
Cet homme a découvert des sacs étranges à l'intérieur des soutiens-gorge de sa petite-amie et il veut maintenant prévenir toutes les femmes
Les femmes sont devenues de véritables expertes dans la découverte et la confection de lingerie qui soit à la mode et les fasse se sentir sexy. Mais il faut faire attention car certains de ses vêtements pourraient mettre leur santé en danger.
L'industrie de la mode fabrique généralement des vêtements qui suivent ses tendances et s'y adaptent très bien. Mais personne ne se demande de quoi ils sont vraiment faits.
D'après les informations rapportées par le site internet Upsocl, Tyrone Escoto a été choqué de découvrir une publication virale sur des soutiens-gorge "cancérigènes".
Selon la publication, ces soutiens-gorge contiennent un sac rempli d'un liquide qui ressemble à du silicone et à l'intérieur il a de petites boules blanches.
Ce jeune homme voulait s'assurer que sa petite amie avait des soutiens-gorge sûrs et a décidé d'en couper un et d'en vérifier le contenu afin de se rassurer. Mais il a découvert avec stupeur que les sous-vêtements de son amante contenaient les petits sacs en plastique qui étaient évoqués dans la publication alarmante.
Très effrayé par cette découverte, il a décidé de tourner une vidéo afin d'avertir les autres femmes de ce véritable danger dont elles ne connaissaient probablement pas l'existence.
D'après un reportage de Thanh Nien News, ces soutiens-gorge sont fabriqués en Chine ont pour objectif de donner plus de volume à la poitrine sans avoir recours à la chirurgie plastique. De plus, les petites boules à l'intérieur du liquide ont une fonction massante.
Cependant, le problème n'est pas dans les balles en plastique mais dans le liquide qui ressemble à du silicone, car il est composé d'une huile minérale dérivée du pétrole.
Cette substance peut contenir des contaminants tels que les hydrocarbures aromatiques polycycliques, tels que l'anthracène, le benzopyrène, le chrysène, le coronène, le tétracène, le phénanthrène, le pyrène, le pentacène, prifeneno et ovalène, qui sont tous des agents cancérigènes.