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Adriana Karembeu, enceinte à 46 ans, se confie sur sa lutte pour devenir maman "J'étais démoralisée"

Iana Legland
11 juil. 2018
22:31

Après plusieurs tentatives infructueuse de tomber enceinte, l'ex mannequin Adriana Karembeu devrait d'ici un mois accoucher de son premier bébé. Elle va enfin pouvoir fonder une famille dont elle rêvait avec son mari Aram Ohanian.

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Fin mars, le magazine Voici nous dévoilait qu’à 46 ans, Adriana Karem­beu attendait son premier enfant. La présentatrice de télé et son mari attendent avec l’impatience l’arrivée de ce bébé pour pouvoir fonder une vraie famille.

Avec son ex-mari le footballeur Christian Karembeu, Adriana avait partagé 14 ans de vie commune mais n'avait pas eu d'enfant. Le compagnon actuel d’Adriana Karembeu, quant à lui, a un fils. La naissance du bebe du couple qui vit entre Paris et Marrakech est prévu pour le mois d’août.

Mais cette grossesse est en effet miraculeuse pour Adriana car sa dernière fausse couche très compliquée remonte en 2016. "J’étais folle de bonheur ! Malheureusement, c’était un œuf clair que j’ai perdu à sept semaines de grossesse",confiait-elle auprès de Paris Match.

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Ce mercredi 11 juillet, celle qui depuis 5 ans présente "Pouvoirs extraordinaires du corps humain" aux côtés de Michel Cymes est de nouveau revenue sur les difficultés rencontrées avant et durant sa grossesse dans une interview accordée au magazine Gala.

"J'étais démoralisée. J'avais du mal à croiser des femmes enceintes ou des poussettes dans la rue", explique-t-elle avant de révéler qu’elle commençait à perdre espoir d’avoir son propre enfant et pensait même à l’adop­tion en dernier recours. "J'apprenais à renoncer. Avec Aram nous en étions à considérer l'adoption."

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En debut d’année Adriana apprenait qu’elle était enceinte : "J'étais à Paris et Aram était à Marrakech. Quand j'ai lu le résultat positif du test, j'ai essayé de rester calme. Je savais que ce n'était que le début. Je devais poursuivre mon traitement hormonal et surveiller mes taux d'hormones avec des prises de sang régulières", confie-t-elle.

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