Le directeur d'une maison de retraite emmène une jolie vieille dame dans son bureau tous les soirs, les autres femmes sont jalouses - Histoire du jour

Chaque soir, le directeur d'une maison de retraite emmène une jolie femme âgée dans son bureau, ce qui éveille les soupçons et la jalousie des autres résidentes. Un soir, quelqu'un le dénonce à la police qui, à son arrivée, découvre quelque chose de choquant.

Personne à la maison de retraite Oakwood ne conteste le fait que si quelqu'un a résisté aux conséquences du vieillissement, c'est bien Margaret, 76 ans. Elle était sans aucun doute la plus belle dame de l'établissement, ce qui faisait palpiter le cœur de Jeffrey, 77 ans, concierge de la maison de retraite.

Jeffrey a commencé à travailler à la maison de retraite il y a un an et a su qu'il était amoureux dès qu'il a vu Margaret. Un jour, alors qu'il balayait le sol devant la chambre de Margaret, celle-ci est sortie à l'improviste et lui a dit bonjour.

Jeffrey s'est figé. "Bonjour", réussit-il à dire, les joues rougies. Il n'avait pas réussi à trouver le courage d'exprimer ses sentiments, mais il savait qu'il le ferait un jour.

"Un jour, je le lui dirai", pensait-il toujours et il rougissait chaque fois qu'il la voyait.

Mais Jeffrey a eu le cœur brisé lorsqu'il a commencé à travailler le soir. Il a remarqué que chaque soir, après le dîner, Margaret disparaissait dans le bureau du directeur pendant de longues heures et que, lorsqu'elle en ressortait, elle rougissait et se regardait dans un petit miroir qu'elle portait toujours sur elle.

Très vite, toutes les autres dames de la maison de retraite commencèrent à raconter que Margaret avait une liaison avec le directeur, M. Collins.

"Vous l'avez vue hier soir ?" Jeffrey surprend un groupe de femmes alors qu'il passait la serpillière. "Elle rougissait et gazouillait comme une petite fille. Quand je lui ai demandé pourquoi elle était si heureuse, elle m'a répondu : 'M. Collins me fait me sentir si jeune et si belle ! Oh, c'est un bijou !"

Les autres dames sursautèrent à l'unisson : "Elle l'a fait ? C'est vrai ? Est-ce qu'elle couche avec lui ?", dit une autre en haussant les sourcils.

"Vous savez, lorsque Margaret ne s'est pas rendue à son bureau un jour, il l'a cherchée partout", ajouta une autre personne. "Je crois que quelque chose se trame derrière les portes fermées. Je suis jalouse d'elle. Il est attiré par elle à cause de son physique…"

"Mais M. Collins n'a-t-il pas 20 ans de moins qu'elle ? Oh la la, sont-ils vraiment ensemble ? Et la femme de M. Collins ?", dit quelqu'un d'autre.

"Il n'y a rien de suspect ici, monsieur l'agent !", s'exclama-t-il avec colère. "Qui m'a dénoncé ?"

Entendre de telles choses sur la femme qu'il aimait tendrement a brisé le cœur de Jeffrey. Furieux, il était déterminé à découvrir si M. Collins a vraiment une liaison avec Margaret.

Ce soir-là, lorsqu'il vit Margaret se rendre au bureau de M. Collins, il la suivit. Une fois à l'intérieur, il regarda autour de lui pour s'assurer que personne ne l'avait remarqué et s'arrêta juste devant le bureau.

Jeffrey colla son oreille à la porte, essayant d'écouter ce qui se passait à l'intérieur. Mais il ne pouvait rien entendre. Il fronça alors les sourcils et sortit son téléphone de sa poche. "Ce soir, il faut que le secret de M. Collins soit dévoilé ! Ça suffit !", se dit-il en composant le 911.

Lorsqu'un répartiteur répondit à son appel, il dit : " J'appelle pour signaler une activité suspecte. C'est urgent. Je ne peux pas vous donner tous les détails immédiatement, mais vous devez vous dépêcher !" Il donna l'adresse et raccrocha, leur demandant de dépêcher immédiatement une unité à la maison de retraite.

Quelques instants plus tard, une équipe de policiers arriva sur les lieux. "Jeffrey Richards, vous avez signalé un incident ?", demanda un policier alors qu'ils se retrouvaient à l'extérieur de la maison de retraite.

"Oui, c'est moi. Par ici, s'il vous plaît", répond-il en les conduisant à l'intérieur.

Une fois devant le bureau de M. Collins, le policier en chef, l'officier Johnson, frappa à la porte. " Ici la police ! Ouvrez la porte, s'il vous plaît !"

