Véronique Colucci est morte ! L'ex-épouse de Coluche a quitté ce monde prématurément, à l'âge de 69 ans

L’ambassadrice des Restos du Cœur, Véronique Colucci, est morte ce vendredi à l'âge de 69 ans de suites d’une longue mala­die.

L’ex épouse de l’hu­mo­riste Coluche s’est éteinte dans la nuit du 5 au 6 avril de suites d’une longue mala­die, rapportent plusieurs sources interrogées par Closer.

Véronique Colucci (de son nom de jeune fille Kantor) était mariée à Coluche de 1975 à 1981. Avant de s’être séparé, ils ont eu deux fils : Romain, né en 1972, et Marius, né en 1976. Ce dernier est devenu comé­dien, on l'a vu notam­ment dans le rôle de Pierre dans l’adap­­ta­­tion du roman Le mec de la tombe d’à côté en 2016.

Même si Coluche l’avait quittée pour une autre femme, l'actrice Fred Romano, Véronique se souvenait avec émotion de sa première rencontre en 1969 avec le comique et comé­dien, Michel Colucci.

"Quand j'ai vu débarquer Michel au Café de la gare c'était ahurissant. C'était tout à la fois, la timidité, la force, le rire, j'ai été séduite du premier coup. Je suis beaucoup retournée au Café de la gare. De temps en temps, ils mettaient un disque et ils invitaient le public à danser. Je m'étais collée au premier rang et j'avais dansé avec lui. De là, cela a créé un lien", a-t-elle confié dans une interview accordée à Europe 1 en 2016.

Mais si Véronique Kantor était connue pour avoir été la femme de Coluche, elle fut égale­ment l’ad­mi­nis­tra­trice des Restos du cœur, rapporte Voici.

Toujours très enga­gée auprès de l’as­so­cia­tion même après la dispa­ri­tion de Coluche en 1986, elle a assuré ce rôle jusqu’à sa mort.

Pour son engagement et implication auprès les plus démunis, Véro­nique Colucci avait été décorée de la Légion d'honneur le 1er janvier dernier. Selon Gala, en décembre 2013 elle avait également reçu le 10e trophée de la Femme de cœur.

Auprès du Parisien Pari­sien, cette femme enga­gée mais très modeste expliquait alors qu'elle avait accepté ce prix "pour les 66 000 béné­voles des Restos du cœur, dont je fais partie. Cette mise en lumière, c'est la leur. Comme sur 'la Chan­son du béné­vole', l'hymne des Enfoi­rés."