Un riche homme conduisant un SUV bloque une ambulance dans la circulation sans savoir que son fils se trouve à l'intérieur - Histoire du jour

À la suite d'un événement traumatisant survenu dans son enfance, Taylor s'est mis à se méfier des médecins au point de ne pas bouger lorsqu'une ambulance essayait de se frayer un chemin dans un embouteillage. Mais il a vite découvert qu'il aurait pu tout perdre à cause de son entêtement.

"Nous devons engager une nounou, chéri. Je ne peux pas m'occuper de trois enfants, de mon travail et de la maison en même temps", a dit Polly, la femme de Taylor, lorsqu'ils ont fini de dîner et que les enfants sont retournés dans leur chambre.

"Une nounou ? Elles sont tellement chères et ça ne vaut pas la peine", a répondu Taylor en secouant la tête. Il s’est levé de la table et s'est installé sur le canapé du salon.

"S'il te plaît, Taylor. J'ai des réunions l'après-midi, et même s'ils sont un peu plus âgés maintenant, les enfants ont toujours besoin d'attention. Je ne peux plus le faire seule", a supplié Polly.

"Non, vous mentez juste pour sortir de cet embouteillage. Mais même si vous ne mentez pas, l'emmener chez le médecin ne servira à rien. Je ne bouge pas", a dit Taylor sans hésiter.

Taylor a grogné. L'idée ne lui plaisait pas du tout. Il ne croyait pas non plus que sa femme ne pouvait pas tout gérer. Son travail n'est même pas un vrai travail, pensait-il, mais il ne le dirait jamais à voix haute.

"Non, c'est trop cher", a-t-il encore refusé.

"Nous avons beaucoup d'argent", a insisté Polly avec désespoir.

"Ce n'est pas parce que nous avons de l'argent que nous devons le dépenser pour des choses inutiles. Ma mère m'a élevé seule aussi longtemps qu'elle le pouvait, puis je me suis débrouillé tout seul parce que mon père s'en fichait. Et regardez-moi ! Je suis devenu millionnaire. Ils n'ont pas besoin d'une nounou. Dites-leur simplement de bien se tenir après l'école", a dit Taylor, le ton inflexible.

Polly a soupiré et l’a laissé tranquille. Leurs enfants avaient entre neuf et cinq ans, ils pouvaient donc se débrouiller seuls pendant que leur mère travaillait. C'est du moins ce que pensait Taylor. Polly était écrivaine et travaillait à domicile. Ce n'était pas aussi compliqué que d'aller au bureau, de faire de la paperasse, de rencontrer des clients, d'organiser des réunions et tout ce qu'il faisait.

Il s’est moqué de l'idée d’engager une nounou. Les enfants ont besoin d'être élevés uniquement par leurs parents. C'est comme ça que j'ai réussi dans la vie, s’est-il encore dit, et il n'a pas eu un seul regret d'avoir refusé la demande de sa femme.

Quelques jours plus tard, Polly s’est évanouie au milieu du salon et son fils aîné, Mark, a appelé Taylor au bureau. Le garçon lui a demandé s'il devait appeler le 911.

"Non ! Absolument pas", a répondu Taylor. "Appelez Mara. Son numéro est à côté du téléphone de la maison. Je serai bientôt là", a ajouté Taylor avant de se précipiter à la maison.

Mara était leur voisine, une gentille infirmière qui travaillait de nuit. Il ne lui faisait guère confiance, mais elle valait mieux que n'importe quel médecin. Le temps que Taylor rentre à la maison, Polly était réveillée, et Mara était en train de l'ausculter. Les enfants entouraient leur mère, inquiets.

"Alors, comment va-t-elle ?", a demandé Taylor.

"Parlons dans la cuisine", a dit Mara d'un ton vif, en l'emmenant jusqu’à la cuisine. "Je pense que Polly a besoin de voir un médecin. S'évanouir n'est pas normal pour une jeune femme."

"Nous sommes loin d'être jeunes. Elle a 35 ans et j'en ai 38." Taylor a secoué la tête.

