Maître Amir-Aslani, l'avocat de Laeticia Hallyday, a donné des précisions sur la famille Boudou

Des révé­la­tions sur la gestion du patri­moine de Johnny Hally­day.

Invité de Marc-Olivier Fogiel sur le plateau de RTL, Maître Arda­van Amir-Aslani a fustigé l'idée tenace d'un clan formé par la famille Boudou et qui aurait mani­pulé Johnny Hally­day.

Comme rapporté par le site internet du magazine Gala, alors que la famille Boudou est au centre de la polémique qui fait rage autour de l'héritage de Johnny Hallyday, elle a plutôt mauvaise réputation auprès d'une grande majorité des fans du rockeur.

Laeticia est notamment la cible de la majorité des critiques, et sa grand-mère Elyette Boudou, alias mamie rock, a quant à elle reçu plusieurs insultes sur internet.

Les internautes et les médias fustigent énormément l'ensemble de cette famille, qui a été défendue par Mr Amir-Aslani, l'avocat de Laeticia Hallyday.

"Il faut arrê­ter avec cette histoire du clan Boudou. Lors de l'audience, la partie adverse n'a cessé de quali­fier Laeti­cia de Madame Boudou. Elle est Madame Laeti­cia Hally­day ou Madame Laeti­cia Smet. Elle a été à un moment Made­moi­selle Boudou mais cela remonte à plus de deux décen­nies.", déclarait l'avocat, indigné, sur le plateau de l'émission radio de Marc Olivier Fogiel.

"C'est une femme qui a partagé la vie du plus grand artiste français pendant plus de 23 ans. C'est la mère de ses enfants mineures"

"Il n'y a aucun membre de la famille Boudou impliqué dans le trust", a expliqué Mr Amir-Aslani, reve­­nant sur ce type de contrat qu'il décrit comme "une insti­­tu­­tion extrê­­me­­ment répan­­due dans les pays anglo-saxons"

Mr Amir-Aslani, qui protège les intérêt de Johnny Hallyday depuis longtemps, a ensuite déclaré :

"J'ai repré­senté l'artiste durant les huit dernières années de sa vie. A aucun moment je n'ai rencon­tré Mr Boudou, le père de Laeti­cia". Cepen­dant, l'avocat a confié qu'il voyait "assez régu­liè­re­ment" Elyette Boudou, la grand-mère qui "assume la fonc­tion de gérant d'un certain nombre de socié­tés d'artiste."