Un homme ramène une femme chez elle ; Son mari et ses frères viennent le voir quelques jours plus tard – Histoire du jour

Peter raccompagne sa secrétaire après qu'ils ont fini travailler tard un soir. Il pense que c'est juste un bon geste. Mais sa gentillesse met Peter dans de beaux draps lorsque le mari et les frères de la jeune femme débarquent chez lui quelques jours plus tard.

Peter travaillait souvent de longues heures en tant que responsable du marketing de l'entreprise de son beau-père. Il était tard et tous ses employés étaient partis. Mais alors qu'il passait dans le couloir, tout prêt à rentrer chez lui, Peter a remarqué que le bureau de sa secrétaire Eliza était encore éclairé.

Il s'est alors rendu compte qu'il avait été tellement absorbé par la préparation des rapports pour la réunion du conseil d'administration qu'il avait oublié qu'Eliza lui donnait un coup de main.

"Je suis le plus terrible des patrons, n'est-ce pas ?" Peter soupira en s'appuyant sur son bureau.

"J'ai presque fini", sourit-elle en rassemblant ses affaires. "En fait, vous pourriez me rendre un service ? J'aurais besoin qu'on me ramène chez moi. J'ai essayé de réserver un Uber, mais sans succès !"

"Bien sûr", acquiesça Peter, car c'était à cause de lui qu'elle travaillait jusqu'à une heure tardive....

"Merci de m'avoir raccompagnée", lui sourit Eliza en bouclant sa ceinture. "Les rapports devraient être terminés d'ici la fin de la semaine."

"Vous ne parlez toujours que de travail ?", s'esclaffa Pierre en démarrant la voiture. "Ne vous méprenez pas, Eliza. Je sais que vous êtes l'une des employées les plus dévouées de l'entreprise, mais gardons le travail pour le bureau, d'accord ?"

Eliza avait cinq ans de moins que Peter, et c'était une fille très gentille. Bien que plusieurs hommes du bureau aient tenté de la séduire, elle a toujours gardé une distance respectueuse avec ses collègues masculins, partageant très peu de choses de sa vie avec eux. Mais Peter... était différent.

Il y avait quelque chose chez Peter qui la poussait à s'ouvrir à lui. Bientôt, ils discutaient comme de bons vieux amis, échangeant des plaisanteries et discutant même de leurs collègues.

"Eh bien, vous n'êtes pas ce que je m'attendais à ce que vous soyez", a dit Peter. "Vous avez l'air... D'une personne incroyable".

"C'était un compliment ?", dit-elle en riant. "Je le prends quand même. Merci. Vous êtes aussi très différent... Et plutôt séduisant."

"Il en va de même pour vous..." Peter s'est interrompu. Mais ses yeux et ceux d'Eliza se sont brièvement croisés avant que Peter ne reporte son attention sur la route. Dix minutes plus tard, ils se trouvaient devant la maison d’Eliza.

"C'est votre maison, n'est-ce pas ?", a-t-il demandé.

"Pourquoi n'entrez-vous pas pour vérifier ?", répondit-elle en le regardant.

"Je pense que vous devriez partir, Eliza", Peter a détourné son regard. "J'ai besoin de rentrer chez moi".

"Vous voulez que je parte ? Vraiment, Peter ?"

Il y eut une pause gênante alors qu'ils se regardaient à nouveau dans les yeux. L'instant d'après, Eliza était sur ses genoux et l'embrassait. Peter n'a pas pu lui résister au début. Mais quelques secondes plus tard, il l'a poussée sur le siège passager.

"Non ! Nous ne pouvons pas faire ça ! J'ai une femme... Et je l'aime ! S'il vous plaît, partez !" Il lui a ouvert la portière de la voiture. "Passez une bonne soirée !"

"Je suis désolée. Oui, euh, vous aussi..." a répondu précipitamment Eliza et elle est descendue.

Peter démarra aussitôt, et quelques minutes plus tard, il était chez lui. Il se maudit pour la bêtise qu'il s'apprêtait à commettre en attrapant le gâteau au café sur la banquette arrière.

