Ma belle-mère est venue à notre mariage en portant une robe noire - Ma vengeance a été douce

Le jour du mariage d'Ashley aurait dû être parfait, mais sa belle-mère, Karen, est arrivée dans une robe noire, transformant le mariage en un spectacle. On aurait dit qu'elle pleurait une perte au lieu de faire la fête. Ashley a donc décidé d'exaucer son vœu. Ce qu'elle a fait ensuite a laissé tout le monde stupéfait.

Depuis le jour où Dan m'a présentée sa mère, Karen, je savais qu'elle ne m'aimait pas beaucoup.

En fait, j'ai toujours senti qu'elle ne voulait pas que son fils m'épouse. Cependant, je n'avais aucune idée qu'elle essaierait de gâcher mon grand jour.

Avant de vous raconter ce qui s'est passé ce jour-là, laissez-moi d'abord vous raconter comment s'est déroulée notre première rencontre.

Dan et moi nous sommes rencontrés au travail, et nous sommes sortis ensemble pendant quelques mois avant qu'il ne veuille me présenter sa mère.

"Maman est vraiment impatiente de te voir, Ashley", m'a-t-il dit un jour. "Elle m'a demandé de t'amener chez elle."

"Vraiment ? Je suis un peu nerveuse", ai-je avoué en tripotant mon téléphone. "Et si elle ne m'aime pas ?"

"Oh, allez, bébé", a déclaré Dan. "Elle va t'aimer. Il n'y a rien à ne pas aimer chez toi."

"Je l'espère", ai-je répondu en prenant une profonde inspiration.

Deux jours plus tard, Dan m'a emmenée chez Karen. Elle vivait dans une petite maison confortable à environ deux heures de chez Dan.

J'étais nerveuse et j'ai passé la nuit à me tracasser l'ésprit, imaginant comment les choses pourraient se passer. Mais quand je l'ai rencontrée, j'ai réalisé qu'elle n'était pas du tout ce à quoi je m'attendais. Elle était pire.

"Bonjour, mon chéri !", dit-elle en serrant Dan dans ses bras dès qu'elle a ouvert la porte. "Comment vas-tu ?"

"Je vais bien, maman", a répondu Dan. "Je te présente Ashley, ma petite amie."

"Oh, Ashley", dit-elle en me regardant de haut en bas, son ton s'aigrit. "Enchantée de vous rencontrer."

"Ravie de vous rencontrer aussi, Karen", ai-je dit avec un sourire et je l'ai suivie à l'intérieur.

Alors que nous étions assises sur le canapé de son salon, Karen a commencé à parler de son amour pour Dan, et de la façon dont elle et son défunt mari l'avaient élevé.

"Dan était un si bon garçon en grandissant", a-t-elle commencé. "Nous lui avons donné tout ce dont il avait besoin, des meilleures écoles à l'environnement le plus favorable. Nous avons fait beaucoup de sacrifices pour lui."

"Ça se voit, Karen", ai-je acquiescé. "C'est un homme merveilleux."

Karen a esquissé un sourire crispé et a ajouté : "Et il mérite quelqu'un de bien pour lui. Quelqu'un qui apprécie tout ce que nous avons fait pour lui. Quelqu'un qui peut être une bonne partenaire et une bonne mère pour mes petits-enfants."

"Bien sûr, Karen", ai-je souri en faisant semblant de ne pas saisir sa dérive.

"Maman, Ashley est exactement le genre de fille que j'attendais", a interrompu Dan. "Elle est tout simplement parfaite."

"Oh, Dan", a soupiré Karen en secouant la tête. "Personne n'est parfait. Et ce qui compte vraiment, c'est que ta partenaire comprenne tes valeurs familiales et les respecte. Je ne veux pas de quelqu'un qui s'habille mal ou qui ne sait pas bien se tenir en public."

C'est alors que les remarques désobligeantes ont commencé.

Karen ne manquait jamais l'occasion de dire à Dan que je ne lui convenais pas, que je ne faisais pas partie de leur famille et que je ne savais pas m'habiller "comme une dame".

Elle a même critiqué le rôti de poulet que j'ai préparé l'autre jour, en disant qu'il n'était pas "assez bon pour être servi lors des dîners de famille".

La vérité, c'est que Karen ne m'aimait pas et que je ne pouvais rien faire pour la faire changer d'avis. Elle trouvait toujours une raison de se plaindre, même si j'essayais de lui faire plaisir.

"Elle est comme ça", disait Dan chaque fois qu'elle faisait une remarque méchante. Il balayait ses commentaires comme s'ils n'étaient rien, et je le laissais faire.

Avec le recul, je regrette de ne pas avoir fixé de limites à Karen. J'aurais dû dire à Dan de me défendre et de lui faire comprendre que ses insultes constantes n'étaient pas acceptables.

Mais je ne l'ai pas fait. J'étais trop amoureuse de lui pour faire des vagues.

Le jour de notre mariage, j'étais si excitée de m'habiller avec la magnifique robe blanche que j'avais sélectionnée après des semaines de visites dans de multiples boutiques. Comme d'habitude, Karen n'était pas d'accord, mais Dan m'a dit que j'étais magnifique et qu'il ne voudrait pas que je porte autre chose que ça.

Je me suis réveillée tôt, ou plutôt je dirais que je n'ai pas dormi de la nuit à cause de l'excitation. Une de mes demoiselles d'honneur m'a conduite à la salle où je me suis fait coiffer et maquiller.

"Tu es magnifique, bébé", m'a dit Dan dès qu'il m'a vue ce jour-là. "Absolument magnifique."

Nous étions debout devant l'autel, à quelques instants de prononcer nos vœux, quand Karen est arrivée. Elle portait une robe noire, mais ce n'était pas le genre de robe que l'on pouvait qualifier d'élégante pour un mariage.

