Un cycliste immigré clandestin a percuté un retraité de 72 ans travaillant dans un hôpital avant de le laisser mourir
Un cycliste immigré illégalement a percuté un retraité de 72 ans. Se retrouvant devant le fait accompli, il a pris la fuite. Résultat, le septuagénaire a succombé à ses blessures.
Personne n’est vraiment à l'abri d’un accident de la route. L’incident qui s'est produit à Londres en est d'ailleurs la parfaite illustration. Fauché par un immigré clandestin, un homme de 72 ans a perdu la vie. Cette affaire suscite aussi bien l’indignation des familles que des autorités.
Le ministère de l’Intérieur entend bien prendre des mesures contre les immigrés clandestins délinquants.
Un cycliste | Photo : Getty Images
QUE S’EST-IL RÉELLEMENT PASSÉ ?
Ermir Loka était à vélo lorsqu’il a fauché Peter McCombie, un vétéran de 72 ans, qui travaillait au Royal London Hospital de Whitechapel. Le feu était encore rouge quand le jeune homme de 23 ans l’a percuté.
Au lieu de lui venir en aide, le cycliste lui a reproché l’accident en déclarant :
"Regarde ce que tu as fait !"
Toujours est-il que le vieil homme s’est retrouvé avec un crâne fracturé et une lésion cérébrale lorsque sa tête a heurté le trottoir. Il s’est également fracturé la mâchoire et cassé une côte. Sans compter les ecchymoses sur ses jambes. S’ensuivit alors huit jours d’agonie à l'hôpital, avant qu’il ne succombe à ses blessures.
Un policier | Photo : Pixabay
Si le cycliste albanais a pris la fuite, les vidéosurveillances ont laissé une trace de son délit. Par la suite, les autorités chargées de l'enquête ont d'ailleurs découvert qu’il pédalait à 15 mph.
Lire aussi : Isolée durant 9 longs mois à cause de la pandémie, une femme se fait renverser par un camion, dès sa première sortie
DEUX ANS DE PRISON
Après avoir visionné les vidéosurveillances, la police l’a traqué sans succès. Mais contre toute attente, Ermir Loka s’est rendu de lui-même aux autorités. Et ce, un mois après son délit.
Suite à cela, les enquêteurs se sont rapidement aperçus que le cycliste avait pris la fuite, car il craignait d’être expulsé. Étant donné qu’il est entré illégalement au Royaume-Uni.
Voiture de police. | Photo : Pixabay
Pour se défendre, il a expliqué avoir commis ce délit, car il rentrait exténué après avoir cumulé de longues heures de travail sur un chantier de construction, sans compter qu’il travaillait également dans un restaurant turc. À en croire ses propos, il ne cumulait que trois heures de sommeil par jour.
Quant au fait d’avoir grillé un feu rouge, il nie tout en bloc. Il a même fourni une explication par rapport au fait de ne pas être venu en aide à sa victime. Le jeune albanais affirme avoir agi de la sorte, uniquement parce qu’il était en état de choc.
Malgré ses nombreuses justifications, il a écopé de deux ans de prison, non pas pour homicide involontaire, mais pour avoir occasionné des lésions corporelles par conduite incontrôlée.
MENACE D’EXPULSION
Dans l’attente de son procès, cet immigré clandestin avait été remis en liberté, après un an derrière les barreaux.
En accord avec la loi britannique, les prisonniers peuvent dans certains cas être libérés, après avoir purgé la moitié de leur peine.
Il va de soi que le voir libre, indigne au plus haut point, la famille de la victime. Comme en témoignent leurs propos :
"La colère que nous ressentons envers lui est au-delà des mots. Nous ne pouvons même pas supporter de dire son nom.”
De leur côté, le ministère de l'Intérieur ne compte pas non plus rester les bras croisés face à un délit impliquant un immigré clandestin. À en croire Priti Patel, la sanction qui s’impose est l’expulsion.
“Tout ressortissant étranger reconnu coupable d'un crime est concerné par l'expulsion, depuis janvier 2019, nous avons renvoyé 7 495 délinquants étrangers”,
a expliqué un de leur porte-parole.
UN TRAGIQUE ACCIDENT
Il est regrettable que les accidents de la circulation connaissent pour la plupart des fins tragiques. Au cours d’un accident survenu à Aulnay-sous-Bois, une mère et son fils ont perdu la vie. Découvrez-en tous les détails.
Abonnez-vous à AmoMama sur Google News !