Laeticia Hallyday: Qui est David, l'homme avant Johnny, avec qui «rien ne s'est passé»
Avant la grande période Johnny Hallyday, Laeticia voyait un certain David, d'une façon, semble t-il, platonique.
Elle avait 20 ans quand elle a rencontré le rockeur qui est devenu l'homme de sa vie. Mais à cette époque, Laeticia Hallyday fréquentait un certain David, que le grand public ne connait pas.
Cependant, leur relation n'aurait jamais été plus que platonique. C'est ce que disent les journalistes Laurence Pieau et François Vignolle dans leur biographie de Laeticia : La vraie histoire, aux éditions plon.
Afin d'écrire leur livre, ils ont pu rencontrer le chanteur Jean Luc Lahaye, un proche de la famille. Et selon lui, les rumeurs selon lesquelles Laeticia et ce David étaient en couple sont fausses.
Ce serait Laeticia Hallyday elle même qui le lui aurait confié, en lui disant "On est allés au restaurant, on est allés au cinéma, il ne s'est rien passé ".
Dès qu'elle rencontrera Johnny, Laeticia mettra fin à son amitié floue avec David, et rejoindra son futur mari en France. Après quelques années passées dans l'ombre, le fameux David finira par avouer son homosexualité.
LAETICIA MALHEUREUSE AVEC JOHNNY ?
Conscient que la maladie prenait une longueur d'avance, Johnny Hallyday était en colère et parfois cruel envers son épouse Laeticia Hallyday. Elle partait même pleurer en cachette.
Laeticia a fait de nombreuses révélations dans une interview où elle parle des dernières semaines de Johnny Hallyday. Malgré le traitement intensif, son cancer s'était répandu extrêmement rapidement. À la fin, il avait besoin d'aide que ça soit pour se déplacer ou bien pour manger. Il sentait que la maladie était en train de gagner la guerre et cela le rendait très irritable, parfois même cruel envers ceux qu'il aimait le plus, comme par exemple Laeticia Hallyday.
"Il était juste épuisé et ça le renvoyait à l'idée qu'il allait mourir, a ainsi confié l'épouse du rockeur. Il m'engueulait (…) Il criait : 'Tu vas me sortir de là, j'en ai marre, je veux rentrer chez moi, retourner à Los Angeles, avec mes filles. Tu leur dis. Je ne veux plus qu'on m'emmerde.' (…) Parfois, c'était encore plus violent que ça… C'était sa façon de parler, cela venait de son côté rebelle, de son côté animal."
"Ses coups de gueule pouvaient d'ailleurs me rendre très malheureuse, parfois. Je partais pleurer en cachette. Mais je savais que ce n'était pas contre moi. De temps en temps, je lui disais qu'il allait trop loin. Il le comprenait et s'excusait."