Samuel Paty : ce que l’on sait sur les aveux de la collégienne qui a “admis avoir menti”
Le professeur du collège du Bois-d’Aulne Samuel Paty, a été victime d’une mort violente, le 16 octobre 2020. Un décès survenu à la suite de fausse accusation.
Selon des propos rapportés par le quotidien Le Parisien paru en kiosque le 7 mars 2021, l’assassinat de Samuel Paty le 16 octobre 2020, perpétré par un jeune djihadiste, était basé sur des faits erronés. En effet, la source de la polémique est revenue sur ses propos.
UN MENSONGE BASÉ SUR L’ENVIE DE PLAIRE
Cinq mois après sa mort, on s’est retrouvé dans un revirement de situation. En effet, tout était parti du témoignage d’une de ses élèves, une certaine Z, adolescente de 13 ans et élève de la classe de 4e dont Samuel Paty donnait des cours d’histoire-géographie.
Actuellement, on sait grâce au Parisien, que suite à des absences injustifiées, l’adolescente aurait créé une histoire d’islamophobie auprès de son père qu’elle admire énormément, pour incriminer son professeur.
Selon la gamine, le professeur aurait fait une exposition des photos nudiste du prophète Mahomet en cours et expulsé des élèves musulmans hors de la salle. Ce à quoi elle se serait insurgée, résultat, elle aurait écopé d’une sanction.
Placée mis en examen pour propos diffamatoires, la fillette va finir après moult auditions, par avouer avoir menti. Justifiant au passage qu’elle avait agi ainsi à la demande de certains de ses camarades.
Si son avocat Me Mbeko Tabula défend sa cliente en clamant qu’il est injuste de lui faire porter le chapeau de ce crime crapuleux, pour l’avocat de défunt professeur, il serait trop facile d’accorder du crédit à des aveux truffés de justificatifs fallacieux.
MORT DE SAMUEL PATY
En effet, le 6 octobre 2020, Samuel Paty, enseignant d’histoire-géographie au collège du Bois-d’Aulne, a fait un exposé dans sa classe de 4e, portant sur la liberté d’expression. En guise d’illustration, il aurait exposé des photos de caricature du prophète Mahomet.
À la suite de ce cours, l’enseignant a été taxé d’islamophobe par un certain Brahima Chnina dont la fille Z. Sous couvert d’anonymat était l’élève, sur les réseaux sociaux, soulevant une vague de consternation à travers le monde.
Malheureusement pour Samuel Paty, il ne vivra pas assez longtemps, pour pouvoir se justifier, puisque 10 jours plus tard, il sera décapité à la sortie de son travail par un certain Abdoullakh Anzorov, un jeune russe tchétchène de 18 ans, nouvellement converti à l’Islam.
AFFAIRE SAMUEL PATY : LES DERNIÈRES PAROLES DE SON MEURTRIER
Le professeur de lycée Samuel Paty a été froidement assassiné par décapitation, à cause d’un mensonge d’une de ses élèves. Le crime odieux, a été commis par un jeune russe tchétchène, islamisé. Avant sa mort, il a envoyé un message glaçant aux forces de l’ordre venu à son encontre.