Après quelques coups, M. Collins ouvrit la porte. "Qu'est-ce que la police fait ici ? Qu'est-ce qu'il y a ?", demanda-t-il, confus.

En jetant un coup d'œil par-dessus les épaules de M. Collins et en entrant dans son bureau, Jeffrey a remarqué que Margaret se reposait sur le canapé avec un masque facial.

"Une activité suspecte nous a été signalée. Que se passe-t-il exactement ici ?", demanda l'officier Johnson.

M. Collins fronça les sourcils. "Il n'y a rien de suspect ici, monsieur l'agent !", s'exclama-t-il avec colère. "Qui m'a dénoncé ?"

"Oh là là, qu'est-ce qui se passe ? J'essayais juste les produits de beauté de M. Collins, monsieur l'agent", dit Margaret en s'approchant de la porte.

"Quoi ?" L'agent était déconcerté.

"Lui et sa femme ont l'intention d'ouvrir un salon de beauté", expliqua Margaret. "Et ils prévoient de reverser les bénéfices à la maison de retraite. Ses produits de soin de la peau sont conçus pour les femmes âgées. M. Collins a insisté pour que je sois sa première cliente ! Vous voyez, monsieur l'agent, je suis la femme la plus charmante ici, après tout....", ajouta-t-elle en souriant.

Pendant que Margaret disait cela, Jeffrey regrettait ce qu'il avait fait, et l'officier Johnson était furieux. "C'est une blague ? Vous pensez que vous pouvez jouer avec la police ?"

"Oh non, je suis vraiment désolé....", s'excusa Jeffrey. "Je n'aurais pas dû faire ça. Je m'inquiétais pour Margaret parce que je l'aime bien, et ces dames ont dit des choses inappropriées…."

Jeffrey a tout dit sur l'amour qu'il portait à Margaret et sur son désir de la demander en mariage. Il a expliqué qu'il avait été induit en erreur par des rumeurs émanant d'autres femmes et qu'il avait fini par dénoncer l'incident par jalousie.

Bien que Jeffrey ait eu tort, M. Collins lui a pardonné. "Et vous pensiez que Margaret et moi avions une liaison ?", a-t-il dit en riant. "Je suis désolé, messieurs les policiers. Rentrez chez vous en toute sécurité. Je m'excuse au nom de mon personnel."

"Vous feriez mieux d'éviter de passer ce genre d'appels à l'avenir. Compris ?", ont prévenu les agents avant de quitter Jeffrey.

Lorsque tout le monde était parti, M. Collins tapota l'épaule de Jeffrey et lui dit : "Je me sens mal que tu ne m'en aies pas parlé avant de signaler l'incident, Jeffrey, mais comme tu as été un bon employé, je te laisse tranquille. Sois conscient de tes responsabilités à l'avenir."

"Désolé, désolé encore….", s'est-il excusé alors que M. Collins s'en allait.

Margaret n'avait jamais ressenti la même chose pour Jeffrey, mais ce jour-là, un déclic s'est produit dans son cœur et elle a commencé à passer du temps avec lui à la maison de retraite.

Avec le temps, elle s'est rendu compte qu'il était tout à fait différent d'elle ! Il était timide, elle était extravertie, et les deux opposés se sont progressivement attirés l'un l'autre.

Pendant ce temps, les affaires de M. Collins prospéraient. Il faisait des dons généreux à la maison de retraite, et le visage de son entreprise n'était autre que la charmante Margaret !

Un jour, Margaret finit par demander Jeffrey en mariage. À la fois choqué et ravi de cette proposition, Jeffrey ne pouvait contenir ses émotions. "OUI ! JE LE VEUX !", a-t-il répond en larmes, la serrant dans ses bras.

Leur mariage a été organisé à la maison de retraite, et lorsque Jeffrey et Margaret ont échangé leurs vœux, les larmes des invités et leurs applaudissements n'ont pas cessé.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• La confiance et le respect sont les pierres angulaires de toute relation. Jeffrey aurait dû faire confiance à ses sentiments pour Margaret au lieu de supposer qu'elle avait une relation amoureuse avec M. Collins. Et même si c'était le cas, il aurait dû respecter sa décision au lieu d'appeler la police.
• Parfois, l'histoire ne se résume pas à ce que l'on peut voir. Jeffrey et les autres résidentes de la maison de retraite ont supposé que Margaret et M. Collins avaient une liaison, mais lorsqu'ils ont découvert la vérité, ils se sont rendu compte qu'ils avaient tort.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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