Il a fallut entrer chez Laeticia par le garage: le directeur du "Point" raconte
Le directeur du Point raconte les coulisses de son entretien avec Laeticia Hallyday : "Il a fallu entrer par le garage".
Closer nous parle du Point qui a publié ce jeudi 12 avril ne longue interview de Laeticia Hallyday. Etienne Gernelle, le directeur de l'hebdomadaire, s'est confié sur les coulisses de cette interview sur RTL.
Laeticia Hallyday est enfin sortie du silence. En effet, depuis le décès de Johnny survenu le 6 décembre dernier, elle n'avait accordé aucune interview.
Elle a décidé de s'exprimer principalement à cause du procès qui l'oppose actuellement aux deux aînés de Johnny, déclenché par l'ouverture du testament laissé derrière lui par le légendaire rockeur.
C'est au magazine Le Point qu'elle a décidé d'accorder cette interview exclusive et c'est ce jeudi 12 avril qu'elle a été officiellement publiée. Le directeur du magazine hebdomadaire, Etienne Gernelle, en a révélé un peu plus sur le déroulement de l'interview lors d'une intervention sur RTL.
Il a ainsi raconté que cet entretien avait "été difficile à obtenir car [ils n'étaient] pas les seuls à le vouloir". Mais d'après les détails qu'il a révélé, obtenir l'entretien n'était pas la seule chose compliquée dans cette interview.
En effet, le simple fait de rentrer dans la maison de Laeticia s'est avéré être un vériable challenge. "C'était un peu compliqué, il a fallu entrer par le garage parce que il y avait des paparazzis. Elle était souriante, émue, elle a perdu son mari il y a quelques mois donc elle est forcément très touchée. Mais ça s'est passé de manière assez fluide."
Forcément, il lui a été demandé son opinion sur la raison qui a poussé Laeticia à sortir du silence. Il a répondu: "Visiblement elle en avait un peu gros sur le cœur, elle lisait tous ce qui s'expliquait partout, ce que disait David Hallyday et Laura Smet, et visiblement elle était touchée par ça."
Dans cette interview longue de 14 pages, l'ancien mannequin revient sur cette bataille juridique pour l'héritage de son mari et explique : "Je les attends à bras ouverts. On est une famille ! (...) Je serai un jour prête à pardonner. Mais il faut aussi fixer des limites. On me vole mon deuil. On me roue de coups."