"Elle est jeune, Taylor. Elle pourrait avoir une anémie. Elle a besoin d'une analyse de sang et d'un bilan de santé", a insisté Mara.

"Non, non. Non. Absolument pas", a-t-il refusé en croisant les bras.

"Écoutez, je sais que vous vous méfiez des médecins pour une raison ou une autre, mais elle en a besoin, sinon cela pourrait se reproduire. Vos enfants ont peur. S'il vous plaît, écoutez", a poursuivi Mara en le fixant intensément.

"Nous ferons les analyses de sang, mais pas de médecins. Ma mère est morte parce qu'un idiot incompétent n'a pas trouvé son cancer. Il a fait une erreur de diagnostic et j'ai grandi avec mon père violent uniquement parce qu'elle n'a pas été soignée à temps", a expliqué Taylor. Personne d'autre que Polly n'était au courant de cette histoire. "Ma femme a accouché à domicile à cause de cela, Mara. Et nos enfants s'épanouissent."

Mara a soupiré. "D'accord. Faites les analyses de sang, et je demanderai à un ami de les vérifier pour faire des suggestions. Mais il faut que vous surmontez votre peur à un moment ou à un autre."

Comme Mara le soupçonnait, Polly souffrait d'un peu d'anémie, mais après avoir pris des médicaments, elle semblait aller mieux. Après cet épisode, elle a demandé à Taylor s'ils pouvaient enfin avoir une nounou, mais il a toujours refusé.

"Non, tu vas mieux maintenant. C'est du gaspillage. L'argent ne doit être économisé que pour les choses importantes. Qui sait ce qui peut arriver ? Je suis peut-être le PDG d'une compagnie pétrolière aujourd’hui, mais qui sait si les choses changent plus tard ?", a justifié Taylor.

Polly n'a plus évoqué le sujet.

***

"Je suis en retard pour une réunion. Ne m'appelle pas parce que je ne répondrai pas aujourd'hui !", a crié Taylor en se précipitant hors de la maison un matin. Il avait rendez-vous avec un gros client et voulait arriver à l'heure. Cependant, l'univers avait d'autres plans, car il y avait un énorme embouteillage sur son trajet habituel, et les minutes s'éternisaient.

Il a appuyé sur le volant et a secoué la tête avec impatience, attendant que quelque chose se passe. Mais c'était le calme jusqu'à ce qu'il entende le bruit des sirènes à l'arrière. Taylor a jeté un coup d'œil à son rétroviseur et a vu des voitures se déplacer sur le côté, laissant la place à une ambulance.

"Ah, non ! Ils ne vont quand même pas sortir de cet embouteillage en faisant semblant d'avoir des patients !" Taylor a secoué la tête et a refusé de déplacer son véhicule comme les autres. L'ambulance klaxonnait et klaxonnait, mais il faisait comme si de rien n'était.

Mais Taylor avait l'impression d'être encore en enfer.

Le conducteur de l'autre voie a baissé sa vitre. "Hé, monsieur ! Bougez pour l'ambulance", a-t-il dit, mais Taylor l’a ignoré.

Enfin, il a aperçu l'ambulancier, un homme âgé, qui s’est précipité à ses côtés. "Monsieur, s'il vous plaît, bougez ! J'ai un enfant à l'arrière qui a besoin de soins urgents", a dit le chauffeur.

"Non, vous mentez juste pour sortir de cet embouteillage. Mais même si vous ne mentez pas, l'emmener chez le médecin ne servira à rien. Je ne bouge pas", a dit Taylor sans hésiter.

"Vous êtes sérieux, monsieur ?", a demandé le conducteur, choqué.

"Oui. Je ne bougerai pas !"

"C'est illégal !", a dit le chauffeur.

"Poursuivez-moi en justice. Ou appelez la police", a dit Taylor en haussant les épaules, sans même regarder l'homme. Il regardait droit devant lui, attendant que la circulation se débloque enfin.