"Hey, chérie-" commença-t-il lorsque sa femme ouvrit la porte, mais avant qu'il ne puisse terminer, elle lui coupa la parole.

"Tu t'es enfin rappelé que tu as une maison et une femme ?", s’est écriée Amanda en croisant les bras.

"Je suis désolé, chérie. C'est juste que ce rapport..." Avant qu'il ne puisse la serrer dans ses bras, elle a marché à l'intérieur avec colère.

"Il faut que ça s'arrête, Peter ! Tu rentres tard tous les jours !", a-t-elle crié alors qu'ils s'arrêtaient dans le salon.

"Je sais, chérie, et je suis désolé. C'est juste la charge de travail... Ça me rend fou."

"Donne-moi une bonne raison pour laquelle je devrais te pardonner ! Et ne t'avise plus de parler de travail !", a-t-elle aboyé.

"Est-ce que ça fait l’affaire ?" Il a soulevé la boîte de gâteaux. "On pourra toujours se disputer plus tard ! J'ai appelé le café et je leur ai demandé de le préparer pour ma charmante femme... Le gâteau au café, ton préféré."

Amanda était furieuse, mais elle s'est un peu adoucie. Elle s'est approchée de Peter pour le serrer dans ses bras, mais elle n'a pas tardé à froncer le nez de dégoût. "Est-ce que tu me trompes ?" Amanda a reniflé sa chemise et était sûre d'avoir senti le parfum d'une femme.

Le sueur s'est écoulé du visage de Peter lorsqu'il s'est souvenu de la scène dans la voiture et d'Eliza. Il y a deux ans, Peter avait effectivement trompé Amanda, et leur mariage était sur le point de s’effondrer. Mais Peter ne pouvait pas se permettre que l'histoire se répète, alors il lui a dit qu'il avait donné sa veste à une collègue qui avait froid.

Mais Amanda n'a pas cru à son histoire.

"Je ne te crois pas !", dit-elle en détournant le regard. "Dis-moi simplement s'il y a une autre femme dans ta vie !"

"Hé, hé, je ne te trompe pas, d'accord ?" Il lui a pris le visage et l'a regardée dans les yeux. "Tu peux vérifier la vidéosurveillance au travail. J'étais au bureau toute la journée, et quand j'ai quitté le travail, je suis rentré chez moi pour retrouver ma femme ! Je t'aime !"

Amanda n'a pas totalement accepté l'histoire de Peter, mais elle s'est sentie plus à l'aise lorsqu'il lui a demandé de vérifier les caméras au travail.

Plusieurs jours se sont écoulés. Un soir, Amanda et Peter regardaient un match de base-ball après le dîner, la tête de sa femme reposant sur son épaule. Soudain, le téléphone de Peter a vibré, le distrayant. Il a pris le téléphone et a cliqué sur le nouveau message dans la barre de notification. Un numéro privé lui avait envoyé un message.

"Venez dehors ! Ne dites rien à votre femme !"

Peter fronça les sourcils. À qui appartenait ce numéro inconnu qui lui envoyait le message ? Il faillit se lever d'un bond, mais il réalisa qu'Amanda était juste à côté de lui. Il vérifia. Elle dormait profondément. La télévision était allumée en face d'elle, mais elle s'assoupissait comme un ours.

Peter a délicatement posé sa tête sur le dossier du canapé. Puis il sortit, fermant la porte derrière lui. Un groupe d'hommes costauds se tenait dans l'allée.

"Excusez-moi ? Qui êtes-vous ?", demanda Peter en descendant les marches de son porche d'entrée. "Qu'est-ce que vous faites sur ma propriété ? Et le message... Comment avez-vous eu mon numéro de téléphone ?"

"Vous avez raccompagné ma femme il y a quelques jours, alors ne faites pas comme si vous ne saviez pas ce qui se passe ici", a dit un homme en s'avançant et en fixant Peter de la tête aux pieds. "Ce sont ses frères !", a-t-il ajouté en faisant un geste du pouce par-dessus son épaule pour désigner les autres types. "Nous sommes venus régler nos comptes !"

"Quoi-Eliza ?" Peter a sursauté. "Vous êtes le mari d'Eliza ?"

