain, Carol a puisé dans ses économies et lui a acheté une caravane pour y vivre. Avec son aide, Greg a trouvé un emploi de conseiller dans une maison de transition et a lentement commencé à reconstruire sa vie.

"Maman", a dit Greg. "Après tout ce que je t'ai fait, pourquoi m'aides-tu encore ?"

Carol sourit. "Mon fils, tu devrais savoir que, quoi qu'il arrive, le cœur d'une mère est toujours ouvert !"

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Une mère pardonnera toujours à son enfant, quoi qu'il fasse. Carole a pardonné à Greg son vol et sa trahison parce qu'elle l'aime inconditionnellement.
• La tromperie et la malhonnêteté mènent toujours au désastre. Après que Greg a volé sa mère, sa vie s'est effondrée et il a tout perdu, y compris sa femme et son travail.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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