
Chacun pour soi : Les petits ennuis fiscaux de Grégory Boudou à côté de la fortune de Laeticia
Depuis que la présence de son nom sur le testament de Johnny Hallyday a été dévoilée, le frère de Laeticia a fait l’objet de plusieurs articles dans la presse. Dans l’actualité de cette semaine, on parle de Grégory Boudou à cause de ses problèmes fiscaux.
Comme le révélait le magazine Closer, avant sa mort, le rockeur avait en effet pris la décision de nommer son beau-frère le premier exécuteur testamentaire en cas de pré-décès de la maman de Jade et Joy.
Pourtant, dix jours après le début de la bataille autour de l’héritage de Johnny Hallyday, le nom de Grégory Boudou a été remplacé par celui de Barbara Uzzan, une fiscaliste et amie de la famille.
Hier, on apprenait que le frère de Laeticia Hallyday, visé par une enquête financière portant sur la gestion de l'Amnesia, était placé en garde à vue dans l’Hérault.
D'après une source proche du dossier, qui s'est exprimé auprès de l'AFP, Grégory Boudou, 41 ans, a été entendu au sujet de "détournement de fonds". Après une journée d’audition il est ressorti libre de l'Hôtel de police de Montpellier.
D'après les informations de Midi Libre, sa garde à vue a été levée en début de soirée ce mercredi 4 avril par le procureur de la République de Béziers. La même source affirmait hier que l'enquête n'avait aucun lien avec le conflit qui fait rage depuis le décès de Johnny Hallyday, et portant sur l'héritage du chanteur.
Cependant ce n’est pas la première fois que la boîte de nuit, rachetée en 1984 par le père de famille André Boudou attire l’attention de l’administration fisacle.
En 2004, quand Laeticia Hallyday et Grégory Boudou ont repris l’affaire de leur père, il avaient dû régler 65.000 euros pour le redressement fiscal, car André Boudou n'avait pas fourni de déclaration de TVA.
Plus tard, selon les rapports de Closer, l’administration fiscale a également découvert que la société liée à la discothèque l’Amnesia recevait sans raison d'importantes sommes d'argent, de la part de Mosaïques SARL, la société qui exploitait à l'époque cette boîte de nuit au Cap d'Agde.
Selon BFM, Grégory Boudou a été condamné à verser 3.000 euros à l'administration pour "opposition à un contrôle fiscal". Un jugement confirmé en appel en 2005, puis en cassation en 2007.