"J'espère que personne que vous aimez ne sera jamais à la place de ce garçon", a déclaré le conducteur, crachant sur le sol à côté de sa voiture en signe de dédain. Il est remonté dans l'ambulance et s'est frayé un chemin à travers un trottoir, et d'autres véhicules l'ont laissé passer.

Après un autre quart d'heure de circulation, les routes se sont dégagées et Taylor est arrivé à son bureau juste à temps. Son client venait de commencer à parler lorsque son téléphone a sonné. Il a vu le nom de Polly clignoter sur l'écran, mais ignora immédiatement l'appel. Je lui ai dit de ne pas appeler, a-t-il pensé en écoutant le client.

Mais Polly a rappelé, encore et encore, jusqu'à ce qu'un message s'affiche : "Mark est à l'hôpital ! Appelle-moi dès que possible !"

"Hôpital ?", a-t-il murmuré en fixant son téléphone avec attention.

"M. Brown ?", a dit l'un de ses cadres.

"Roger, occupez-vous de cette réunion. Mon fils est à l'hôpital. Je dois y aller", a dit Taylor en quittant précipitamment la réunion.

Tout son corps tremblait. Polly connaissait bien son aversion pour les médecins, il faudrait donc une véritable urgence pour qu'elle emmène leur fils à l'hôpital. Il savait que ce n'était pas bien. Taylor l’a appelée, a obtenu le nom de l'hôpital et s'y est rendu rapidement. Heureusement, il n'y avait pas d’embouteillages comme ce matin-là.

Il n'a même pas remarqué où il avait garé sa voiture. Il s'est seulement précipité vers les portes des urgences, a demandé aux infirmières de l'aider et a finalement rencontré Polly à l'extérieur de la salle d'opération où les membres de la famille attendaient habituellement. Ses autres enfants, Jason et Mona, lui tenaient les jambes, effrayés.

"Qu'est-ce qui s'est passé ? Où est Mark ?", a demandé Taylor, affolé.

"Il est en train d'être opéré. Taylor, mon chéri. C'était grave. Sa tête saignait", a expliqué Polly en pleurant, et les enfants plus jeunes se mirent à pleurer aussi.

Taylor a dû se ressaisir et a serré sa famille dans ses bras. "Tout va bien. Tout ira bien. Mark est entre de bonnes mains", a-t-il presque scandé. Il essayait de se convaincre lui-même.

Quelques heures plus tard, un chirurgien est enfin sorti. Ils sont tous restés debout, le cœur serré, à attendre la nouvelle.

"L'opération s'est bien déroulée. Votre fils se rétablit aux soins intensifs. Nous n'en saurons pas plus sur sa situation avant qu'il ne se réveille, mais son état semble bon", a déclaré le médecin en hochant la tête. "Nous sommes en train de le déplacer. Mais nous vous ferons savoir quand vous pourrez le voir."

Polly s'est agenouillée sous le coup de l'émotion, pour dire à ses enfants que leur grand frère s'en était sorti. Pendant ce temps, Taylor s'est approché du médecin et a insisté pour avoir plus de détails.

"Soyez franc avec moi, docteur. Mark va-t-il vraiment bien ?", a-t-il demandé à voix basse.

"Oui, il l'est, monsieur", a acquiescé à nouveau le médecin. "Mais c'est seulement parce qu'il est arrivé à temps. Nous avons entendu parler de l'embouteillage fou de tout à l'heure, et s'ils avaient pris plus de temps, nous aurions peut-être une autre conversation."

Taylor n’a rien dit lorsque le médecin lui a tapoté l'épaule et est retourné dans la salle d'opération. Embouteillage ? pensa-t-il, surpris.

Il s’est retourné vers sa femme, qui s'était un peu calmée. "Polly, tu étais dans l'embouteillage ce matin ?"

