Brigitte Bardot annonce le décès de son Roudoudou: 'Mes larmes de détresse'
Roudoudou, le chien de Brigitte Bardot vient de rendre l’âme ce mardi 18 septembre. L’actrice lui a rendu hommage comme il se doit sur Twitter.
Le mercredi 19 septembre dernier, c’est une publication très émouvante qu’on peut apercevoir sur le compte Twitter de Brigitte Bardot.
Elle vient de perdre son chien, ou plutôt son Setter anglais, et c’est un déchirement pour l’actrice qui va bientôt souffler ses 84 bougies.
UNE GRANDE PROTECTRICE DES ANIMAUX
Closer nous rapporte aujourd’hui que Brigitte Bardot est une grande protectrice des animaux. Le magazine nous rapporte même que l’actrice a fondé une association prévue à cet effet.
Il est donc naturel que la perte de son chien lui touche énormément. D’ailleurs, Roudoudou serait âgé de 18 ans et partage la vie de l’actrice depuis 2000.
«MES LARMES DE DÉTRESSE ACCOMPAGNENT MON MERVEILLEUX ROUDOUDOU»
«Ce 18 septembre 2018, mon magnifique Setter anglais Roudoudou s’est éteint doucement à l’âge de 18 ans. Il était entré dans ma vie et dans mon cœur en septembre 2000 pour mes 66 ans.
source: youtube/redeclubgospel
Il a été majestueux, magnifique, courageux, sportif, résistant à l'ablation de la rate, continuant à tenter de faire marcher son corps avec la lucidité de sa tête jusqu'au bout de son chemin.
source: youtube/redeclubgospel
Il a quitté sa vie à quelques jours de mon 84e anniversaire. Mes larmes de détresse accompagnent mon merveilleux Roudoudou là où il m'attend.»
Voilà ce qu’on pouvait lire sur le compte Twitter de Brigitte Bardot en hommage à son Roudoudou.
BRIGITTE BARDOT CONSIDÈRE SON FILS COMME «UN TUMEUR»
Si Brigitte Bardot s’attache autant aux animaux et notamment à son Roudoudou, elle l’est moins avec son fils. Cette actrice, qui a été la plus jolie femme du monde autrefois, ne voulait tout simplement pas d’un enfant.
Et pour cause: elle
«ne voulait pas donner naissance à un être humain supplémentaire » et elle «estime qu’il y en a trop sur Terre» qui lui «font peur»
. D’ailleurs, elle en parle ouvertement dans son livre intitulé «Initiales BB».
«C'était comme une tumeur qui s'était nourrie de moi, que j'avais portée dans ma chair tuméfiée, n'attendant que le moment béni où l'on m'en débarrasserait enfin. Le cauchemar arrivé à son paroxysme, il fallait que j'assume à vie l'objet de mon malheur»:
voilà comment elle considérait son fils Nicolas.