Amandine Pellissard dévoile les allocations qu’elle perçoit et ses dépenses
Mère au foyer, Amandine Pellissard est régulièrement accusée de profiter des allocations familiales. Lassée des critiques, elle répond de manière très cash pour faire taire les mauvaises langues.
La vedette de "Familles nombreuses : la vie en XXL" essuie régulièrement les critiques. La jeune maman s'est prise d'une colère noire contre ses détracteurs dans les colonnes de Télé-Loisirs.
SA RÉPONSE CASH
Participer à une émission de téléréalité, c’est prendre le risque d’être jugé et critiqué. Tel est le cas d’Amandine Pellissard. Dès sa première apparition à l'écran, Amandine Pellissard est accusée de profiter des revenus versés par l’État. En colère, la jolie brune de 33 ans sort ses griffes.
"Se dévouer à sa famille, c’est tout à fait noble et respectable... Ces réflexions de m*rde, ça vient avant tout de gens qui n’en seraient pas capables",
Avec huit bouches à nourrir, elle et son mari ont tous les deux décidé de devenir parents au foyer. Mais cela n’a pas toujours été le cas.
Amandine Pellissard, elle a quitté son emploi lors de sa sixième grossesse pour consacrer son temps à sa grande famille.
ELLE NE GAGNE PAS AUTANT
La mère de Charles s'est expliquée sur son train de vie pour faire taire les curieux. Amandine Pellissard a déclaré que les allocations familiales ne rapportent pas autant contrairement aux idées reçues.
“Les gens pensent que tu fais des enfants parce que les allocations familiales te rapportent des milles et des cents, mais c’est tellement loin de la réalité…”,
Si l'argent versé par la CAF est une aide précieuse dont elle ne se privera pas, cela n'a rien d'une fortune. Celle qui a tout récemment fait une fausse couche doit même déclarer chaque sous dépensés.
CE QU’ELLE PENSE DES ATTAQUES
Si l'épouse d’Alexandre est très appréciée par beaucoup de monde, elle est aussi la cible de nombreuses critiques comme tous les autres participants de l'émission "Familles nombreuses". Cependant, la mère de famille n’a aucunement envie de plaire à tout le monde. Surtout à "ces pervers virtuels".
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