"Oh oui. J'étais très inquiète. Ça n'a pas bougé du tout pendant un certain temps. Le conducteur est même sorti et, apparemment, s'est disputé avec quelqu'un qui refusait de bouger sa voiture. Qui fait ça ?", a expliqué Polly, se moquant de l'idée que quelqu'un puisse refuser de se déplacer en cas d'urgence. "Mais le chauffeur est monté, a fait passer l'ambulance par un trottoir ou quelque chose comme ça - j'ai eu peur pendant une seconde - mais il nous a amenés ici aussi vite qu'il le pouvait. Quel champion !"

Polly n'a pas vu ou remarqué à quel point Taylor était devenu silencieux. "Les enfants, allons chercher quelque chose au distributeur. Nous allons devoir attendre encore un peu pour voir votre frère", a-t-elle dit en regardant son mari.

Taylor a dû s'éclaircir la gorge. "Vas-y. Je reste ici au cas où."

"D'accord", a-t-elle dit en souriant maintenant que la vie de leur fils était hors de danger.

Mais Taylor avait l'impression d'être encore en enfer. Il s'est assis sur l'un des sièges et a regardé le mur. Il avait retardé l'ambulance, alors que son fils a failli mourir à l'intérieur. Mark ne serait pas là si le chauffeur n'avait pas été si malin.

"Oh, oui, ma femme a besoin d'aide. Ma femme a besoin d'aide", a dit Taylor en hochant la tête et en souriant tout en regardant par la fenêtre de sa voiture.

Les larmes jaillissaient involontairement de ses yeux. Sa poitrine s'est contractée alors que ses respirations venaient trop vite, et finalement, il a posé sa tête sur ses mains et a pleuré. La prise de conscience que tout cela était de sa faute était trop difficile à supporter. Il avait refusé une nounou, refusé d'appeler une ambulance et ignoré les appels de sa femme.

"Taylor", a chuchoté Polly lorsqu'elle est revenue et l’a serré dans ses bras. "Les enfants, venez serrer votre papa dans vos bras."

Les plus jeunes l'enlacèrent tandis qu'il essayait d'arrêter ses sanglots, mais c'était difficile.

"Mark va bientôt se réveiller, papa", a dit sa fille, la plus jeune de la famille, de sa petite voix aiguë et précieuse, ce qui a fini par le calmer. Rien n'effacerait cette culpabilité, mais il a fini par cesser de pleurer.

***

Ils ont rendu visite à Mark une heure plus tard, et le garçon s'est réveillé. Les médecins ont vérifié ses capacités motrices, et tout allait bien. Il a même parlé un peu avant de s'endormir à nouveau. Son chirurgien a déclaré qu'il allait bien et a dit à la famille qu'ils allaient bientôt le transférer de l'unité de soins intensifs à une chambre ordinaire. Mark était officiellement hors de danger.

Une fois son fils placé dans une chambre ordinaire et entouré de sa famille, Taylor est sorti et a parlé à l'une des infirmières, demandant à voir la personne qui a conduit l'ambulance.

"Oh, c'est James. Vous le trouverez probablement à l'extérieur, là où la plupart des ambulances sont garées lorsqu'elles ne sont pas envoyées", lui a dit gentiment une infirmière, et Taylor est sorti.

Il a immédiatement trouvé James, et malgré la précipitation et tout ce qui s'était passé ce matin-là, l’homme âgé a reconnu Taylor.

Il lui a dit : "Attendez un peu. N'êtes-vous pas le type qui ne voulait pas déplacer sa voiture ?", a accusé James en pointant Taylor du doigt. Mais Taylor a continué à s'approcher de lui et a levé les bras pour serrer l’homme âgé. James n'aimait pas ça et essayait de le repousser jusqu'à ce que Taylor prenne la parole.

"Je suis désolé. Je suis désolé. Merci d'avoir fait de votre mieux. C'était mon fils. Vous avez amené mon fils ici, et j'ai... j'ai été tellement stupide. Je suis vraiment désolé. J'aurais pu tout perdre", a dit Taylor, et le vieil homme a cédé, tapotant le dos de Taylor.

"Comment va le petit ?"