"C'est bien que vous vous souveniez de certaines choses... Maintenant, est-ce qu'il s'est passé autre chose ce jour-là ?", demanda l'homme.

"Autre chose ?" Peter déglutit bruyamment. "Je ne sais pas de quoi vous parlez ! Je l'ai juste déposée chez elle !"

"Regardez-vous en train d'inventer des histoires !", se moqua l'homme. "Mais j'en ai une meilleure ! Regardez !" Les tripes de Peter se tordirent d'une étrange anxiété lorsque l'homme lui montra des photos compromettantes de lui et d’Eliza prises il y a quelques jours à peine.

"200 000 dollars, et ça reste avec nous, ou votre femme apprend à quel point vous avez été 'fidèle'", l'a prévenu l'homme. "Alors... Pensez-vous pouvoir sauver votre mariage ?"

La peur s'empara de Peter. Il savait qu'Amanda ne le croirait jamais s'il lui disait qu'il avait fini par repousser Eliza. Peter n'avait pas d'autre choix que de céder aux demandes.

"Je-je vais chercher la somme", soupira-t-il en signe de défaite. "Mais s'il vous plaît, j'ai besoin de temps !"

Les hommes donnèrent à Peter une semaine pour trouver l'argent et partirent. Peter est rentré chez lui et s'est assis seul dans son bureau, réfléchissant à la prochaine étape. Après avoir remboursé l'hypothèque de la maison, il n'y avait plus d'économies. Il n'avait pas d'ami qui puisse lui prêter une telle somme, et s'il demandait un prêt à la banque, Amanda découvrirait tout.

Le lendemain, Peter s'est donc arrêté au bureau du chef comptable de son entreprise. Peter et Will étaient de bons amis et collègues, alors Peter allait faire jouer ses relations pour escroquer la société de l'entreprise.

"Je n'ai pas besoin de te rappeler que c'est un crime, Peter !", a dit sévèrement Will après que Peter lui a demandé de faire un chèque d'une valeur de 220 000 dollars.

"Allez, mec. Juste cette fois-ci", murmura Peter en s'appuyant sur la table. "Et oui, tu gardes les 20 000 dollars. Je les couvrirai pour toi... Et je te promets que j'obtiendrai tout l'argent dès que possible !"

Will a cédé après beaucoup de persuasion. Mais Peter n'aurait jamais pu deviner qu'Eliza était juste derrière la porte, en train d'écouter sa conversation avec Will. Après avoir reçu le chèque, Peter s'est rendu à la banque pour récupérer l'argent. Puis il a laissé un message au mari d'Eliza, Arnold, et ils ont décidé de se retrouver dans un café.

Lorsque Peter est arrivé, Arnold était déjà assis à une table près de la fenêtre. Il s'est glissé sur le siège en face d'Arnold.

"J'ai l'argent. Supprimez les photos !", lui a dit Peter, mais Arnold a ri.

"Je sais que vous avez escroqué votre entreprise, Peter !"

"Quelle différence cela fait-il ? Vous avez l'argent, alors effacez les photos !"

"Oh, ça fait une grande différence !" Arnold sourit. "Et si je vous dénonçais ? Vous seriez en prison ! Alors... Arrangeons les choses, d'accord ? Aidez-moi et mes gars à cambrioler la maison de votre beau-père. Ce vieil homme a fondé votre entreprise, alors il aura de l'argent chez lui, n'est-ce pas ?"

Peter était choqué. Il ne pouvait pas faire ça. Mais Peter savait aussi que s'il ne le faisait pas, il perdrait Amanda, son travail et toute sa vie. Il a donc accepté.

Il a assuré à Arnold qu'il désactiverait le système d'alarme de la maison de son beau-père le soir du cambriolage. Cependant, Peter devait encore trouver un moyen d'empêcher son beau-père d'entrer dans la maison. De plus, Arnold avait demandé à Peter de l'accompagner lors du cambriolage.

"Qu'est-ce qui ne va pas, chéri ? Tu as l'air fatigué !" Peter s'est affalé sur le canapé en arrivant chez lui, se sentant épuisé. Il ne pouvait pas affronter Amanda après ce qui s'était passé, alors il lui a dit qu'il était fatigué et a commencé à partir.

