"Ne me laisse pas" : son avertissement suite au décès de sa fille d’un choc toxique
Une jeune femme du New Jersey a connu un triste sors. En effet, la fille de Dawn Massabni, Maddy Massabni a péri des suites d’une maladie extrêmement rare, le syndrome de choc toxique.
Le pire, c’est que cela s’est passé la veille de son anniversaire. La perte de leur fille a poussé sa famille à se mobiliser pour sensibiliser les autres parents, pour que ce drame “évitable” ne se répète plus.
UN ANNIVERSAIRE QUI A MAL TOURNÉ
Maddy Massabni, une jeune femme de 19 ans qui était sur le point de célébrer son anniversaire en compagnie de sa mère Dawn Massabni. Sauf que la veille de la célébration, elle s'est sentie un peu fébrile. Sa mère l’a donc rassurée en lui promettant qu’elles iraient voir un médecin le lendemain matin.
Le matin venu, la fille de Dawn Massabni s’est sentie au plus mal. Et cela, au point de ne plus reconnaître sa propre mère.
“J'ai appelé à l'aide. Je l'ai fait asseoir. … Elle avait une crise. J'étais très inquiet”,
confie sa mère.
Dawn Massabni avait aussitôt appelé les secours. Lorsqu’ils sont arrivés sur les lieux, la jeune femme commençait déjà à fermer lentement ses yeux au grand désespoir de sa mère.
"Je ne pouvais vraiment pas y croire, comment cela a pu arriver si rapidement",
confie la mère endeuillée.
UN CHOC POUR LA FAMILLE
Elle a perdu la vie dans les bras de sa mère. En effet Maddy n’était plus consciente lorsqu’elle était dans l’ambulance. Elle n’a jamais pu être réanimée. Sa famille a fini par se résigner à éteindre sa ventilation.
Trois jours plus tard, la jeune femme rendit son dernier souffle. Le syndrome de choc toxique était foudroyant. Les choses se sont passées tellement vite pour la petite Maddy.
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LE SYNDROME DE CHOC TOXIQUE
Le syndrome de choc toxique est une complication qui peut être fatale. Elle est due à des bactéries qui affectent de manière générale les femmes qui ont l’habitude de porter des tampons.
En effet, certaines bactéries peuvent libérer des toxines dans l’appareil circulatoire d’une personne et produire un ainsi entraîner un état de choc. Lorsque le phénomène n’est pas traité rapidement, cela peut provoquer un l’arrêt des organes.
Les femmes âgées de 15 à 25 ans utilisant des éponges menstruelles ou des capes cervicales risquent fort d 'être atteint du syndrome de choc toxique. Celles qui viennent d’accoucher sont aussi susceptibles de contracter cette maladie rare.
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