"Il va bien. Il s'est réveillé", a dit Taylor en essuyant une larme. "Il se repose encore, mais le médecin a dit qu'il se rétablirait. Grâce à vous."

"Je n'ai fait que mon travail, monsieur. Mais je suis content. J'étais ambulancier. Maintenant, je ne fais que conduire, mais je suis content qu'il soit en sécurité", a acquiescé James.

"Pourquoi travaillez-vous encore ?", s’est demandé Taylor. "Si ce n'est pas trop demander."

"Ma femme doit être opérée de la hanche. Dans cette économie, la retraite n'est plus vraiment une option. Malheureusement, le métier d'ambulancier ne paie pas beaucoup, mais ça aide", a soupiré James.

"Cela vous intéresserez de changer de domaine ?", a suggéré Taylor à l'improviste.

"Qu'est-ce que vous voulez dire ?"

"Et si vous deveniez mon chauffeur ? ", a-t-il suggéré en expliquant où il travaillait et combien il était payé. C'était plus du triple de ce que gagnait l’homme âgé.

"C'est une vraie offre ?"

"100%", a insisté Taylor. "Je suis peut-être un idiot, mais je ne mens pas en affaires."

L’homme âgé a encore réfléchi et a fini par accepter. Il a encore travaillé deux semaines à l'hôpital, puis est devenu le chauffeur de Taylor. L'homme riche n'a pas réalisé à quel point il était pratique de ne pas avoir à se soucier de la conduite jusqu'à ce moment-là.

Polly et lui ont également eu besoin d'aide une fois que Mark est sorti de l'hôpital, alors James a fait des courses, a gardé les enfants quand c'était possible et a conduit Taylor partout. Au bout de quelques mois, l’homme âgé avait suffisamment d'argent pour payer l'opération de sa femme Helena.

Taylor a donné à James tous les congés payés dont il avait besoin et lui a rendu visite à l'hôpital. Une fois que la femme de James s'est rétablie, il a eu une autre idée.

"James, que diriez-vous si Helena travaillait pour nous en tant que nounou ? Cela lui plairait-il ?", a demandé Taylor depuis la banquette arrière. James l’a regardé brièvement et a acquiescé.

"Elle adorerait ça. Elle adore les enfants. Nous n'en avons jamais eu. Ce n'était pas dans les plans de Dieu pour nous, mais elle adorerait ça. L'embaucheriez-vous vraiment, monsieur ?", a demandé James, reconnaissant.

"Oh, oui, ma femme a besoin d'aide. Ma femme a besoin d'aide", a dit Taylor en hochant la tête et en souriant tout en regardant par la fenêtre de sa voiture.

Après l'accident de Mark, il s'était rendu compte qu'il n'y avait aucune raison d'avoir de l'argent si on ne l'utilisait pas pour aider sa famille. Il fallait profiter de son dur labeur et rendre sa famille heureuse. En outre, son mépris pour les médecins a complètement disparu.

Il en voulait encore à celui qui n'avait pas bien diagnostiqué sa mère, mais la négligence d'une personne ne devait pas se répercuter sur l'ensemble du secteur. Tout le monde, y compris l'ambulancier, avait travaillé dur pour sauver Mark, et ils avaient fait un travail fantastique.

Taylor est devenu un bienfaiteur de l'hôpital, accordant des subventions pour que les enfants issus de familles pauvres puissent bénéficier d'opérations chirurgicales. Pendant ce temps, James et Helena continuaient de travailler pour sa famille, et les enfants les adoraient. Polly s'épanouissait au travail et ne s'évanouissait plus.

Et Taylor était toujours le premier à se déplacer lorsqu'une ambulance passait sur la route. Il ne commettrait plus jamais cette erreur.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Un traumatisme survenu dans l'enfance ne doit pas déterminer toute votre vie et votre façon d'agir.
• Aider les gens et s'assurer que sa famille est heureuse est plus important que d'économiser de l'argent.

Partagez cette histoire avec vos amis. Elle pourrait égayer leur journée et les inspirer.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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