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Marseille: Le père de deux enfants pleure la mort subite de sa femme 2 jours après l'accouchement

Thierry Kieng avait fait part des douleurs dont souffrait sa femme. On parle de douleurs au ventre et de saignements pendant deux jours suivant son accouchement. Elle décèdera le 4 décembre à l’hôpital suite à une embolie amniotique qui est une pathologie rare et mortelle.

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C’est à la clinique de Vitrolles que cela s’est passé. En effet, une mort bien étrange s’était produite le 4 décembre dernier.

Émilie, femme de Thierry Kieng, décède deux jours après son accouchement suite à des douleurs et des saignements. Le parquet a été saisi.

Le ciel est tombé sur la tête de Thierry Kieng depuis le 2 décembre dernier.

En effet, à cette date, Émilie, 34 ans était entrée à la clinique de Vitrolles pour la naissance de leur second enfant.

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Certes, la petite Briseïs est bien née à 22h07, seulement, un drame est survenu par la suite. Thierry Kieng avait confié

"Ma femme était plutôt dure au mal. C'est quelqu'un qui faisait du sport de haut niveau. Elle ne se plaignait jamais"

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"L'infirmière m'a dit que c'était normal, que c'était dû à l'allaitement"

"Je voyais ma femme prendre une couleur grise. Elle avait les yeux enfoncés. Elle était épuisée. J'ai demandé à maintes reprises si on pouvait la prendre à charge, lui faire des examens complémentaires. On a eu de cesse de me répéter que tout était normal.

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Le gynécologue riait derrière avec les infirmières et à moi, on me disait: ne vous inquiétez pas, les constantes sont bonnes!"

Pourtant, Émilie succombera à ses douleurs le 4 décembre à 9h15.

UN TRANSFERT REQUIS

Suite à cette situation, une plainte a été déposée et une enquête a été ouverte. Frédéric Rieg, le gestionnaire de la clinique Vitrolles avait souligné le fait que ce genre de cas était très rare.

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"Un cas sur 60 000 naissances en France" rare, mais inéluctable d’après lui.

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Si le gynécologue a été qualifié de médecin chevronné, le directeur régional d’Alimaviva et gestionnaire de la clinique a ajouté

"Cela arrive quatre fois par an en France et c'est tombé chez nous" "Nous sommes évidemment favorables à ce qu'il y ait ces expertises et ces enquêtes",

insiste-t-il.

"Mais qu'on ne nous juge pas coupables trop vite"

Ce drame nous rappelle également cette histoire où une mère avait donné naissance à des jumeaux avant de succomber à un cancer du sein le lendemain.

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