Yann Moix critique les déclarations de Laeticia Hallyday sur le testament de Johnny Hallyday
Yann Moix dénonce une faille dans la défense de Laeticia Halliday, dans le conflit qui existe entre elle et ses aînés.
Ce 24 novembre, Yann Moix était l’invité de l’émission Les Terriens du Samedi. Durant sa prise de parole, le chroniqueur n’a pas hésité à démontrer son désarroi face à Laeticia Halliday.
Il dénonce plusieurs incohérences dans les déclarations de la veuve sur le testament du Taulier.
En effet, Yann Moix dément les dires de Laeticia, concernant les réelles raisons pour lesquelles Johnny l’aurait favorisée dans son testament.
Rappelons que selon Laeticia, Johnny aurait été traumatisé suite à l’accident du Boeing du vol 370 de la Malaysia Airlines. Or, le rockeur avait modifié son testament 5 jours avant l’accident. Laeticia Halliday aurait fait une fausse déclaration.
Alors que le public se met à rire, Yann Moix n’en démord pas et continue son humiliation à l’encontre de la veuve.
«Le problème, c'est qu'il est allé chez le notaire cinq jours avant l'accident. On le sait.»
Yann Moix a choisi son camp.
Dans le conflit dans le clan Halliday autour du testament du rockeur, Yann Moix semble avoir choisi son camp. Comme beaucoup de fans de Johnny, le chroniqueur semble avoir une dent contre la veuve et n’hésite pas à l’humilier en public.
Durant son intervention sur le plateau des Terriens du Samedi, il a cité des exemples insolites qui illustrent bien la jeune femme, comme le blocage des gilets jaunes qui serait la cause de la hausse du prix du carburant. Le chronique indique que Laeticia aurait inventé le lien de causalité à l’envers.
Ce n’est pas la première fois que Laeticia Halliday est critiquée et humiliée sur un plateau de télévision.
«Elle aurait dû être physicienne.»
Cette histoire nous rappelle en effet l’intervention de Magalie, une fan de Johnny Halliday, en colère contre la veuve sur le plateau de Touche pas à mon poste sur C8.
Durant l’émission, la jeune femme n’a pas hésité à insulter Laeticia, malgré le rappel à l’ordre des chroniqueurs.