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Pourquoi l'audition des droits moraux de l'héritage de Johnny Hallyday était proche du naufrage

Un nouveau rebondissement sur l’affaire de l’héritage de Johnny Hallyday. L’audience sur les droits moraux du Taulier qui s’est déroulée ce mardi 27 novembre ne s’est pas exactement passée comme prévu.

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L’affaire de l’héritage de Johnny Hallyday fait depuis ce matin la une de tous les médias. L’audience sur le droit à l'image et l'œuvre musicale du Taulier ne s’est pas passée exactement comme prévu.

Devant le Tribunal de Grande Instance de Paris s’est tenu aujourd’hui l’audience sur l’affaire des droits moraux du Taulier.

Cette affaire met en opposition les aînés du Taulier et sa dernière épouse Laeticia Hallyday.

source: youtube / BFMTV

source: youtube / BFMTV

L’enjeu de ce procès pour David Hallyday est de demander «simplement le droit moral», comme il l’a expliqué sur le plateau de Sept à Huit sur TF1 le 18 novembre dernier.

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«Qu’on (les 4 enfants du Taulier, NDLR) puisse avoir le droit de gérer son image, d’avoir en tout cas un droit de regard sur son image, et personnellement sur ce qui me liait avec lui, c’est-à-dire la musique et rien du reste»

avait-il poursuivi.

Cependant, tout ne s’est pas exactement passé comme prévu. Contre toute attente, les avocats de la Bank of America, responsables du Trust sur l’affaire de l’héritage de Johnny, ont tout simplement abandonné.

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En effet, la Bank of America a jeté l’éponge. C’est en tout cas ce que nous rapporte Télé Loisir qui suit également cette affaire. Face à cette démission, Maître Piccio, l’avocat de David Hallyday demande elle, à ce que le débat ait lieu, conclu le magazine.

LES BIENS DU TAULIER QUE LA BANK OF AMERICA A DEMANDÉS

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Le 12 juillet dernier, la Bank of America était encore très engagée dans cette affaire de l’héritage de Johnny Hallyday. Elle était même tellement engagée que ce jour-là, la banque avait lancé une action en justice en Californie dans le but de faire entrer des biens du Taulier dans le Trust.

La banque voulait en fait les royalties versées par les trois maisons de disque françaises de Johnny, Universal, Sony et Warner.

Elle voulait également 50% de Born Rocker, une société américaine qui appartenait à Johnny, 4 Harley Davidson, la Lamborghini, la Bentley et la Cobra de Johnny.

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