"Mais Peter, qu'en est-il de l'anniversaire de papa ? C'est dans deux semaines, et je veux que tu sois là !"

Les mots d'Amanda ont arrêté Peter dans son élan. Une idée brillante lui traversa l'esprit. Il décida d'envoyer ses beaux-parents et sa femme à Miami pour des vacances de trois jours, et à leur retour, Peter aurait nettoyé le désordre !

"Quoi ? Pas question, Peter ! Je n'irai pas seule ! Et papa va s'apercevoir de ton absence !", s'exclama Amanda. "Je croyais qu'on s'était mis d'accord sur le fait que la famille est la chose la plus importante !".

"Chérie, voyons, c'est un homme d'affaires. Il comprend l'importance de mon travail ! Et il va adorer que tu le surprennes avec un voyage de trois jours à Miami ! Tu ne peux pas lui offrir un meilleur cadeau !"

Finalement, Amanda a accepté, et Peter a poussé un soupir de soulagement. Il se sentait mal à propos de ce qu'il faisait, mais il s'est consolé en se disant que tout cela en vaudrait la peine.

Deux semaines plus tard, Peter était à l'aéroport, en train de déposer Amanda et ses parents.

"Tout va bien, chéri ? Tu as l'air tendu", Amanda a remarqué que Peter avait l'air nerveux. Et elle avait raison car c'était le soir où Peter allait aider Arnold dans le cambriolage.

"Oh non... Ce n'est rien", lui dit-il en la serrant dans ses bras. "Tu vas juste me manquer. Passe un bon voyage !"

"Tu es trop pressé de me renvoyer !" Amanda l'a taquiné, et Peter est devenu pâle pendant un moment. Cependant, il l'a convaincue que tout allait bien.

Bientôt, Amanda et ses parents ont disparu à travers la foule de l'aéroport. Peter a attendu de les voir se diriger vers l'enregistrement, puis il a fait demi-tour et est parti. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'Amanda ne s'était jamais enregistrée pour le vol. Elle a senti que quelque chose n'allait pas et l'a suivi.

Ce soir-là, une camionnette s'est arrêtée dans la rue en face de la maison du beau-père de Peter. Peter est sorti le premier du véhicule, le visage masqué par un masque, et a désactivé le système d'alarme. Arnold et ses hommes l'ont ensuite rejoint.

"Il y a des caméras ici ?", demanda Arnold.

"Seulement dans la cour avant, mais elles ne fonctionnent pas", a expliqué Peter.

Arnold et ses hommes ont enlevé leurs masques. Puis ils ont suivi les indications de Peter concernant l'or et les bijoux de la maison et ont commencé à jeter dans leurs sacs tout ce qu'ils trouvaient d'objets de valeur. Soudain, Arnold entendit la porte d'entrée s'ouvrir en claquant.

Il a sorti son arme et a demandé à tout le monde de se taire pendant qu'il se cachait derrière une porte au premier étage, à l'opposé de l'entrée principale. Lorsqu'il a entendu des pas dans l'escalier menant au deuxième étage, il a surgi de derrière la porte, l'arme au poing.

Arnold pensait que l'intrus était un homme... Jusqu'à ce que la personne se retourne.

"S'il vous plaît ! Ne me tuez pas !", s'écria Amanda.

Peter ne savait pas à quoi il pensait dès qu'il a vu Amanda, mais il s'est précipité sur Arnold et lui a arraché l'arme des mains. Mais dans ce moment de tension, un coup de feu retentit. Arnold a accidentellement appuyé sur la gâchette. Amanda s'est effondrée sur le sol et s'est évanouie.

À l'exception de Peter, tous les voleurs ont fui la maison avec le butin, terrifiés pour leur vie. Peter s'est précipité vers Amanda et lui a pris la tête sur ses genoux.

"Hé, chérie, réveille-toi !", dit-il en tremblant. "Tu vas... Tu vas t'en sortir, Amanda ! Je... Je compose le 911 !"

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.