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Faits peu connus sur Anne Consigny qui a 58 ans : ses idoles, sa plus grande honte, sa plus grande peur
À part sa carrière dans le théâtre et dans le cinéma, quelles sont les autres informations qu’on connaît à propos d’Anne Consigny ? Découvrez les confidences de la comédienne.
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En plus d'être un visage familier du petit écran, il s'avère qu’Anne Consigny est également une réalisatrice hors pair.
D’ailleurs, elle l’avait prouvé à maintes reprises. Toutefois, côté vie privée, le public ne connaît pas grand-chose à son sujet. De ce fait, quelques informations sur la vie de la talentueuse actrice sont à découvrir ici.
'actrice française Anne Consigny assiste au salon de cadeaux "Espace Glamour Chic" à l'hôtel George V le 23 février 2006 à Paris, France. | Photo : Getty Images
SA BIOGRAPHIE
Née à Alençon le 25 mai 1963, l'interprète de Françoise Rubion dans “Je ne suis pas là pour être aimé” est la fille du haut fonctionnaire français Pierre Consigny. Depuis son plus jeune âge, elle était déjà passionnée par la comédie. Ce qui fait qu’à 9 ans, elle avait commencé à jouer dans des pièces de théâtre.
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Elle s’est tournée ensuite vers le cinéma à partir de ses 18 ans en interprétant un rôle dans la reproduction cinématographique de “Soulier de Satin”, réalisée par Paul Claudel en 1984.
Quelques années après, elle multiplie ses apparitions sur les écrans en jouant dans de nouveaux films comme “36 Quai des Orfèvres", ou encore “Le Bison” réalisée par Isabelle Nanty. Depuis, elle se perfectionne un peu plus dans des seconds rôles en interprétant par exemple Françoise Graff dans le film d’Yvan Attal, “Rapt”.
Anne Consigny assiste à la Photocall "Elle" lors de la 69e assemblée annuelle du Festival du Film de Cannes au Palais des Festivals le 21 mai 2016 à Cannes, France. | Photo : Getty Images
Son talent se bonifie au fil des années. D’ailleurs, elle a été nominée aux Césars de la meilleure actrice pour sa prestation dans le long métrage “Je ne suis pas là pour être aimé'', et dont elle était l’actrice principale.
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Comédienne, mais également réalisatrice, Anne Consigny avait signé son premier documentaire qui s’intitule “Je prends ta peine”, sorti en 2020, et qui raconte l’histoire d’une rencontre entre une mère et sa fille.
En plus d’une carrière bien remplie, la réalisatrice est la maman de deux enfants dont Louis et Vladimir qui sont nés de sa relation avec Benoît Jacquot. Après s'être séparée de ce dernier, elle avait reconstruit sa vie avec le critique d'art Eric Chassey.
QUELQUES CONFESSIONS
Interrogée par les journalistes du magazine “Paris Match”, Anne Consigny s’est laissé aller à quelques confidences. Parmi ceux-là, elle avait révélé par exemple qu’elle avait un petit penchant pour le champagne Roederer.
Anne Consigny assiste à un Photocall "At Eternity's Gate" au Musée du Louvre le 02 avril 2019 à Paris, France. | Photo : Getty Images
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Dans sa vie, sa plus grande honte remontait à son enfance lorsqu'elle avait fait pipi sur scène lors d’une pièce de théâtre. Et que sa plus grande peur était de perdre ses proches.
En ce qui concerne ses idoles d’enfance, elle avait confié qu'elle était fan d’Edith Piaf et de Jacques Brel.
Comme la plupart des personnes, l’actrice-réalisatrice adore également regarder des story Instagram avant de se coucher.
UNE RENCONTRE QUI A CHAMBOULÉ SA VIE
En 2014, dans le but d'économiser quelques centaines d'euros, Anne Consigny avait décidé de louer une chambre de son appartement sur Airbnb. Sans doute, une décision qui allait bouleverser sa vie étant donné qu’elle avait ouvert sa porte à Suzanne, une Arménienne, et sa fille qui était atteinte du cancer.
Anne Consigny assiste au Prix Lumière 2018 au 10e Festival du Film Lumière le 19 octobre 2018 à Lyon, France. | Photo : Getty Images
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En effet, Suzanne a emmené sa fille en France pour que cette dernière se fasse soigner. Toutefois, l’accès de la fille de Suzanne à son traitement avait pris du retard à cause de quelques problèmes de papiers. Ce qui a finalement accéléré le décès de la jeune fille.
Sur des images que la réalisatrice avait enregistrées, le médecin avait dit que si elle avait été une Française, les choses se seraient passées autrement.
Ce qui a tellement choqué Anne Consigny qui estimait que la fille ne serait pas décédée aussi vite si elle avait été de nationalité française.
LES SPECTATEURS RÊVENT D’UNE SUITE DE LA SÉRIE
À l’instar d’Anne Consigny, Audrey Fleurot fait actuellement partie des actrices qui rencontrent du succès dans leurs carrières cinématographiques. Surtout, en interprétant le rôle principal dans “HPI”, une série très appréciée des téléspectateurs. D’ailleurs, après la diffusion du dernier épisode de la première saison, les fans s'attendent à une deuxième.
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