Non, c'était le genre de robe noire que l'on porte à un enterrement.

Alors qu'elle se dirigeait vers l'autel, les gens ont commencé à chuchoter entre eux, disant que c'était méchant de sa part de porter une robe noire au mariage de son fils.

Je sentais mon cœur battre contre ma poitrine, mais une partie de moi savait que cela allait arriver. Je savais que Karen ferait quelque chose pour gâcher mon grand jour.

Mais le pire restait à venir.

Karen s'est arrêtée juste devant l'autel, s'est retournée et a expliqué à tout le monde pourquoi elle avait choisi de porter du noir ce jour-là.

"Eh bien, je pleure simplement la perte de mon fils", a-t-elle annoncé.

Tout le monde s'est tu, abasourdi par ses paroles. Pendant ce temps, Dan se tenait là, confus, essayant d'assimiler ce qui venait de se passer.

J'ai senti mon visage s'enflammer de colère. Comment ose-t-elle ? me suis-je dit. Comment ose-t-elle transformer mon mariage en funérailles ?

Mais je n'allais pas la laisser gâcher ma journée. Pas cette fois-ci.

Peu après son entrée théâtrale, les invités se sont installés à leur place et la cérémonie de mariage a commencé. J'aurais été la femme la plus heureuse à prononcer mes vœux ce jour-là, mais Karen avait tout gâché.

Au lieu de profiter du plus beau moment de ma vie, je n'arrêtais pas de penser à un moyen de me venger d'elle. Pour lui faire comprendre qu'elle ne pouvait plus se moquer de moi.

Après la cérémonie, nous avions prévu de passer un diaporama pendant la réception, mettant en valeur notre parcours en tant que couple. Ce que Karen ne savait pas, c'est que j'avais fait un ajout de dernière minute, spécialement pour elle.

Le diaporama a commencé comme prévu. Il contenait de jolies photos de Dan et moi datant de notre enfance, de nos premiers rendez-vous, des photos de fiançailles, et tout ce qu'il y a d'habituel. Tout le monde adorait ça, applaudissait et riait.

Mais ensuite, l'écran est devenu noir et un message s'est affiché : In Memoriam : La perte d'un fils.

Toute la salle est devenue silencieuse, et l'expression du visage de Karen n'avait pas de prix. Elle fixait l'écran avec des yeux écarquillés, ignorant à quel point son monde allait bientôt basculer.

La diapositive suivante montrait une fausse invitation à des funérailles avec le nom et l'adresse de Karen.

On pouvait y lire : "Nous pleurons la perte de Dan, qui a été « enlevé » à sa mère en ce jour. Qu'elle trouve le réconfort en sachant qu'il n'est pas perdu... juste marié."

Toute la salle a éclaté de rire, tandis que le visage de Karen rougissait d'embarras. Mais je n'avais pas encore fini.

Les diapositives suivantes contenaient des photos et des vidéos de Dan et moi en train de danser, de rire et de profiter de notre temps ensemble. Puis, un dernier message est apparu à l'écran : Ne t'inquiète pas, Karen. Ton fils est bien vivant et heureux.

"C'est hilarant !", a dit l'une de mes demoiselles d'honneur, tandis que toutes les autres personnes présentes dans la salle ne pouvaient s'empêcher de rire. Même le fils bien-aimé de Karen, Dan, s'amusait à regarder le diaporama.

Pendant ce temps, Karen restait assise là, en proie à la colère.

Elle savait qu'elle ne pouvait rien dire parce que cela la ferait passer pour une méchante. Elle s'est infligée cela et il n'y a rien qu'elle puisse faire pour réparer sa réputation.

Ensuite, pour couronner le tout, j'avais organisé un lancer de bouquet spécial. Il ne s'agissait pas du lancer de bouquet habituel de la mariée. Au lieu de cela, c'était un bouquet spécial avec des roses noires que j'avais obtenu pour ma belle-mère bien-aimée.

"J'ai pensé te les offrir puisque tu as été en deuil toute la journée, Karen", ai-je dit en lui tendant le bouquet devant tout le monde. "J'espère qu'elles te plairont."

"Merci", dit-elle en acceptant les fleurs. Elle savait qu'elle n'avait plus d'autre option.

Ce jour-là, c'est la dernière fois que Karen a essayé de m'embêter. À partir de ce jour, ses commentaires passifs-agressifs ont disparu, et elle a cessé de se plaindre que je n'étais pas assez bien pour son fils adoré.

D'ailleurs, je ne l'ai plus jamais vue en robe noire.

J'ai également remarqué à quel point elle était mal à l'aise chaque fois qu'elle voyait des photos ou des vidéos de notre mariage.

Se voir en robe noire tenant un bouquet de fleurs noires lui rappelle à quel point elle s'est sentie humiliée ce jour-là. Et que sa belle-fille est plus douée qu'elle pour les jeux qu'elle aimait.

Et Dan ? Il n'avait aucune idée de la partie que j'avais ajoutée au diaporama, ni du bouquet de fleurs que j'avais commandé à la dernière minute, jusqu'au moment où il les a vus.

Après le mariage, il m'a dit que j'avais fait ce qu'il fallait et s'est excusé pour ce que sa mère avait fait parce qu'il pensait qu'elle avait totalement tort.

J'ai beaucoup de chance d'avoir un partenaire qui me soutient comme lui.

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Cette œuvre est inspirée d'événements et de personnes réels, mais elle a été romancée à des fins créatives. Les noms, les personnages et les détails ont été modifiés afin de protéger la vie privée et d'améliorer le récit. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, ou avec des événements réels est purement fortuite et n'est pas voulue par l'auteur.

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