Valérie Damidot : de quelle maladie souffre-t-elle ?
Tandis que certains l'adorent parce qu’elle est ce genre de femme qui assure sa rondeur, d’autres la critiquent pour son physique. Découvrez cette maladie dont souffre l’animatrice des “Plus belles vacances”.
Valérie Damidot se démarque par sa simplicité, son humeur joyeuse et ses rondeurs. Mais derrière ce physique souvent critiqué se cache un quotidien difficile, un combat contre un trouble appelé hypothyroïdie.
UNE MALADIE QUI TOUCHE LES FEMMES
Le corps humain contient une glande appelée thyroïde dont le rôle est de sécréter les hormones thyroïdiennes. Et le trouble d'hypothyroïdie est causé par le dysfonctionnement de cette glande.
Une personne souffre d'hypothermie lorsque la production d’hormones de la glande thyroïde est faible, insuffisante ou même absente. Valérie Damidot fait partie des 5 % de femmes concernées par ce problème.
Cette maladie touche en général les femmes de plus de 50 ans. On classe trois types d'hypothyroïdie.
L'hypothyroïdie fruste et l'hypothyroïdie subclinique, qui sont les plus fréquentes, sont sans symptôme et ne nécessitent pas de traitements. Ce qui n’est pas le cas de l’hypothyroïdie génitale, qui est rare, mais qui entraîne de graves complications. Elle peut entraîner du retard mental ou de croissance.
“Quand ça ne marche pas, je gonfle, je m’alourdis, je fatigue"
Les principaux symptômes de l’hypothyroïdie sont la prise de poids, la fatigue ou encore les vertiges. Ce trouble hormonal peut également provoquer une dépression, une perte de cheveux, des ballonnements et bien d’autres complications.
Malheureusement, l’hypothyroïdie ne se guérit pas, on peut seulement la contrôler avec une prise quotidienne de médicaments. A cet effet, elle nécessite un solide suivi médical.
Valérie Damidot a déjà évoqué sa maladie dans les colonnes de Gala en 2016. En effet, même si l’animatrice est admirée par son comportement sans complexe par rapport à son poids, elle reste critiquée par certains individus.
Alors, lors de son interview, elle a décidé d’évoquer ce trouble hormonal dont elle souffre. Quand ses traitements ne fonctionnent pas, cela booste sa prise de poids.
“Mon problème à moi, ce n’était pas de me goinfrer comme un goret, mais bien ma maladie. J’ai une maladie qui s’appelle l’hypothyroïdie”,
UNE PERTE DE POIDS POUR “DALS”
Lors de sa participation au concours “Danse avec les stars”, Valérie Damidot a été admirée par son courage et ses nombreuses prestations bien réussie. Elle donnait l’image d’une femme bien dans sa peau et loin des complexes.
Pourtant, l’animatrice de l’émission “Les plus belles vacances” avait peur de participer au télé-crochet, la crainte de ne pas être à la hauteur.
Ainsi, elle a décidé de se préparer en contactant un coach de musculation. Elle s'entraînait beaucoup, avec les cours de sport, les séances cardio, le gainage. Une anticipation de deux mois d'entraînement qu’elle n’a surtout pas regrettée. Elle avait en effet perdu 9 kilos.
“Perdre 9 kilos, ça ne veut rien dire. Il y a quatre ans, j’en avais perdu 26. Ca dépend surtout de l’effet de mes médicaments sur ma thyroïde”,
UN PASSE DE FEMME BATTURE
En plus de sa maladie, la décoratrice du PAF était également victime de violences conjugales. En 2016, à la sortie de son ouvrage “Le cœur sur la main, le doigt sur la gâchette”, les lecteurs ont découvert que Valérie Damidot était battue par son compagnon, un homme qu’elle rencontré à l’âge de 21 ans.
“Le Connard était beau, sympa, drôle, brillant. Il alternait les claques et les caresses. Ce qui m'a sauvée, c'est qu'il m'a déboitée la gueule”,
écrit-elle dans le livre.
Entre eux, c’était le coup de foudre. Follement amoureuse, l’animatrice a accepté d’aller jusqu’au mariage. Puis vient la descente aux enfers, cet homme adorable qu’elle définit comme “un pervers narcissique” est devenu difficile à vivre. Mais comme elle l’avait dit, elle a encore pu partir à temps.